Chapitre 29 : une réunion explosive !

Avertissement : L’histoire de Candy Candy et de tous ses personnages appartiennent à Kyoko Mizuki, les images à Yumiko Igarashi et le dessin animé à TOEI Animation.
L’histoire écrite ci-après est une fiction à but non lucratif.
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J’ai voulu éviter un long chapitre pêle-mêle de plus j’ai actuellement un peu de mal à écrire alors en attendant la fin de l’histoire, voici une partie assez courte mais intense avec une coupure à un endroit stratégique…

Chicago, dimanche 17 août 1919

Voilà quelques jours que nos voyageurs étaient de retour. Archie et Patty encore en vacances jusqu’à la prochaine rentrée universitaire, profitaient de leur séjour au manoir. Annie, tout comme Patty, avaient été invitées à passer le reste de l’été dans la famille Ardley, elles pourraient ainsi rester en compagnie des frères Cornwell ainsi que de celle de Candy. Albert quant à lui était déjà submergé de travail et ses journées au bureau s’éternisaient, il rentrait souvent tard et même après le diner, trouvant son épouse parfois déjà endormie, il regrettait déjà leur lune de miel où il pouvait profiter de sa femme 24h/24 mais c’était la dure réalité de son quotidien et ce rythme de folie devrait se calmer un peu, une fois qu’il aurait rattrapé le retard accumulé pendant son absence.

Heureusement que Candy était très occupée actuellement avec ses amis, les journées sans son cher et tendre lui semblaient ainsi moins longues. Toutefois, elle leur laissait aussi un peu d’intimité car ils étaient aussi deux couples, même si officiellement, encore non engagés, elle était de connivence avec eux pour les aider à s’échapper de temps en temps à la surveillance étroite de la tante Elroy. Candy étant maintenant l’épouse du chef de clan, elle pouvait fort bien remplir le rôle de « chaperon » mais le mariage n’était pas encore officiellement annoncé.
Elle restait particulièrement vigilante envers Alistair qui, moralement, avait des hauts et des bas, surtout qu’il était vraiment préoccupé de son avenir.

Un soir après le diner familial, Alistair pu enfin avoir une discussion avec Albert à ce sujet. Les deux hommes s’étaient retirés dans le bureau de l’ainé pour y discuter tranquillement.

– Albert, je me sens un peu perdu actuellement !
– C’est normal Alistair, il n’y a que quelques jours que tu es de retour ici, après les épreuves que tu as traversées, n’importe qui le serait mais nous sommes-là, Stear, et tu pourras toujours compter sur mon soutien !
– J’ai peur de m’être engagé trop vite avec Patty, c’était sur le coup de l’émotion et je n’ai pas réfléchi !
– Tu veux dire que tu n’es pas sûr de tes sentiments envers elle ?
– Oh Non ! Non pas du tout ! Ce n’est pas cela, je l’aime encore plus qu’avant. J’ai laissé une adolescente et j’ai retrouvé une jeune femme qui a muri, qui m’a ébloui et qui ne m’a pas oublié quatre ans après ma mort supposée mais qu’ai-je à lui offrir ?
– Tout d’abord ton amour pour elle et crois-moi, c’est le plus important ! L’amour, c’est le ciment de n’importe quelle relation ! L’amour sincère et véritable aide à surmonter toutes les épreuves. Ensuite, as-tu songé à reprendre tes études ?
– J’ai déjà vingt-cinq ans !
– Et alors ?
– J’aurais voulu travailler pour pouvoir fonder une famille.
– L’un n’empêche pas l’autre, tu sais très bien que l’argent n’est pas un problème ! Et je pense que reprendre tes études serait une excellente transition car cela ne te mettrai pas trop de pression, en tout cas moins qu’un travail, le temps de réfléchir à ce que tu veux faire et de guérir tes blessures psychologiques. Tu es un jeune-homme brillant Alistair, avec un potentiel à développer, je me souviens de tes inventions, elles étaient très prometteuses.
– Sauf qu’elles ont toujours raté !
– Penses-tu que l’on réussisse toujours du premier coup ? Peut-être qu’il te faut acquérir des notions et des connaissances supplémentaires, avoir des bases plus solides.
– Je n’avais pas envisagé les choses sous cet angle.
– Pourquoi ne pas suivre un cursus au M.I.T. à Cambridge (1), toi qui est passionné d’aviation, j’ai entendu qu’ils avaient depuis peu, un cursus en ingénierie aéronautique mais il y en a d’autres, si tu préfères. En plus tu pourrais vivre avec Archie puisqu’il est à Boston.
– C’est une excellente idée mais n’est-il pas trop tard pour s’inscrire ?
– Rien que des relations ne puissent arranger, j’y veillerai personnellement. De plus, cela tombe bien car je dois me rendre à Boston avant la fin du mois, tu pourrais même m’y accompagner, on pourrait visiter le campus ensemble et rencontrer le doyen, qu’en dis-tu ?
– Oh oui, oui, bien sûr, cette idée me plait énormément ! Merci Albert !
– Tu n’as pas à me remercier Stear, c’est avec joie que je m’occuperai de cela. Quant à ton mariage avec Patty, tu ne serais pas le premier étudiant marié, je sais qu’en tant qu’homme, on préfère s’installer avant de créer sa famille mais les mœurs et les mentalités évoluent, surtout depuis la fin de la guerre. Tu es bien placé pour savoir que la vie peut-être courte et doit être vécue pleinement alors ne gaspille pas ton temps, épouse Patty quand tu le souhaite, je pourrais me porter garant auprès de sa famille si cela pose un problème.
– Albert, non je ne peux pas accepter cela !
– Et pourquoi pas, moi j’ai foi en toi et tes capacités, Alistair. Promets-moi d’y réfléchir.
– Oui, merci Albert.

Alistair était soulagé, il ignorait qu’un tel cursus existait et il sentait comme un poids délesté de ses épaules, il avait enfin une idée de ce qu’il pourrait faire de son avenir, travailler dans l’aéronautique, concevoir des avions ! Un rêve ! Quant au mariage avec Patty, au pire il serait reporté à la fin de ses études. De toute façon, Patty avait encore une année à effectuer pour terminer ses études. Il prendrait sa décision au sujet de la date, une fois qu’il aurait visité le MIT pour connaitre exactement quelle serait la longueur du cursus.

En plus de son travail harassant, Albert devait résoudre le problème Neal, ainsi, dès le lendemain de leur retour, il avait convoqué par télégramme, la famille Leagan, demandant de se rendre à Chicago sous un motif important mais sans le dévoiler et dans les plus brefs délais. Ils arrivèrent quelques jours après, le temps d’organiser le voyage. En attendant, la sécurité avait été renforcée au manoir et Candy ne devait pas sortir seule, sous aucun prétexte, de même pour Albert qui était toujours en présence d’un garde du corps lorsqu’il se déplaçait, Chicago était une ville qui était de plus en plus dangereuse et gangrénée par la mafia et ses petites frappes qui ne demandaient qu’à se faire de l’argent et par n’importe quel moyen, vols, chantages, enlèvements, assassinats… Il valait mieux se montrer prudent tant que toute cette affaire n’était pas résolue.

Une fois que les problèmes avec les Leagan seraient arrangés, il resterait encore à faire l’annonce officielle de leur union. Les regards se portaient déjà sur les alliances des jeunes époux, surtout celle d’Albert qui fréquentait beaucoup de monde de par son travail et des rumeurs commençaient déjà à circuler. Des personnes pensaient même qu’il s’était peut-être marié et que sa longue absence devait être à cause d’une lune de miel, même si officiellement, il était en voyage d’affaire en Europe. Georges avait conseillé à Albert de ne pas porter son alliance mais il s’y était refusé, c’était un lien avec sa femme adorée et il se moquait bien des ragots, de toute façon, tout serait bientôt dévoilé à la presse juste après la visite des Leagan. C’était l’option que Candy et lui avait choisie, autant tout dire, ne plus rien cacher afin de couper court aux commérages. En attendant, des langues se déliaient et se demandaient bien avec qui le magnat des entreprises Ardley s’était uni ? Les idées les plus folles avaient été avancées, peut-être une étrangère ? Certains repensèrent aussi à l’article du journal sorti au moment du voyage à Miami en mars dernier. Se pourrait-il que ce soit avec sa protégée ? Les rumeurs se propageaient d’autant plus qu’Albert était un excellent partie et que l’hypothèse de son mariage allait décevoir les attentes de certains parents et femmes d’âge nubile qui auraient pu espérer se lier avec l’une des familles les plus riches et les plus puissantes d’Amérique.
Oui, le retour à la réalité de la vie quotidienne était vraiment pesante pour notre jeune couple mais inévitable.

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La réunion avec les Leagan était donc prévue pour ce dimanche à 14h, Candy voulait assister son mari dans cette épreuve même si au départ, il était contre cette idée en voulant la préserver mais devant son insistance, il céda. La tante Elroy n’était pas au courant, elle s’était retirée dans ses appartements situés dans l’autre aile du manoir pour y faire sa sieste. Ils avaient préféré la ménager du fait de ses problèmes de santé et elle avait déjà eu suffisamment d’émotion avec le retour d’Alistair. Ils aviseraient de ce qui lui serait dit après l’entrevue. C’est ainsi qu’ils reçurent Sarah et Raymond Leagan ainsi que Neal et Eliza dans le bureau. Candy et Albert les saluèrent ensemble.

– Bonjour Sarah, Raymond, Elisa, Neal, entrez je vous prie et asseyez-vous !
– Bonjour William ! Bonjour Candice ! Répondirent les parents Leagan.
– Bonjour Grand Oncle William, bonjour Candy! enchainèrent Eliza et Neal.

La famille Leagan s’installa sur des sièges tandis que Candy et Albert restèrent debout, une partie de ce qu’ils avaient à dire seraient très pénible et difficile or la station debout, offrait plus de solennité et d’autorité sur un auditoire.

Neal détaillait Candy de ses yeux avides, il la trouvait encore plus belle, épanouie et particulièrement radieuse, rayonnante même ! Ses yeux verts étincelaient, son corps de déesse se devinait sous sa belle robe d’été, blanche avec des fleurs, légère, elle mettait en valeur sa taille fine et son décolleté sans trop en montrer. Ses boucles d’or qui encadraient son beau visage où les taches de rousseur ressortaient un peu plus que d’habitude, conséquence du soleil estival. Oui, elle était divine et bientôt elle serait sienne, il en était sûr ; il se voyait déjà la posséder et son sang bouillait dans ses veines. Il n’avait qu’une envie, pouvoir lui parler seul à seul après cette réunion et il réfléchissait au prétexte qu’il allait utiliser pour atteindre son but.

Au même moment, Eliza se disait que l’oncle William était un bel homme, particulièrement radieux, rayonnant même ! Il portait une tenue assez décontractée avec un pantalon bleu-marine et une chemise bleue, assortie à la couleur de ses yeux et dont les premiers boutons défaits laissaient entrevoir le haut de sa large poitrine. Sa peau légèrement halée faisait encore plus ressortir la beauté de son regard. Il était si sexy ! Un rayon de soleil qui filtrait par la fenêtre faisait briller ses cheveux d’or. Elle reconnaissait tous les traits d’Anthony, son premier amour. Probablement qu’à l’âge adulte, il aurait ressemblé à l’oncle William s’il avait vécu ! Oui, elle le trouvait vraiment séduisant mais sa rêverie fût interrompue par sa mère.

– Que nous vaut cette convocation en urgence? Commença Sarah sur un ton agacé.

Alors que la conversation s’engageait, Elisa remarqua le superbe diamant bleu à l’annulaire de Candy ainsi que son alliance ; surprise, elle porta machinalement son regard sur celui d’Albert et se raidit de stupeur, elle commençait à comprendre… Ils avaient osé !
Albert se rapprocha de Candy et alors qu’il lui prenait tendrement la main, sous les yeux ébahis de Sarah et Raymond, il annonça.

– Tout d’abord, Candy et moi, voudrions vous annoncer une excellente nouvelle avant que cela ne paraisse dans la presse. Nous nous sommes mariés voici un mois et demi, en France.

La bombe avait était lâchée, Elisa était verte de dégout et de jalousie, elle avait pourtant promis à ses parents de se montrer courtoise mais cette nouvelle, c’était au-dessus de ses forces et elle s’explosa.

– QUOI ?! Cette souillon dans la famille ? Une fille d’écurie, une orpheline qui vient d’on ne sait où ?
– Eliza ! Tais-toi ! Lui intima son père.
– C’est là où tu te trompes, Elisa ! Répondit calmement Albert en souriant malicieusement.
– Comment ça ? Rétorqua-telle en furie.
– Eh bien, laissez-moi vous présenter Lady Candice Mary Stuart-Ardley, petite-fille du conte d’Angus d’Ecosse. Albert avait un regard triomphant.
– Mais qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Intervint Sarah.

C’est ainsi qu’Albert raconta juste les grandes lignes du secret de la naissance de Candy mais sans trop en dévoiler.

– Eh bien si je m’attendais à cela, Candice une noble écossaise ! Répondit Raymond.

Sarah mais surtout Elisa étaient blêmes, muettes, comment est-ce que cela pouvait être vraie ? Eliza pensait : « Candy, cette moins que rien est une Lady écossaise ? Donc de sang noble, donc mieux née que moi ? Non, non, non, non et non, mille fois non, il doit y avoir une erreur, c’est impossible ! Quelle injustice ! Et en plus, elle était maintenant la femme du grand oncle William, faisant d’elle la matriarche de la famille ! Ce devait être un cauchemar ! Mon pire cauchemar !»

Quelle belle leçon pour Eliza !
Quelle belle revanche pour Candy !
Albert était ravi de pouvoir ainsi rabattre le caquet de cette peste d’Eliza.

Mais pendant ce temps-là, aucun d’eux n’avait encore prêté attention à Neal qui vit brutalement l’objet de son désir devenir hors de sa portée. Il ne songeait pas à la révélation des origines de Candy, ce n’était pas ce qui le perturbait. Son traumatisme à lui, était que l’oncle William venait de lui ravir la personne sujette de son obsession maladive pour la deuxième fois et cette fois de manière irrémédiable et définitive. Pour lui, cet oncle avait souillé la femme qu’il désirait et qui aurait dû être la sienne ! Il aurait dû être le premier, l’unique homme de sa vie, c’était plus qu’il n’en pouvait supporter… ce qui finit de le faire basculer dans la folie. Candy aurait dû être sa femme à lui, Daniel Leagan c’est lui qui aurait dû lui prendre sa virginité, la posséder, toute entière ! Eh bien soit ! Si Candy ne pouvait être la sienne alors elle ne serait plus à personne ! Plus jamais ! Non, jamais ! Et que cet oncle maudit, souffre autant qu’il souffre lui-même, de la perte de l’être aimé ! Oui, il voulait le punir de la pire façon qui soit.

Alors dans son délire, à la surprise de tous, Neal sortit un pistolet, sans un mot… et pointa l’arme sur Candy. Depuis qu’il trainait avec les mafieux, Neal avait pris l’habitude de porter une arme sur lui pour se protéger. Albert vit l’éclat métallique de l’arme, en une fraction de seconde, son cerveau réalisa ce qui se passait.

– NEAL ! NOOOOOOON !

Albert avait hurlé d’effroi. Etant trop loin du jeune fou pour l’arrêter mais étant tout prêt de sa femme, il plongea sur elle pour la protéger, faisant rempart avec son propre corps au moment où le coup de feu retentissait. Le couple s’était effondré au sol, Albert était allongé sur Candy, il avait poussé un cri de douleur en recevant la balle et sa tête avait heurté le rebord dur d’un meuble !

Pendant ce temps, Georges et le garde du corps qui avaient entendu le premier hurlement d’Albert suivi de la détonation depuis le couloir où ils s’étaient postés, sachant que Neal aurait pu poser des problèmes, avaient fait irruption dans le bureau. Neal qui avait déjà réarmé l’arme pour achever sa sentence, tenta de tirer à nouveau mais heureusement, le pistolet s’enraya permettant aux deux nouveaux arrivants de le neutraliser. Ils étaient loin de s’imaginer cela, cette folie meurtrière qui s’était emparée du jeune homme ! Il se débattit en criant :

– Candy aurait dû être à moi, à personne d’autre ! Elle n’appartiendra plus jamais à personne ! Laissez-moi !

Ses yeux étaient exorbités, le regard complétement déformé par la folie. Les deux hommes aguerris au combat, le neutralisèrent puis l’entravèrent sans trop de difficulté. Pendant ce temps-là, Sarah et Eliza s’étaient mise à pousser des cris hystériques et Raymond était resté abasourdi et sans aucune réaction, pensant assister à un mauvais film.

Candy sentit son mari sur elle, inanimé, elle fût envahie d’une panique indescriptible.

– ALBERT ! NON ! ALBERT ! Parle-moi ! Je t’en supplie !

Avec l’aide de Georges, elle se dégagea de dessous lui et se mit à rechercher où était entrée la balle. Elle aperçut un point d’impact ensanglanté au niveau de son bras droit. Elle fit de suite un point de compression pour stopper l’hémorragie à l’aide d’un morceau de son jupon qu’elle avait déchiré en espérant que l’artère ne soit pas touchée.

– Albert, mon amour, ouvre les yeux ! Je t’en supplie, réponds-moi !

Elle avait les larmes qui coulaient sur ses joues mais malgré tout, les gestes de l’infirmière et l’instinct de survie prirent le dessus pour lui administrer les gestes de premiers secours. Elle vit également un filet de sang et une ecchymose au niveau de sa tempe. Elle était terrifiée à l’idée que sa tête avait pu subir un choc entrainant des séquelles, avec son passé d’amnésique, elle était en droit de s’inquiéter. Puis avec l’aide de Georges et des domestiques qui avaient accouru entre temps, ils transportèrent Albert à l’hôpital le plus proche. Pendant ce temps-là, la police était venue embarquer le forcené sous les cris et les pleurs de sa famille impuissante.

Dans la voiture, Albert repris conscience au grand soulagement de Candy et Georges.

– Mon amour, je t’aime, tiens bon, ne me laisse pas, je t’en supplie, nous avons encore tant de choses à partager, tant de moments à vivre ensemble. Je veux être la mère de tes enfants. Je t’aime Albert, je ne pourrai pas vivre sans toi ! Accroche-toi, au nom de notre amour! Elle lui caressait la figure, ses cheveux et l’embrassait sur tout son visage. Mais Albert grimaça en se prenant la tête à deux mains.
– Aaaah ! Ma tête… Où suis-je ?… Mais qui êtes-vous ? ….

Puis il reperdit connaissance. Candy et Georges se regardèrent pétrifiés, les yeux remplis d’effroi. Non ! Le cauchemar n’allait pas recommencer ? Albert de nouveau amnésique ?! Non ! Non et non ! Et s’il avait encore une fois tout oublié de son passé, de leur histoire, de leur amour, de leur mariage, de ces magnifiques journées partagées pendant leur lune de miel, de tous leurs moments magiques !   Non c’était impossible, ce serait terrible !

Mais si tel était le cas, elle serait là, à ses côtés, plus que jamais.
Car il était sa lumière.
Car il était l’air qu’elle respirait.
Alors elle serait sa lumière dans la nuit.
Pour lui rappeler la façon dont ils étaient,
Pour lui rappeler leurs plus belles années…

A suivre…

Albert, est-il de nouveau amnésique ? Aura-t-il des séquelles ?
Je sais, vous allez me trouver cruelle de vous laisser ici mais de toute façon je n’ai pas encore terminé la suite alors patience ! 😉 …

La chanson du jour : “The way we were” belle chanson extraite d’un beau mais triste film de Sydney Pollack (1973) « Nos plus belles années » avec Barbara Streisand et Robert Redford


Tous mes remerciements pour tous vos précédents commentaires et votre fidélité  bibi2403, Antlay, Reeka, Ms Puddle, Isabelle et alexia001, ainsi que toutes celles qui me les envoient encore par mail ou sur twiter!
Merci également à tous les lecteurs d’avoir pris le temps de la lecture de mon histoire jusqu’ici, même s’ils restent silencieux mais je serais tellement contente de vous entendre ne serait-ce qu’une fois un jour avant la fin ! 😉
❤❤❤
Et comme toujours si vous trouvez des erreurs, n’hésitez pas à me les signaler !


Note:

(1) Le Massachusetts Institute of Technology ou MIT, en français Institut de technologie du Massachusetts, est un institut de recherche et une université américaine, spécialisée dans les domaines de la science et de la technologie. Située à Cambridge, dans le Massachusetts, à proximité immédiate de Boston, au nord-est des États-Unis, elle est souvent considérée au XXIe siècle comme une des meilleures universités mondiales en sciences et en technologie. Un cursus en ingénierie aéronautique fût crée en 1912.

Sources : https://fr.wikipedia.org/wiki/Massachusetts_Institute_of_Technology

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15 réponses

  1. Ms Puddle dit :

    Wonderful chapter, Laure Saint-Yves! I enjoyed reading it very much, especially the part in which Eliza found Albert sexy and attractive! You’re so right that she must see Anthony’s traits in this enigmatic, handsome patriarch!

    The scene in which mad Neil shot at Candy was totally astonishing but it makes sense to me. Again, you made our beloved hero suffer… 🙁 Hopefully Albert wouldn’t suffer amnesia again, but even if this is the case, he had all his loved ones, especially Candy, with him. Sigh…

    • Laure Saint-Yves dit :

      Hello Ms Puddle!
      Many thanks for your new comment! I think that Eliza couldn’t help to see Albert alluring since he is an adult version of Anthony, in his apparence at least!
      And you’re right my friend, Albert has all his beloveds around him now! 😉

  2. bibi2403 dit :

    vivement qu il est la suite ca me tarde

  3. Isabelle dit :

    Ah Non !!!!! J’espère qu’Albert ne sera pas amnésique trop longtemps et qu’il n’aura pas trop de séquelles ! Il ne peut avoir oublier son amour pour Candy ! Pas maintenant qu’ils sont mariés !!! La seule bonne nouvelle, c’est que l’histoire ne peut se terminer ainsi et qu’il y aura encore une suite que j’aurai hâte de lire. Je vais avoir tellement de peine quand cette histoire sera fini. Bravo pour ton oeuvre et tu peux continuer encore très longtemps. Candy doit bien avoir un bébé et une belle famille avec Albert !

    • Laure Saint-Yves dit :

      Bonjour Isabelle!

      Ton commentaire m’a bien amusée! Je sais que je vous torture encore de même que notre couple favori mais il faut bien un peu de piment!… Au moins cela fait continuer l’histoire car tu as entièrement raison, elle ne peut pas se finir ainsi! 😉
      Merci pour ton compliment, c’est encourageant, j’avoue que sans tous les commentaires je ne sais pas si j’aurais continuer à écrire!

  4. Reeka dit :

    No no no no no … Not amnesia again! Although if that happen, I don’t worry much because their family and friends are there to help.

    You’re good, Laure Saint-Yves. This chapter is an excellent shot. I knew something bad would happen to them, but I didn’t expect this scenario. But hey, it’s america after all! During those days, gangsters and mafias were all around in big city like Chicago. And most likely the riches possessed a gun.

    Well, although in CCFS it subtly indicated that Neal had changed ( unlike Eliza), but somewhat I think he indeed had a tendency to become so obsessed with Candy. Creepy, wasn’t it? We could see the signs in manga, especially when he trapped Candy that night. Igarashi drew Neal’s expression really well. And the way he imagined Candy to be his wife … He imagined her serving him like a king. Yucks.

    Well, thank you, Laure Saint-Yves for this chapter. Have a wonderful weekend!

    • Laure Saint-Yves dit :

      Hello dear Reeka!

      Many thanks for you new comment, Reeka!

      Eh! Eh! Eh!… Amnesia durably again or not ?! We will see it in the next chapter!… 😉
      I have to say I enjoy very much to astonish my readers, so, I reached my goal, good! You’re so right, about America during the twenties, criminality was full increasing and it didn’t yet prohibition since it starded on the beginning of 1920!

      Ah! Neal! I know I deviated from CCFS, you’re completely right too! But, I didn’t want to rewrite it, I just picked up some elements from it and for Neal as you have well understood I was inspirated by exactly the scene of the manga you’ve mentionned! Well done, my friend! 😀 I’ve just pushed him forward worse!

      Have a great Sunday!

  5. Antlay dit :

    Bonsoir Laure Saint-Yves
    Le titre est plutôt bien choisi, une rencontre explosive dans tous les sens du terme !
    Après un voyage paisible en France voilà un retour mouvementé et dramatique à Chicago, la capitale du crime à l’époque. Pauvre Albert d’une part il se fait tirer dessus et de surcroît il est à nouveau amnésique ! ?
    Je dois dire bravo à la scenariste, cela est digne d’un vrai thriller avec un scénario qui va nous tenir en haleine jusqu’au prochain chapitre !
    Eh bien heureusement que l’action se déroule à Chigaco et non pas à Londres et qu’une certaine chose s’appelle Tongo et non pas Pongo car sinon j’aurais pu te surnomer « Cruella » ! ?
    Bises.

    • Laure Saint-Yves dit :

      Bonsoir Antlay!

      Merci de ton nouveau commentaire et de m’égayer ainsi, une fois de plus tu m’as fait bien rire! Moi en Cruella d’Enfer! 😆 Je dois bien avouer que c’est bien mérité même si j’aurais préféré endosser la peau de Perdita et ainsi pouvoir me rapprocher de Ton… euh, oops 😳 ! Non je veux dire Pongo! 😉

      Pour le titre j’ai hésité entre « Réunion explosive » et « Réunion détonante » mais finalement j’ai trouvé que le premier sonnait mieux.

      Suspense, suspense… eh eh eh! ça y est la Cruella qui sommeille en moi recommence…

      Bonne soirée et bises à toi

  6. Yakut Humeyriya dit :

    Magnifique, époustouflant chapitre. Je ne m’y attendais pas mais il fallait bien du suspens…
    En route pour le chapitre 30 !!!

    • Laure Saint-Yves dit :

      Bienvenue sur le blog Yakut Humeyriya!
      Merci pour ton gentil commentaire. Eh oui un peu de suspense pour la fin, j’avoue que j’aime bien surprendre mes lecteurs alors si j’y ai réussi, tant mieux! 😀

  7. bibi2403 dit :

    bravo pour l intrigue vivement la suite. pauvre albert j aimerai etre son infirmiere

    • Laure Saint-Yves dit :

      Merci bibi2403!
      Je sais que je n’épargne pas notre héro mais bon il faut bien un de suspense! Moi aussi j’aimerais bien être son infirmière mais il a déjà la meilleure, Candy, bien sûr! 😀

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