Chapitre 28 : une symphonie de parfums …

Avertissement : L’histoire de Candy Candy et de tous ses personnages appartiennent à Kyoko Mizuki, les images à Yumiko Igarashi et le dessin animé à TOEI Animation.
L’histoire écrite ci-après est une fiction à but non lucratif.
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Pour me faire pardonner ma lenteur à publier actuellement, voici un court chapitre, un intermède sensuellement parfumé (à déconseiller aux enfants) comme vous les aimez tant, enfin… je l’espère et pour vous faire patienter jusqu’au prochain… 😉

En passant, avez-vous vu le dernier dessin d’Albert de Ms Puddle ? Si vous ne craquer pas alors je n’y comprends plus rien !… Allez vite le découvrir sans plus tarder ici, il est tout simplement, renversant ! ?????

Je vous recommande également de lire sa nouvelle série d’articles très intéressants, intitulée « Candy and Prince of the Hill » qui commence ici.
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Paris, dimanche 03 août 1919
C’est par le train de nuit qui arriva au petit matin sur Paris, à la gare de Lyon, que le couple de jeunes mariés rejoignit les frères Cornwell ainsi que Patty et son chaperon. Entre temps, Annie, son chaperon et Georges étaient repartis pour Chicago dès le surlendemain du mariage. Le bras droit d’Albert avait pu confirmer l’origine des menaces à l’encontre du chef de clan des Ardley, c’était bien Neal Leagan ! Il en avait informé Albert juste avant leur embarquement pour l’Amérique, maintenant ce dernier savait avec qui il avait affaire et tout allait pouvoir se résoudre… Ils arrivèrent à l’hôtel de Crillon où ils furent accueillis avec joie.

– Ah ! Voilà nos tourtereaux ! s’écria Archie l’œil brillant.
– Bonjour tout le monde ! Répondirent Candy et Albert qui se tenaient par la main, l’air radieux.
– Bonjour les jeunes mariés, vous avez une superbe mine et vous avez l’air si heureux ! Ajouta Patty avec un air malicieux.
– C’est le grand air et le soleil du sud de la France ! Dit Albert.
– Seulement ça ? Répondit Stear en les taquinant.
– Mais toi aussi Stear, tu as bien meilleure mine !

Candy qui rougissait aux sous-entendus essayait de changer de sujet de conversation et Albert renchérit pour voler à son secours.

– En effet Alistair, je vois que tu as bien profité du régime local !
– Oui, c’est vrai, la nourriture d’ici y est bien meilleure que dans le camp, il faut dire que cela n’était pas très difficile ! Répondit Alistair sur un ton étrangement à la fois plein d’humour dans le son de sa voix mais aussi il y avait un peu de tristesse qui a traversé de façon fugitive, son regard.
– Vos parents sont déjà repartis ? Demanda Albert.
– Oui, il y a quatre jours, ils devaient reprendre leurs affaires en Orient. Répondit Archie.
– Ils ont dû être si heureux ! Ajouta Candy.
– Oui, ce fût des retrouvailles mémorables et émouvantes! Dit Patty.
– Alors votre voyage, racontez-nous, qu’avez-vous visité ? S’impatientait Archie.

Candy et Albert leur racontèrent tout ce qui les avait marqués, ce fût assez long et leur récit se poursuivit même durant le déjeuner. Le jeune couple profita d’un moment où Alistair étaient hors de portée de voix pour demander comment il allait vraiment. Patty et Archie leur répondirent que physiquement il avait très bien récupéré et cela se voyait fort bien, il n’avait plus les joues creuses, ni les yeux cernés et il avait regagné une bonne partie du poids qu’il avait perdu mais psychologiquement, c’était une autre histoire ! Il avait toujours de terribles cauchemars même s’ils s’espaçaient un peu et des crises d’angoisse pouvaient surgir à n’importe quel moment, une image, un bruit ou une idée pouvait réactiver ses peurs et le souvenir de son emprisonnement. Candy et Albert répondirent que le processus de guérison de son âme serait bien plus long et difficile et qu’il faudrait se montrer patient et attentif mais Patty était prête pour cela car son amour pour Alistair était profond et sincère.

Ensuite et alors qu’ils s’apprêtaient à regagner leur chambre, un coursier vint apporter deux colis en provenance de Grasse, l’un destiné à Candy l’autre à Albert. Ce dernier était intrigué, il connaissait parfaitement le contenu du sien mais que contenait celui de Candy ? Que lui avait envoyé M. Anselme ? Décidément, il trouvait ce parfumeur bien audacieux pour oser adresser quelque chose directement à son épouse et il se souvint alors du regard très éloquent qu’avait porté cet homme sur sa femme et cela le mit mal à l’aise. Il attendrait que Candy lui parle d’elle-même du contenu du paquet mais sa curiosité était piquée. Il profita que Candy était allée à la salle de bain pour ouvrir son colis pour y découvrir une note et un superbe flacon aux courbes fluides très féminines, en cristal de Baccarat, avec une belle étiquette ovale au liseré doré, en lettres dorées il était écrit : « Sublime Candy » , il était satisfait, puis il lut la note.

Cher monsieur Ardley,
Comme promis voici ma création exclusive pour votre épouse, la muse m’a si bien inspiré que j’ai mis très peu de temps (1), de plus je dois dire que c’est l’une de mes plus belles créations. J’espère que ce parfum lui plaira autant qu’à vous.

Mes sincères salutations

M. Anselme

P.S. : si le désir vous en vient n’hésitez pas à m’en recommander, je me ferai un plaisir de vous l’envoyer à l’adresse de votre choix.

Albert ne put s’empêcher de le sentir aussitôt et il fût déjà conquis. C’était tellement elle, tellement Candy, les premières notes étaient pétillantes grâce à la mandarine pour traduire sa nature gaie et optimiste ainsi que son espièglerie et il commençait à deviner la note de cœur florale et très féminine, il décela principalement la rose et le jasmin, quant à la note de fond, il faudrait attendre qu’elle se développe sur sa peau… et rien qu’à cette pensée, ses sens furent titillés. Il était perdu dans ses songes lorsque Candy vint le surprendre.

– A quoi pense mon cher époux ?
– Ah ! Candy ! J’ai une surprise pour toi, une exclusivité pour la femme sublime que tu es. Il lui tendit le flacon.
– Oooh ! Albert ! Merci beaucoup ! Et elle se mit à rire.
– Pourquoi ris-tu ? Il était perplexe.
– Eh bien tu vas comprendre…

Elle déballa son colis pour y découvrir un autre flacon aux formes viriles et anguleuses avec une étiquette au même liseré doré et portant l’inscription : « Prince de la Colline » elle lui tendit avec un grand sourire et l’œil pétillant en lui disant « une exclusivité aussi pour mon Prince! ». Albert fût à la fois soulagé et très heureux du contenu du paquet, Candy avait eu la même idée que lui.

– Oh ! Merci mon amour !

Albert l’enlaça et lui déposa un tendre baiser sur les lèvres, puis il lui dit :

– Tu te souviens de ce qu’a dit M. Anselme, au sujet de l’endroit où se parfumer ?
– Oui, bien sûr ! C’est moi qui lui ai posé la question.
– Alors je te propose qu’on applique son principe.
– C’est une excellente idée, une sorte de code entre nous.
– Oui mais à une condition, embrasse-moi à ces endroits uniquement si tu en as envie aussi, surtout ne te force jamais Candy !
– D’accord mais toi non plus mon Prince !
– Cela ne risque pas d’arriver, j’ai toujours envie de t’embrasser… partout. Lui dit-il d’une voix grave.
– En fait… moi aussi…

Albert remarqua la rougeur sur ses joues et il lui déposa un baiser dans le cou puis un autre à la base de son oreille comme pour prouver ses dires.

– Et si on sentait nos parfums maintenant ? J’ai hâte de découvrir ce que M. Anselme a créé pour nous. Proposa Candy.

C’est ce qu’ils firent. Ils ont adoré les deux en reconnaissant le talent du « Nez ». La note de tête de celui d’Albert se composait essentiellement d’essences boisées comme le cèdre et le vétiver, dans la note de cœur, on pouvait y déceler des senteurs cuirées (2), de tabac blond et de bois de santal.

Le soir-même ils purent les tester, chacun avait choisi les endroits où déposer leur parfum respectif. Ils sortaient juste de la douche, Albert avait une simple serviette de toilette autour de ses hanches et Candy avait un drap de bain noué comme un paréo autour de son buste. Ils ne purent résister très longtemps à l’attirance physique mutuelle qu’ils éprouvaient l’un envers l’autre et qui ne faisait que s’accentuer les jours passant. Ils réduisirent la distance les séparant en se regardant avec ardeur, chacun d’eux anticipant la suite des évènements. Dès qu’ils se rejoignirent, leurs lèvres fusionnèrent en un baiser profond, intense et passionné, prélude, plein de promesse d’une étreinte amoureuse qui les mènerait, une fois de plus, vers le septième ciel. Après ce premier baiser qui les laissa sans le souffle et le cœur bondissant, Albert commença à rechercher ce chemin olfactif que Candy lui avait tracé, en partant de son cou, juste en dessous et un peu en arrière de son lobe d’oreille, il brossa sa peau sensible avec ses lèvres avides, souples et chaudes, tout en lui caressant amoureusement la nuque, les épaules et le haut de son dos, s’attardant avec délectation sur ce premier endroit marqué, en entendant ses soupirs d’amour. Ce parfum, sur sa peau se développait à merveille. Puis Candy à son tour rechercha le sentier parfumé qui commençait au niveau de son cou, juste au-dessus de la clavicule, elle lui rendit la pareille, le faisant soupirer à son tour.
Albert poursuivit sa conquête olfactive qui le conduisit plus bas mais le tissu entravait sa progression alors il dénoua sensuellement le drap de bain qui s’affala sur le sol, laissant une Candy toute frissonnante, en costume d’Eve, elle se mit à gémir sous les baisers passionnés et les caresses expertes de son époux, ses jambes ne la portaient plus et elle appuya ses fesses sur une table qui était à proximité. Albert se serra alors tout contre elle pour sentir la pointe turgescente de ses doux monticules laiteux se frotter contre sa peau, la sensation électrisait les deux à la fois.

Candy le repoussa alors légèrement en appuyant ses deux mains sur son torse pour découvrir un nouvel endroit près de sa cicatrice du côté gauche de sa large poitrine, juste sur son bouton rose, elle s’en occupa fiévreusement, laissant un sillon humide, Albert était déjà très excité et haletant. Candy défit alors la serviette qui cachait la virilité durcie de son mari qu’elle voulait sentir tout contre elle. Le contact de leurs intimités, baveuses et embrasées, leur arracha simultanément un long et profond gémissement. Albert la hissa alors sur la table et elle l’accueillit en encerclant ses hanches dans le compas de ses jambes, les laissant complétement haletants et désireux de se posséder mutuellement. Albert l’emporta ainsi jusqu’au lit dans lequel ils continuèrent leur exploration sur le chemin des senteurs et de la sensualité. Leur transpiration fraiche se mêlait à la fragrance de leur parfum dédié, stimulant et exacerbant leur odorat. La note de fond se révéla complétement à ce moment-là. Sublime Candy qui s’était montré d’abord frais et aérien comme un pétale, laissa ensuite place à un cœur palpitant, floral et très féminin, puis enfin un fond raffiné mais chaud et sensuel s’exhala, grâce à l’ambre gris (3) et à un bouquet unique de fleurs, tel l’ylang-ylang riche et généreux. Albert était complétement envouté par cette association unique complétement aphrodisiaque, un véritable filtre d’amour, s’il en avait encore besoin !

– Candy, ce parfum… sur ta peau… me rend… complétement fou… je suis tellement fou de toi !

Le parfum d’Albert dévoila au contact de sa peau et de sa sueur, une senteur intense, un accord chaleureux et puissant. C’était un parfum viril mais également sensuel grâce au musc qu’il contenait, une expression de sa force et de sa séduction, énigmatique tout comme lui mais paradoxalement la note boisée était rassurante et douce en même temps.

– Albert, je t’aime… si passionnément … à la folie … aime-moi… toujours ainsi !
– Je ne m’en lasserai… jamais !… Je t’aime mon amour.

Ils finirent ainsi de s’aimer une nouvelle fois dans une passion éternellement renouvelée. Ils se demandèrent ensuite comment ce « nez » avait-il si bien perçu leur personnalité ? En tout cas, il était vraiment doué ! Il avait ajouté une nouvelle dimension à leurs ébats amoureux. Il avait composé leur parfum comme une symphonie, jouant de son orgue à parfums pour trouver chacune des notes qui constituaient leur personnalité profonde, les faisant vibrer encore plus en harmonie.

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En route pour Chicago, début août 1919

Le lendemain, ils empaquetèrent tous leurs effets, tous les cadeaux de mariage avaient déjà été expédiés grâce à la diligence de Georges. Puis après un voyage en train de quelques heures, ils embarquèrent tous les six sur un bateau depuis le Havre pour New York. Cette fois-ci le jeune couple s’installa en première classe, dans une belle suite et sous leur véritable identité.

Après une bonne semaine, ils atteignirent New York. Alistair était très ému de poser à nouveau le pied sur le sol américain, voilà presque quatre années qu’il l’avait quitté, il était heureux mais en même temps nerveux. Qu’allait-il faire de sa vie? Il avait proposé d’épouser Patty dans la spontanéité du moment mais maintenant, il allait devoir lui assurer une vie digne, avoir des projets solides et concrets. Il devra sérieusement songer à toutes ces questions, ce qui était une source d’angoisse pour lui. Il pensait en parler à son frère mais aussi à Albert plus mature, en qui il avait toute confiance et avec qui il se sentait très proche. Ils passèrent une nuit dans The Big Apple (4), avant de reprendre un train pour Chicago et enfin retour au manoir familial. Les retrouvailles avec la tante Elroy allaient surement être épiques, surtout quand elle allait revoir Alistair en vie ! Ils avaient décidé qu’il rentrerait en dernier au cas où la vieille dame serait là, il fallait la préparer un peu pour lui éviter un choc trop grand. En fait elle était dans ses appartement, sa femme de chambre vint donc la prévenir de leur arrivée et elle les rejoignit dans un salon où tous les attendaient sauf Alistair qui était caché dans la pièce d’à côté. Après les salutations chaleureuses, Albert annonça à sa tante :

– Ma tante, nous avons eu en France, une énorme et heureuse surprise que nous avons ramenée avec nous et qui va être une grande émotion pour vous, en fait c’est une personne qui est très chère et que l’on ne pensait plus jamais revoir…
– De qui s’agit-il ?

La tante la voie tremblante, lui coupa la parole. En France,… une personne très chère, … disparue… qu’on ne pensait plus revoir ? Mais c’est donc… Alistair… ?… Non… ! … Impossible… ! Les idées se bousculaient dans sa tête.

– Il s’agit d’Alistair ma tante !
– Ali… Alistair !… Oh mon… Oh mon Dieu… ! Ce n’est pas possible… !

Candy qui se tenait juste à côté posa sa main en soutien sur l’épaule de madame Elroy qui avait mis ses mains sur ses joues en secouant la tête. Pendant ce temps-là, Archie ouvrit la porte pour laisser entrer son frère qui se dirigea vers la tante toute en larmes maintenant, en l’apercevant.

– Bonjour ma tante, c’est bien moi !
– Alistair ! Alistair, mon garçon ! …Dieu merci !… Mais comment est-ce possible ?

Sous l’effet de l’émotion elle eut quand même la force de se lever pour le prendre dans ses bras.
– On va vous raconter toute l’histoire ma tante.

Après les premiers moments de vive émotion partagée par tous, Albert et Candy lui racontèrent leur découverte et Alistair lui dévoila juste quelques détails de son histoire mais très édulcorés pour la ménager.

Candy et Albert se virent aussi poser quelques questions sur leur mariage, bien sûr et leur voyage de noces. Ils lui montrèrent quelques photos, elle trouva le couple magnifique dans leur tenue de mariage, même si elle regrettait toujours leur choix de s’être enfui à l’étranger pour se marier. Elle n’était pas encore au courant, non plus, que l’auteur des menaces était Neal ; c’était à Albert de le lui annoncer mais pas toutes les émotions d’un seul coup, il attendrait quelques temps pour cela car il voulait d’abord s’entretenir avec le principal concerné et sa famille.

Candy et Albert étaient arrivés au terme de leur voyage, ravis et heureux plus que jamais mais déjà des soucis à résoudre se profilaient à l’horizon, maintenant il fallait aussi affronter la haute société chicagoan, annoncer leur mariage en France et affronter les critiques et les ragots qui n’allaient pas manquer mais ils avaient traversé tant d’épreuves pour en arriver là, peu importe ce que les autres avaient pu dire ou penser dans le passé, peu importe ce qu’ils pourraient dire ou penser aujourd’hui.

Ils se l’étaient déjà prouvés, maintes fois, l’un l’autre :
Rien d’autre n’avait d’importance que son amour pour elle.
Rien d’autre n’avait d’importance que son amour pour lui.

Metallica – Nothing else matter

suivi en principe du chef d’œuvre de Led Zeppelin : Stairway to Heaven qui n’a rien à voir avec notre histoire mais que j’ai connu grâce à mes grands frères, une pensée toute spéciale pour eux ! Sinon vous pouvez l’écouter ici.

 

A suivre…

Dans le prochain chapitre, enfin la confrontation avec Neal, la société et les journaux, alors que va-t-il se passer ?

Paroles et traduction de «Nothing else matters»
Rien d’autre n’a d’importance

(Verse 1)
(Couplet 1)
So close, no matter how far
Si proche, peu importe la distance
Couldn’t be much more from the heart
Ça ne pourrait guère être plus près du cœur
Forever trusting who we are
Croyant éternellement en ce que nous sommes
And nothing else matters
Et rien d’autre n’a d’importance

(Verse 2)
(Couplet 2)
Never opened myself this way
Je ne m’étais jamais ouvert de cette façon
Life is ours, we live it our way
La vie est nôtre, nous la vivons comme bon nous semble
All these words I don’t just say
Tous ces mots que je ne fais pas que dire
And nothing else matters
Et rien d’autre n’a d’importance

(Verse 3)
(Couplet 3)
Trust I seek and I find in you
La confiance que je cherche et que je trouve en toi
Every day for us something new
Chaque jour est quelque chose de nouveau pour nous
Open mind for a different view
Nous ouvrant l’esprit à un point de vue différent
And nothing else matters
Et rien d’autre n’a d’importance

(Chorus)
(Refrain)
Never cared for what they do
Je ne me suis jamais préoccupé de ce qu’ils font
Never cared for what they know
Je ne me suis jamais préoccupé de ce qu’ils savent
But I know
Mais je sais

(Verse 1)
(Couplet 1)

Chorus)
(Refrain)

But I know
Mais je sais

(Verse 2)
(Couplet 2)

(Verse 3)
(Couplet 3)

Never cared for what they say
Je ne me suis jamais préoccupé de ce qu’ils disent
Never cared for games they play
Je ne me suis jamais préoccupé des jeux auxquels ils jouent

(Chorus)
(Refrain)

And I know
Et je sais

So close, no matter how far
Si proche, peu importe la distance
Couldn’t be much more from the heart
Ça ne pourrait guère être plus près du cœur
Forever trusting who we are
Croyant éternellement en ce que nous sommes
No nothing else matters
Non rien d’autre n’a d’importance


Tous mes remerciements pour tous vos précédents commentaires et votre fidélité, alexia001, bibi2403, Reeka, Isabelle, Antlay et Ms Puddle, ainsi que toutes celles qui me les envoient encore par mail ou sur twiter!
Merci également à tous les lecteurs d’avoir pris le temps de la lecture de mon histoire jusqu’ici, même s’ils restent silencieux mais je serais tellement contente de vous entendre ne serait-ce qu’une fois un jour avant la fin ! 😉
❤❤❤
Et comme toujours si vous trouvez des erreurs, n’hésitez pas à me les signaler !


 

Notes:
(1) En général il faut plusieurs mois pour élaborer un parfum quand ce n’est pas davantage, vous me pardonnerez d’avoir raccourci la durée pour les besoins de mon histoire.
(2) Les Parfums Cuirs http://espritdeparfum.com/les-parfums-cuirs/
(3) L’ambre gris est une concrétion intestinale du cachalot. C’est une substance extrêmement couteuse, très parfumée, solide, grasse, inflammable et utilisée en parfumerie de haut de gamme. Elle donne aux parfums, une harmonie difficile à obtenir autrement. Elle se récolte sur les pages où elle échoue ou à la surface de l’eau sur laquelle elle flotte, on ne touche donc pas à l’animal pour le récolter. De nos jours, on utilise plutôt des produits synthétiques pour le remplacer. A ne pas confondre avec l’ambre jaune, qui est une résine fossile utilisée pour faire des bijoux.
http://www.cnrs.fr/cw/dossiers/doschim/decouv/parfums/loupe_ambre.html
(4) The Big Apple : la grosse pomme autre nom que les américains donnent à New York car la pomme est aussi le symbole de cette ville.

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21 réponses

  1. alexia001 dit :

    Coucou Candybert
    Comment vas tu ?
    J’attends le chapitre 29 avec impatience
    Tu avais dit que tu le posterais samedi ou dimanche, je constate que ce n’est pas encore le cas ( sniffff )
    A bientôt
    Bisous

  2. Isabelle dit :

    J’avais tellement hâte de lire la suite… Et comme d,habitude, c’était vraiment bon 😉 Je n’ai vraiment pas hâte à la fin, je suis sûre que tu nous réserve encore plein de surprises. J’ai bien hâte de voir comment va réagir Neal !!!

    • Laure Saint-Yves dit :

      Merci de ton nouveau commentaire! 😀
      Je suis contente de voir que tu continues d’apprécier l’histoire qui effectivement touche à sa fin! J’essaierai de poster l’avant-dernier chapitre à la fin de la semaine dans lequel tu découvriras comment Neal va réagir! 😉

  3. Ms Puddle dit :

    Bravo, Laure Saint-Yves! This is short but filled with emotions, especially the reunion with Aunt Elroy.

    I was a little surprised that Candy had also ordered a customized perfume for POTH! They are such a sweet couple. I can easily imagine their passions and as usual, the love scene is very sensual and well written. You’re getting better and better yet, my friend! Thanks for such a treat!

    Now I’m looking forward to reading how Albert is going to deal with Neil, but no rush, my friend.

    Hugs and kisses to you for all the mentions. Merci beaucoup! ???

    • Laure Saint-Yves dit :

      Many Thanks, Ms Puddle!

      Reunion with Alistair for Aunt Elroy was incredible for her and unexpected! After all she had suffered so many losses too!
      The perfume for POTH was my surprise! 😉 I’m glad you enjoyed the love « perfumed » scene, scents awake senses!

      The next chapter will be the denouement about Neal and so…

      And for the mentions, you’re very welcome! I want to share your great talent with the followers of my blog! 😀

      Hugs and kisses

  4. Reeka dit :

    Short but really well written, Laure Saint-Yves. It’s a good transition from all those romantic scenes to the real life our beloved couple will face soon. And I don’t like this story to end, so you can keep adding short chapters every now and then, my friend!

    I love the smell of ylang ylang! I have a bottle of moisturiser that smells ylang ylang and I’m addicted to the scent. It’s soothing and calming, like you’re in a spa. And what scent better than a blend of musk and wood for a man like Albert! I think I can smell him from here now. ^_^. I do really love this perfumery knowledge you shared! A scent could penetrate deeply to our brain and bring back a certain memory.

    Now that the squad is complete and back to Chicago, I hope they all could help and support Albert and Candy on facing the threat. Sure they’ll survive. Albert is a resourceful and powerful man, though some of board members may want to get rid of him, some would be loyal!

    Looking forward to your next chapter, Laure Saint-Yves! Meanwhile, enjoy your days with the loved ones! 🙂

    • Laure Saint-Yves dit :

      Hello Reeka!

      Thank you for your kind words! 😀 You read in my mind and you’ll laugh, 😆 but I’m so attached to my characters that I have a little trouble to leave them, so I thought maybe to write, from time to time, a chapter to give of their news, as « one shot stories ».

      Well, for me, scents are very important if not essential in the awakening of sensuality, it’s the reason I always wanted to write such a chapter since the beginning! 😉 Perfumery is one of my passion! I am able to not put make up but I never forget to wear my perfume! I feel like something misses to my personality if I do not wear it!

      About the next chapter, all I will say is Albert is a great man and he will prove it again!… but it isn’t a a scoop, is it ? 😉

      Enjoy your days too, Reeka!

      Hugs and kisses

  5. Antlay dit :

    Bonsoir Laure Saint-Yves

    Entre amour et parfum, tout cela est sensuel et enivrant, rien de tel pour éveiller les sens.
    Donc les voilà de retour à Chicago, le prochain chapitre risque d’être houleux !
    C’est toujours un régal et un réel plaisir de lire tes chapitres. ?
    Bises

    • Laure Saint-Yves dit :

      Bonsoir Antlay! Merci de ton commentaire. 😀

      Eh oui rien de telles que les essences pour éveiller les sens! 😉
      Pour le prochain chapitre je te laisserai découvrir comment tout cela va se résoudre ! 😉
      :-*
      PS: je te répondrai demain à ton message!

      • Antlay dit :

        Ah ah ah ! Tu m’as bien fait rire ! Quel beau jeu de mots, bravo ! ?
        Et tu as tout le temps pour me répondre, rien ne presse.
        Bonne soirée et reposes toi bien.

        • Laure Saint-Yves dit :

          Merci! Je crois que j’aurais dû la placer dans mon chapitre! 😆 !

          • Antlay dit :

            Oui ça c’est clair, toujours autant d’humour ! ?
            A l’occasion tu pourras peut être me conseiller un parfum qui collerait le mieux à ma personnalité. J’en ai testé de nombreux, le dernier c’est A… ou D…. je l’ai choisit pour son nom, un peu comme moi ?

  6. bibi2403 dit :

    oui je voudrais bien la traduction de candy et prince of the hill car je ne comprends pas l anglais

  7. bibi2403 dit :

    photo d albert divine. etre a la place de candy pour albert pour se faire croquer et le croquer. chapitre magnifique vivement la suite et tes autres histoires si tu en ecrits d autres

    • Laure Saint-Yves dit :

      Oui le dessin est divin, je suis entièrement d’accord! Merci pour ton nouveau commentaire, toujours la première! 😀
      Il est vrai que cette histoire tire à sa fin mais je n’en ai pas écrit d’autres encore. Pour la suivante, je prendrai une pause entre les deux pour me ressourcer un peu. En attendant je traduirai peut-être les lettres de l’histoire finale (CCFS) ou autre chose, je ne sais pas si cela en intéresserait certains ?

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