Chapitre 9 : un Noël inoubliable ! 2/2
Avertissement : L’histoire de Candy Candy et de tous ses personnages appartiennent à Kyoko Mizuki, les images à Yumiko Igarashi et le dessin animé à TOEI Animation.
L’histoire écrite ci-après est une fiction à but non lucratif.
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Candy aida Albert à s’installer dans le bureau qui ferait office de deuxième pièce d’invité. Il dormirait sur le canapé qui serait reconverti en lit mais pour l’instant ils n’avaient envie de dormir ni l’un ni l’autre malgré la fatigue. Pendant ces préparatifs, Albert put enfin observer Candy sans avoir peur d’être trahi par ses pensées devant les demoiselles.
Elle était occupée à rechercher les oreillers, les draps et les couvertures dans un coffre alors qu’Albert cherchait le nécessaire pour passer la nuit dans ses bagages. Ses yeux se délectaient du spectacle de ses mèches blondes qui comme autant de doigts langoureux venaient caresser ses joues roses, la peau velouté de sa nuque, de son cou gracile, qui descendaient jusqu’à ses clavicules si délicates et le décolleté qui révélait la naissance de sa poitrine qui se soulevait et s’abaisser un peu rapidement. « Serait-elle nerveuse ? » Se demanda-t-il puis ses yeux glissèrent sur sa bouche et ses lèvres rougies qu’elle mordillait. « Oui, elle était nerveuse ! » Il sentit un frisson lui parcourir l’échine. La situation se compliquait pour Albert qui avait de plus en plus de mal à se restreindre, à ne pas l’embrasser ici et maintenant. Il avait prévu de se déclarer lors de ce séjour mais quel serait le meilleur moment pour le faire ? Etait-elle vraiment prête ? S’il agissait trop tôt, tout pouvait basculer, il pourrait la perdre.
Candy dans le même temps pensait, « Enfin seule avec toi, Albert ! Comme j’aimerais savoir si tu m’aimes, si tu es bien amoureux de moi ? Peut-être vas-tu me dire quelque chose pendant ces jours passés ensemble ? Albert comme je t’aime si tu savais mais comment te le faire comprendre ?!»
Ils vinrent ensuite s’asseoir sur le canapé qui était devant la cheminée. Ils étaient d’abord silencieux profitant de ce moment d’intimité tant attendu mais ils étaient aussi un peu tendus. On entendit les douze coups de minuit sonner à l’horloge posée sur le rebord de la cheminée. Ils se retournèrent en même temps pour se regarder en disant :
– « Joyeux Noël Albert !»
– « Joyeux Noël Candy !»
– « Et si on ouvrait nos cadeaux maintenant? Je pense que Mademoiselle Pony et sœur Maria nous pardonneront.» Proposa-t-elle.
– « Excellente idée ! »
Ils se levèrent, Candy sortit sans bruit pour aller chercher le sien, tandis qu’Albert fouilla dans son sac pur y retirer un paquet rectangulaire enveloppé dans du beau papier de soie rose. Il faisait chaud devant l’âtre et il retira son pull révélant sa belle chemise en soie. Il l’attendait assis sur le canapé. Candy arriva avec un paquet assez volumineux et souple.
– « Honneur à la dame ! »
Albert tendit l’objet à Candy qui se demandait ce que c’était. Elle déchira le papier cadeau, ses mains tremblaient un peu. Elle découvrit une magnifique boite à bijoux ancienne, damasquinée avec des fils d’argent et d’or, incrustées de pierres précieuses (1).
– « Oooh ! Albert merci, c’est magnifique mais c’est beaucoup trop ! »
– « C’est une boîte à bijoux qui est dans la famille depuis des générations, elle a appartenu à ma mère puis à ma sœur, maintenant elle est à toi ! »
Il la regardait intensément dans les yeux. Candy était en train d’essayer de comprendre la signification de ce cadeau. Lui offrait-il parce qu’elle était officiellement une Ardlay ou bien parce que… elle n’osa pas achever sa pensée songeant à son propre cadeau qu’elle tendit. Albert en sortit des moufles, un bonnet et une écharpe, le tout en laine bleue assortie à la couleur de ses yeux.
– « C’est moi qui les ai tricotés pour toi petit Bert ! »
– « Merci Candy, je suis très touché et je les adore, je penserai à toi et tes douces mains qui les ont faits quand je les porterai ! … Au fait, Il y a autre chose dans la boite ! »
– « Ah ! mais qu’est-ce-que c’est ? »
Candy avait ouvert la boite avec la clé et y trouva un rouleau de parchemin avec un ruban rouge. Elle fit glisser ce dernier pour libérer le document, elle le déroula et lu le contenu. C’était un titre de propriété du terrain de … l’orphelinat (2)! Il était au nom d’Albert mais il stipulait qu’à sa majorité donc à ses vingt et un ans elle en deviendrait l’unique propriétaire et qu’en cas de décès d’Albert le terrain lui revenait de plein droit.
– « Albert mais c’est de la folie ! »
– « Rien n’est trop fou pour toi ma douce! Je sais que tu tiens beaucoup à cette maison, ta maison d’enfance et que vous aviez déjà failli la perdre, alors j’ai contacté Monsieur Cartwright pour lui racheter les terres, il n’a pas été très long à convaincre d’ailleurs sachant que c’était pour toi ! »
– « Oh ! Albert je suis sans voix, je ne sais pas quoi dire ! » Elle avait des larmes qui coulaient sur ses joues encore sous le choc de ce cadeau inestimable pour elle.
– « Alors ne dis rien et accepte comme preuve de mon… de ma tendresse envers toi ! »
Il avait un large sourire découvrant ses magnifiques dents blanches. Il avait failli dire comme preuve de mon amour pour toi. Il hésitait encore.
– « Merci Albert, merci infiniment ! »
Mais leur regard se croisèrent, ardent, ce qui donna du courage à Albert. Alors il corrigea :
– « Comme preuve de mon amour pour toi!»
Candy n’en croyait pas ses oreilles et resta bouche bée. Avait-elle bien compris? De nouvelles larmes roulèrent sur ses joues. Alors il se leva, se plaça devant elle et lui saisit les mains pour l’attirer doucement vers lui et la prendre alors dans ses bras en essuyant ses larmes avec ses doigts puis il lissa soigneusement une des mèches de ses cheveux.
Ed Sheeran – Kiss Me / Traduction FR
Candy sentait son cœur qui battait vite à l’unisson de celui d’Albert. Son odeur masculine mélangée au bois de santal l’enivrait à nouveau. Le moment était intense, ils avaient des papillons dans l’estomac et des frissons parcouraient leur corps puis Albert pris son visage entre ses mains si tendrement qu’on aurait dit qu’il tenait un oisillon fragile. Leurs regards étaient verrouillés l’un sur l’autre.
Candy inspira profondément ce qui ne passa pas inaperçu à Albert dont les narines étaient envahies par son odeur si féminine et son parfum de roses, il en était intoxiqué. Le feu qui dansait dans la cheminée faisait chatoyer sa chevelure de teintes cuivrées et dorés ; les flammes se reflétaient dans ses yeux émeraude, leur donnant un éclat particulièrement intense. Albert était ensorcelé, Dieu comme il l’aimait, il ne pouvait plus résister. Il se décida.
Il commença par déposer un léger baiser sur son front puis il la regarda droit dans les yeux ; timide et nerveuse, elle détourna le regard en baissant légèrement la tête et en rougissant jusqu’aux oreilles, elle sentait son pouls s’accélérer brutalement. Il lui prit alors le menton délicatement avec sa main droite et le releva pour l’obliger à rétablir le contact visuel. Elle tressaillît, ses jambes devenaient toutes molles et son cœur s’affola encore plus, elle plongea son regard vert dans le bleu de celui d’Albert qui devenait de braise. Leur nuance de bleu était plus profonde que d’habitude et elle pouvait y lire quelque chose d’inhabituel. C’était le regard d’un homme plein d’amour mais aussi rempli d’ardeur et de … désir ?
Candy fut chamboulée, elle sentit qu’il allait se passer quelque chose entre eux, quelque chose qui allait définitivement changer la nature de leur relation et elle se languissait de ce qui allait arriver même si cela la mettait à fleur de peau. Il déposa alors un autre baiser comme une plume sur sa joue droite, son nez puis la joue gauche, enfin un dernier sur le coin de sa bouche. Il se recula alors un peu pour interroger ses yeux, lui demandant la permission d’aller plus loin. L’expression du regard d’Albert devenait de plus en plus ardente, la pénétrant jusqu’à son âme mais aussi jusqu’à son cœur et son corps. Tout se passait dans leurs yeux, aucun mot n’était nécessaire.
Lentement mais surement, il descendit sa main gauche autour de sa taille et resserra son étreinte réduisant ainsi la distance entre les deux. Il sentit qu’elle se mit à trembler sous son emprise, son propre cœur cognait à tout rompre dans sa cage thoracique. Le regard étincelant de Candy exprimait l’amour qu’elle éprouvait pour lui, elle abaissa alors son regard sur ses lèvres ce qui encouragea Albert à poursuivre. Il commença à s’incliner lentement tout en regardant à son tour ses lèvres roses et gourmandes qui s’entrouvraient. De nervosité, Candy se mordilla la lèvre inférieure intensifiant l’envie d’Albert, elle ferma ensuite les yeux d’anticipation, ce fût comme un signal, il finit de réduire le chemin qui menait vers sa bouche pulpeuse et l’effleura de ses lèvres. Candy s’agrippa en refermant ses mains sur sa chemise comme si sa vie en dépendait.
A chaque instant, Albert laissait le choix à Candy de continuer ou d’interrompre les évènements, il savait qu’elle était inexpérimentée et voulait y aller en douceur, la tenter, laisser le désir de ce baiser monter en elle. Ce contact sensuel fût comme une décharge électrique entre les deux, envoyant des frissons parcourant leur colonne vertébrale et se propageant comme une vague dans tout leur corps. Sentant qu’elle ne le repoussait pas, il appuya sa touche, la douceur de ses lèvres comme du velours était comme un appel irrésistible, il saisit alors sa lèvre inférieure entre les deux siennes et sentit son souffle chaud, superficiel et rapide. Candy fût envahie par une onde de chaleur déferlant dans tout son être comme un raz-de-marée, elle plaça ses mains autour du cou d’Albert qui glissa sa deuxième main depuis sa joue vers sa taille la serrant encore plus contre lui.
Le baiser devint plus exigeant, Candy encore novice suivit d’abord les mouvements de son partenaire puis elle se laissa instinctivement emporter par sa propre fougue, elle se mit à gémir légèrement contre sa bouche. Albert, sentant sa réponse plus qu’enthousiaste commença à venir courtiser ses lèvres avec la pointe de sa langue humide ce qui la fit gémir encore plus fort. Candy se blottit encore plus intimement contre lui comme si elle voulait ne faire qu’un avec Albert puis elle se mit à lui caresser la nuque, envoyant des frissons tout le long du dos de son amoureux, elle passa ensuite sa main droite dans ses cheveux doux et ondulés, elle se servait de ses doigts comme d’un peigne puis elle descendit la gauche sur son épaule droite sentant le moindre de ses muscles se mouvoir sous l’étoffe glissante de sa chemise en soie si agréable au toucher, enfin, elle se dirigea vers son dos bien sculpté qu’elle palpa sur toute sa hauteur.
Albert qui appréciait beaucoup la sensation des caresses de sa partenaire sur son torse gémit à son tour et approfondit le baiser qui devint plus passionné, plus gourmand. Ils entamèrent un balai amoureux entre leurs langues douces et chaudes qui apprenaient à faire connaissance, à se séduire, elles se caressaient et s’exploraient intimement enlacées avec avidité, augmentant ainsi leur plaisir réciproque. Leur respiration devenait erratique sous l’accroissement de leur excitation mutuelle, ils gémissaient en échos l’un de l’autre. Albert devenait fou de désir pour cette femme qu’il aimait tant et ses mains comme animées de leur propre volonté se mirent à la caresser ; sa main droite explorait son dos tandis que la gauche remonta vers sa nuque et son cou, le contact de la peau tendre, douce et chaude sous ses doigts langoureux l’envoutait complétement. Ils ressentaient l’ardeur et la ferveur du plaisir suscité par leurs attouchements jusqu’au plus profond de leurs entrailles en feu.
Trois ans qu’Albert avait rêvé d’un moment comme celui-là, toutes ces années de frustrations durant lesquelles il avait dû faire taire ses émotions. C’était comme si un trop plein de ses sentiments si longtemps contenus se déversait tout d’un coup dans ce baiser fougueux et ses caresses, voulant lui exprimer toute sa dévotion pour elle.
Leur cœur pulsait anarchiquement dans leur poitrine. Candy ressentait une myriade de sensations merveilleuses et inconnues, elle sentait sa tête qui tournait, elle était ivre d’Albert, ivre de sa senteur, ivre du goût brulant de son baiser, ivre de ses mains posées sur elle. Ses jambes ne la portaient plus, elle s’appuya de tout son poids sur le corps athlétique d’Albert qui commença alors à perdre la maitrise de lui-même, il voulait pousser ses caresses plus loin sur tout son corps mais dans un sursaut de conscience et d’ultime volonté, il rompit le baiser pour reprendre le contrôle, les laissant hors d’haleine.
Ils se regardèrent, Candy irradiait le bonheur, ses yeux étaient lumineux ! Ils étaient sur un petit nuage comme atteints par la grâce. Ils restèrent un moment silencieux essayant de réaliser ce qui venait de se passer mais les mots n’étaient pas nécessaires tant la communion de ces deux êtres était totale. Ils profitaient de leur proximité, baignés dans leur odeur, leur chaleur qu’ils appréciaient.
Albert prit alors le visage de sa bien-aimée entre ses mains tendrement et déposa des baisers papillon sur son front, ses paupières et descendit le long de son nez puis ses joues et alla de nouveau s’égarer sur sa bouche, irrésistible attraction. Ils échangèrent de nouveaux baisers passionnés mais sans jamais franchir la ligne.
Candy était sous le choc, elle était loin de s’imaginer qu’un baiser pouvait la bouleverser autant, lui provoquer tellement de sensations. Comment est-ce qu’un baiser pouvait être aussi doux, tendre et passionné à la fois ? La faire chavirer ainsi, c’était tout simplement incroyable ! Elle n’avait qu’un seul point de comparaison mais c’était un baiser volé alors même si elle en avait été troublée, elle l’avait subi passivement, rien à voir avec celui-ci ! Albert lui avait ouvert la porte vers un monde merveilleux qu’elle n’avait jamais eu l’occasion d’explorer pleinement, jusqu’à présent elle n’avait pu qu’en rêver, le monde qui existe entre une femme et un homme qui s’aimaient et elle n’en était encore que sur le seuil. Quant à Albert plus expérimenté, il n’avait jamais ressenti cette passion qui l’animait avec aucune autre femme que Candy ; elle était sa vie, elle était son tout et il nageait dans le bonheur. Oui, leurs baisers avaient été magiques, sensuels et pleins de promesses…
Ce fût Albert qui rompit le silence, il prit de nouveau son visage entre ses mains plongeant son regard dans ses lacs verts et lui dit :
– « Candy, ma douce Candy, il y a tellement longtemps que je t’aime!»
– « Et moi je t’aime tellement Albert ! »
Leurs yeux étaient vitreux, une larme coula sur la joue de Candy qu’Albert vint boire. Puis ils se serrèrent l’un contre l’autre en se berçant mutuellement. Albert lui caressait tendrement ses cheveux et sa nuque. Ils restèrent ainsi encore un long moment, ils n’arrivaient pas à se séparer mais le temps s’écoulait et il était déjà tard. Nos deux amoureux étaient à l’image du feu qui crépitait dans l’âtre de la cheminée, ils brûlaient mais d’un amour ardent.
– « Mon amour, il est temps d’aller dormir maintenant, nous avons encore une semaine entière pour en profiter. » Dit-il en la regardant profondément et en souriant.
Mon amour, elle n’avait jamais entendu ces doux mots à ses oreilles qui lui paraissaient comme une douce musique et elle répondit.
– « Oui mon amour, tu as raison. C’était le plus beau Noël de ma vie ! »
– « Pour moi aussi, ça restera un Noël inoubliable ! »
Vidéo Candy & &Albert – Sixpence none the richer – Kiss Me
https://www.youtube.com/watch?v=5keJe-c-TgU
Enfin! Nos amoureux se sont avoués leur amour et ont échangé leur premier baiser… très passionné! Mais il y avait si longtemps qu’is en rêvaient! 😉 Maintenant qu’on ne vienne pas me dire que Candy et Albert n’ont pas une relation passionnée! 😆
Alors maintenant que va-t-il se passer? Arriveront-ils à surmonter tous les obstacles encore sur leur chemin? Le lien légal qui existe entre eux, la différence de leur milieu social, l’opposition qu’ils risquent de rencontrer de la part de La Grande Tante Elroy ? Et que vont penser Mademoiselle Pony et soeur Maria du cadeau qu’a fait Albert à Candy ?
Remerciements pour tous vos commentaires et votre fidélité, Ms Puddle, Antlay, ainsi que tous les lecteurs même s’ils restent silencieux ! 😉
Notes :
(1) Boite dont on parle dans l’épilogue du roman final, son origine n’y est pas révélée. C’est donc ma pure supposition qu’elle provenait de la famille d’Albert et qu’il lui aurait offert ainsi.
(2) Cadeau offert dans le roman final j’ai supposé que cela avait pu être un cadeau de Noël
Hot!! So hot—–! 😀
A passionate kiss indeed!! I didn’t expect one… Thought their first kiss would be a chaste one, but this is soooo good!! If I were Candy I would faint. 😆 Seriously, she had been anticipating, and to be kissed by the man she loved was really a mind-blowing experience! Awww…
How I wish I could read French without using the translator… Sigh!!! But this kiss is worth the wait, and Antlay’s comments and your remarks about food or cuisine are hilarious! So is this the appetizer? The main course is yet to come, Laure Saint-Yves? 😉
By the way, it’s brilliant to put a Christmas gift inside another one. 🙂 Nice song and video too! 😀
I’m glad you enjoyed the chapter and reviews! I truly like laughing, joking and kidding with you all!
Ah the French kiss! 😆 😉 I know I could choose a chaster one! But they have waited so much, mainly the poor Albert and they are both adults. Albert built up the kiss crescendo, he let her choice to stop or continue at each second but feeling her response more than enthusiastic, he couldn’t help himself (so did I)! But never he would go further than she would want herself, no way! And Candy has near fainted! It was the shock of the first true kiss! 😆 I wanted to show that they could be passionate.
To answer your question my friend, yes you will have a full menu, I hope you don’t mind but, bit by bit and on the right time! 😉 We have to not be greedy! 😆
I love this song and the beginning reminds me a heart beat.
I know using a translator is frustrating, I was a bit disappointed when I’ve check this chapter in English! sigh!
Thanks again for all your reviews and mention on your blog 😀 I think I would never have created my own without have seen yours!
Se dice que el verdadero amor es como el buen vino, entre más tiempo de reposo tenga es mejor. Pero también el buen vino se degusta poco a poco, no a grandes sorbos y creo a Albert se le estaba olvidando esto, pero al fin su conciencia le hizo recapacitar y su conducta de buen caballero predomino. ¡Bien por Albert!
Après la cuisine le bon vin, Mesdames vous êtes douées dans les belles métaphores! 🙂
Albert est un homme de chair et de sang mais c’est aussi un vrai gentleman même si parfois il est soumis à la tentation! Et sans tentation, pas de mérite! 😉
Après nous avoir fait mijoter pendant des semaines, enfin le moment tant attendu 😀
Cela valait le coup d’attendre, Albert qui se jette à l’eau dès le premier soir, eh bien ! c’est une sacrée entrée, que nous réservez-vous pour le plat de résistance et le dessert 😀
Un baiser très passionné en effet. Mais Albert en bon gentleman comme il se doit, toujours maître de lui même.
Très bonne idée, Albert offrant la boîte à bijoux à Candy ainsi que le titre de propriété pour Noël.
Bon je n’ai plus qu’à attendre le plat suivant. 😉
Votre analogie avec la cuisine m’a bien fait rire Antlay! 😆 Merci!
Dès le premier soir, en effet mais Albert était à la diète et affamé depuis trois ans le pauvre!!! 😆
Quant à la suite du menu, rendez-vous la semaine prochaine… Oui je sais je vous mets au régime aussi! 😉
Je suis en train de lire votre commentaire qui me fait également beaucoup rire, vous aussi vous avez l’air de bien vous débrouiller en cuisine ! 😀
Une semaine au régime, et bien je devrais pouvoir survivre ! 😉
Albert avoir vécu avec Candy tout ce temps sans pouvoir rien faire ni lui révéler ses sentiments, j’admire l’homme, c’est comme se retrouver dans une pâtisserie lorsqu’on est au régime! Bon j’arrête-là avec mes blagues! On dit que les plus courtes sont les meilleures 😆 Sinon je viens de répondre à votre message sur la première partie du chapitre 9 que j’avais loupé! ;oops:
Coucou Candybert
Merci pour les 2 parties du chapitre 8 et merci pour les 2 parties du chapitre 9
Je les ais tous trouvé formidable
A bientôt
Bisous
Alexia
Coucou Alexia!
Merci pour ton commentaire et tant mieux si les chapitres t’ont plu.
A bientôt
:*