Chapitre 11 : dis-moi oui !

Tout d’abord une grande nouvelle, Ms Puddle a commencé une nouvelle fic sur Albert et Candy! Youpie! ??????Elle s’intitule « A man in love » c’est en anglais mais il y a un traducteur google sur son blog. J’ai adoré le chapitre 1 que vous pouvez lire en suivant le lien ci-dessous.

A man in love – Chapitre 1

Un amour dans la tourmente!

Je rappelle que cette histoire est déconseillée aux enfants.

Le refus de Candy était plutôt inattendu d’après les retours que j’ai lus! Alors Albert va-t-il réussir à convaincre Candy de l’épouser? Sans plus tarder voici la réponse…


  • Non Albert, je ne peux pas !

A ces mots, le monde d’Albert bascula, il fût tout d’abord désarçonné par sa réponse même s’il avait remarqué son hésitation avant de répondre, il avait observé dans son regard qu’un débat intérieur se déroulait en elle. En entendant ce « non », il se figea sur place comme un papillon piégée dans de l’ambre, son visage avait pâli comme un linge, il avait l’impression que son sang s’était glacé dans ses veines pétrifiant son cœur qui s’arrêta un instant avant de repartir en martelant furieusement sa poitrine meurtrie. Il pensa qu’elle avait une seconde pensée et des doutes quant à ses sentiments pour lui et cela lui ravagea l’âme, lui dépeça le cœur en millions de petits fragments ; il y avait tellement crû à ce grand bonheur avec elle depuis ces trois dernières semaines, il lui semblait qu’une spirale infernale était en train de l’aspirer tout entier. Il essaya de lire ses émotions dans ses grands yeux verts, ils étaient remplis de douleur et de larmes. Puis il pensa « elle a dit je ne peux pas et non je ne veux pas ! » y avait-il encore un espoir ?

Candy pouvait être son plus grand bonheur comme sa pire souffrance.

Il était comme un accusé à son procès, jugé pour flagrant délit d’amour pour lequel il ne pouvait plaider que « coupable », il se trouvait maintenant à la merci de son juge et bourreau de son cœur et il risquait de prendre une peine d’amour à perpétuité. La gorge serrée à cause d’une boule qui s’y était formée, il ne pût prononcer qu’un seul mot tout en redoutant la réponse qui allait sceller sa sentence et son destin:

  • Pourquoi ?
  • Je ne suis pas digne de toi, Albert ! Répondit-elle en sanglotant.

Le jeune homme n’en croyait pas ses oreilles. D’un côté il était soulagé car ses sentiments envers lui n’étaient apparemment pas remis en cause mais d’un autre côté, comment pouvait-elle penser une chose pareille? C’était comme prendre une peine avec sursis. Pour lui Candy était la femme la plus digne de ce monde, il eut mal dans sa poitrine qui se serra brusquement, son esprit se révolta alors qu’il sortit de sa torpeur, il était prêt à récidiver et pour échapper à la peine encourue, il commença à élaborer un plan d’évasion. Il déposa alors le gâteau avec la bague, l’arme du crime, sur le plaid à côté d’eux et tomba ensuite sur ses deux genoux devant elle comme pour demander sa grâce mais il s’explosa.

  • QUOI ? Mais que dis-tu, Candy ? Je ne comprends pas ! Il écarquillait les yeux et haussa les sourcils d’incompréhension.
  • Un homme de ton rang devrait épouser une femme de grande classe, appartenant à son milieu ! Se défendit-elle.
  • C’est ridicule ! Jamais je n’épouserai une femme pour son pédigrée ou par convenance, ce sera toi ou je resterai célibataire jusqu’à la fin de mes jours ! Et que fais-tu de nous? Tu proposes que l’on fasse marche arrière comme si de rien n’était? Que l’on redevienne de simples amis? Tu penses sincèrement que c’est possible? Non, je ne peux pas! Tu es ma meilleure amie, mon grand amour et la femme de ma vie ! Jamais je ne renoncerai à toi, certainement pas pour cette raison-là !

Chris Lind – A Story Of Us (*)

 

Il parlait avec une forte conviction qui ne laissait pas de place au doute. Ces quelques phrases commençaient déjà à s’insinuer dans l’esprit de Candy, effectivement que deviendrait leur relation si elle refusait de l’épouser? Ses pensées se bousculaient dans un chaos total. Albert prit alors ses mains dans les siennes, planta son regard droit dans le sien et lui demanda avec passion :

  • Candy, est-ce que tu m’aimes ? Est-ce que tu m’aimes vraiment ?
  • Bien sûr Albert! Je t’aime comme je n’ai jamais aimé personne! Mais ta famille risque de s’y opposer, en particulier la Tante Elroy, elle m’a toujours détestée ! Et maintenant qu’elle sait que tu as risqué ta vie pour me retrouver ici, cela ne risque pas d’arranger les choses et je ne veux pas être la raison de disputes entre vous ! De plus, pense à ta réputation, tu es le chef du clan Ardlay et tu ne peux pas épouser une pauvre orpheline et ton ex-fille-adoptive par-dessus le marché! Comment veux-tu que je tienne ce rôle d’épouse du patriarche avec dignité ?
Manga - Vol. 8 p 90

Manga – Vol. 8 p 90

Candy toujours assise, avait sa voix qui tremblait d’émotion, des larmes inondaient ses joues, ses mains s’agrippèrent à celles d’Albert comme pour se raccrocher à quelque chose et ne pas finir de s’écrouler complétement sur place. Albert entama alors son plaidoyer final, jouant le rôle de son propre avocat.

  • Je sais que la révélation de ma véritable identité est encore récente et que ce fût un choc pour toi. Je sais également que d’accepter le rôle d’être la femme du patriarche est quelque chose de lourd à porter mais je ne te l’aurais pas demandé si je n’avais pas été sûr que tu seras capable d’assumer ce rôle pleinement car tu es la jeune femme la plus forte et la plus digne que je connaisse, Candy ! Toutes les épreuves que tu as endurées et que tu as surmontées avec brio le prouvent ! Je suis si fier de toi, mon amour, de la personne que tu as toujours été et de tout ce que tu as accompli. Alors si tu m’aimes du plus profond de ton cœur, Candy, ne me fait pas souffrir ainsi et épouse-moi ! Je veux que tu sois à mes côté lors de ma présentation officielle, en tant que mon épouse ou ma fiancée. Je t’en supplie, ne laisse pas les autres ou les conventions décider, laisse-moi juge de qui est digne de moi ! De ce qui est le mieux pour moi ! Et s’il le faut, je suis prêt à tout abandonner pour toi, à renoncer à mon nom et à ma fortune si c’est le seul obstacle à notre union et vivre à nouveau comme un simple commis de cuisine! Les jours les plus heureux de ma vie furent ceux que j’ai partagés avec toi ici et aux Magnolias alors que je n’avais ni nom, ni fortune et pourtant, je suis prêt à y retourner sans hésitation du moment que c’est avec toi ! Tha gaol mór agam ort, (1)… je veux dire, je t’aime tellement, je t’aime plus que ma propre existence, la vie sans toi est tout simplement insupportable, inimaginable ! Ton nom est tatoué sur mon âme avec de l’encre indélébile, mon cœur est marqué au fer rouge par notre amour et maintenant que j’ai pu espérer, que j’ai pu goûter à cet amour, ce trésor, je ne suis pas prêt à y renoncer, pour rien au monde, jamais ! Je ne te laisserai pas faire et je te referai ma demande chaque jour, encore et encore et jusqu’à la fin de mon existence si nécessaire et jusqu’à ce que tu acceptes. Alors abrège mon agonie, dis-moi oui a shùgh mo chridhe (1) my sweetheart et fais de moi le plus heureux des hommes !

Candy réfléchit pendant quelques instants, elle sentait les grandes mains chaudes d’Albert serrer les siennes et ses pouces qui les caressaient, elle le regardait, ses beaux yeux bleus étaient humides des larmes qui menaçaient de se répandre à tout moment, ils étaient à la fois remplis d’angoisse, d’amour et de supplication, alors comment refuser d’épouser cet homme si passionné qui était prêt à tout pour elle, le seul homme qui refusait de l’abandonner, le prisonnier de son cœur, le seul homme qui la choisirait toujours peu importe les obstacles, cet homme qui était aussi son Prince de la Colline, son premier amour et qu’elle aimait par-dessus tout ! Oui comment lui dire non ? Pour son propre bien ? Mais elle le ferait souffrir en choisissant cette voie, il était déjà au bord des larmes alors qu’elle savait qu’Albert était un maitre dans l’art de cacher ses émotions et cette vision lui était insupportable. Dire non, uniquement parce qu’elle avait peur, peur de semer la zizanie entre lui et sa tante ? Peur de ne pas être digne de lui aux yeux de sa famille ? Peur de lui faire honte aux yeux de la société ? Peur de ne pas être à la hauteur du rôle de femme du patriarche qui l’attendait ? Non ! Il lui faisait confiance et il avait raison car elle était plus forte que tout cela, Albert la rendait aussi plus forte encore et leur amour était si profond, si puissant, qu’il vaincrait tout, ainsi elle répondit :

  • Oh ! Albert, te faire renoncer à ta famille ? Jamais je ne te demanderais une chose pareille, je t’aime tellement alors… oui… oui j’accepte de t’épouser ! C’est mon rêve le plus cher de passer le restant de ma vie à tes côtés!
  • Oh ! Mon amour, tu m’as fait tellement peur !

Il l’enlaça dans ses bras tandis que des larmes coulaient sur ses joues se mêlant aux siennes. Il était gracié et il n’aurait pas besoin de plan d’évasion finalement !

  • Pardonne-moi mon Joli Bert mais tout est allé si vite … notre amour est si fort alors moi aussi je serai forte mais je crains pour ta réputation !
  • Tu oublies que j’ai une réputation d’oncle excentrique à défendre ! Depuis toujours, mes choix de vie n’ont jamais suivi les conventions ni les canons de la société.

Dit-il avec humour maintenant qu’il était soulagé de son agrément, il voulait ainsi lui faire comprendre qu’il avait déjà fait l’objet de critiques et de commérages et qu’elle n’y était pour rien puis il poursuivit sur un ton plus concerné :

  • Je sais aussi mo cridhe (2) que certains membres de ma famille ne t’ont pas traitée de la manière dont tu le méritais mais dorénavant, c’est moi le chef de famille et c’est moi qui décide de qui j’épouserai, pas ma tante ni ma famille ! Et je te garantis que je ne laisserai plus personne te manquer de respect, plus jamais !
  • Mais je suis si inquiète pour tes relations avec la Tante Elroy !
  • Elle finira bien par comprendre que mon bonheur s’appelle Candy, et que je me marierai uniquement par amour avec la plus merveilleuses des femmes, il lui faudra seulement un peu de temps pour l’admettre. Il faudra aussi qu’elle réalise la femme exceptionnelle que tu es car elle ne l’a pas encore compris en partie à cause de mauvaises langues mais elle finira par s’en rendre compte. Au fond d’elle-même elle a un cœur même si elle ne le montre pas et si elle voit que je suis l’homme le plus heureux du monde grâce à toi, je suis sûr qu’elle t’acceptera à la fin et réalisera que tu es la meilleure compagne possible pour moi.
  • Je l’espère du fond du cœur mo cridhe (2) car je t’aime infiniment, Albert!
  • Je t’aime passionnément Candy et je veux passer le restant de ma vie à t’aimer!

I Want To Spend My Lifetime Loving You Marc Anthony & Tina Arena (**)

 

Alors Albert lâcha Candy pour saisir la bague et la lui glissa sur son annulaire gauche en disant :

  • Tha mo ghion ort(1) ce qui veut dire je t’aime de tout mon cœur. Ceci est la bague de fiançailles que mon père a offerte à ma mère et mon grand-père à sa femme avant lui, aujourd’hui je suis si heureux de l’offrir à ma future femme, je t’aime Candy pour toujours et à jamais, tu es mo ghaol bith-buan (1) c’est-à-dire mon amour éternel, tu es la seule et unique femme que j’ai rêvée d’épouser !
  • Je suis si émue, si heureuse et je suis tellement honorée de porter ce joyau familial, cette bague est vraiment magnifique !

C’était un anneau en or blanc surmonté d’un diamant blanc principal de plusieurs carats et taillé en brillant de forme ronde qui étincelait de mille feux en attrapant la lumière solaire, il était encerclé par deux arabesques sur chacune desquelles  il y avait une petite émeraude entourée de deux petits saphirs bleu azur dont la couleur rappelait les yeux d’Albert et les pierres vertes, celle des yeux de Candy. Le diamant symbolisait leur amour éternel.

  • Mais dis-moi Joli Bert, comment se fait-il que tu avais cette bague avec toi ? Demanda-t-elle sur un ton mutin.
  • L’instinct m’a poussé à l’emporter avec moi, je ne saurais pas te dire pourquoi exactement, peut-être mon désir profond de trouver ma future femme en chemin ?

Répondit-il avec un clin d’œil avant de l’enlacer pour l’embrasser amoureusement.

 

Après toutes ces émotions notre couple d’amoureux qui avait dévalé la colline en chahutant et se retrouva ensuite à vouloir faire une sieste, perdu dans une belle prairie avec des herbes hautes et de jolies fleurs des champs multicolores.

Candy s’était endormie mais Albert n’avait pas réussi à fermer l’œil encore sous le coup des émotions. Il pensait à leur avenir, à ce qui les attendait en tant que mari et femme et il avait tellement hâte de vivre avec elle, ensemble sous le même toit comme avant, non, mieux qu’avant car ils seraient unis par les liens sacrés du mariage. Leur vie ensemble avait été si chaleureuse même si à l’époque il l’avait partagée avec le fantôme d’un autre, cette fois-ci ce serait mieux car elle serait à lui et à lui seule, toute entière, corps et âme… oui, son corps aussi… Il s’était mis à admirer sa belle endormie, cette dernière pensée le troubla alors il préféra ne pas se laisser aller sur cette voie, il décida donc de la retirer des bras de Morphée et pour cela il se servit d’une brindille qu’il tenait entre ses doigts et commença à effleurer son visage avec ; ses contours avaient perdu ses rondeurs enfantines, ses taches de rousseur s’étaient estompées et ses traits étaient devenus plus fins, plus raffinés. Il détaillait chaque caractéristique avec adoration, il admirait maintenant ses longs cils noirs, recourbés, soyeux et épais qui étaient comme un écrin de velours cachant jalousement ses belles émeraudes alors qu’elle dormait mais qui les soulignaient avec amour lorsqu’elles le regardaient ; c’était le visage d’une belle jeune femme qui s’épanouissait. Ses yeux avides se focalisèrent ensuite sur cette belle bouche rose et pulpeuse qui se mit à sourire en murmurant son surnom « Joli Bert ». Était-elle réveillée ? Apparemment non, elle rêvait, elle était en train de rêver de lui en souriant et maintenant elle gémissait légèrement. Que rêvait-elle exactement ? Visiblement c’était plutôt agréable car elle continuait de sourire, elle prononça encore son nom alors il ne résista pas à son appel et continua à la chatouiller de plus belle avec sa brindille pour l’éveiller, il commença par son nez qu’elle se mit à froncer puis il utilisa le végétal comme si c’était une prolongation de sa propre main, ce « sixième doigt » descendit sur sa joue puis le long de son menton pour atteindre son cou, il hésita un instant avant de poursuivre plus sensuellement vers sa clavicule puis plus bas attiré comme un aimant vers son décolleté. Albert se sentait coupable de se laisser emporter par son esprit grivois mais le spectacle était si tentant et puis ce n’était pas comme s’il n’essayait pas de la réveiller et après tout ce n’était pas sa main qui la caressait s’excusa-t-il mentalement mais cela ne l’allégea pas entièrement de sa culpabilité. C’est alors qu’il se rendit compte qu’entre-temps elle avait dû se réveiller car sa respiration avait changé, elle n’était plus aussi rythmique et calme qu’auparavant, les yeux clos, elle faisait semblant de dormir. Cela le fit sourire et le soulagea quelque peu car il n’était pas le seul à avoir l’esprit coquin : Candy profitait des sensations agréables que cette brindille lui prodiguait, sa respiration s’accélérait de plus en plus et soudain… le jeune homme vît sous la fine étoffe de sa joli robe vert pâle, deux protubérances s’ériger et qui tendaient le tissu,… et ce fût sa perte, la lutte qu’il avait menée fût mise en échec et son cerveau fût drainé de tout son sang qui se dirigea tout droit vers la partie la plus tendre de son anatomie, enfin… qui était la plus tendre jusqu’à maintenant !

Pour garder un tant soit peu le contrôle de la situation, il détourna son attention ainsi que son regard qu’il porta maintenant sur son visage mais avec difficulté puis il dit avec une voix rauque :

  • Tu es réveillée ma belle au bois dormant ?

Pour toute réponse, un sourire flasha sur son doux visage puis elle se mordit la lèvre inférieure pour se retenir de rire mais ce geste pourtant innocent était si sensuel. Elle ouvrit alors les yeux en battant des paupières de manière à s’adapter à luminosité ambiante tandis qu’Albert succomba à l’appel de cette bouche appétissante. Il brossa d’abord doucement ses lèvres contre les siennes puis il saisit chacune d’elle à tour de rôle pour les sucer comme si c’était un bonbon succulent et les savourer, Candy soupira, frissonna et referma les yeux avec anticipation tandis qu’elle attrapa de ses deux mains sa nuque et la caressa avant de les enfoncer dans sa chevelure dorée et soyeuse mais il n’approfondit pas le baiser, pas tout de suite. A la place, il laissa errer sa bouche sur la ligne de son menton puis descendit sur ce point particulièrement sensible de son cou où il huma son odeur florale si enivrante, il s’y attarda pour la faire frémir et gémir de plaisir avant d’atteindre son lobe d’oreille qu’il goûta et titilla de la pointe de sa langue avant de le mordiller tendrement. Le goût de sa peau était un vrai festin. Ensuite, il revint à sa bouche pour en prendre enfin pleine possession. Pendant ce temps-là, Candy descendît l’une de ses mains pour explorer tout son torse langoureusement ce qui stimula Albert à s’égarer sur ses courbes féminines tout en resserrant son étreinte sur elle. Il roula pour se retrouver au-dessus d’elle, il prit appui sur ses avant-bras pour ne pas l’écraser sous le poids de tout son corps mais son bassin la pressait contre le sol. Il savait qu’ainsi Candy allait prendre la mesure de toute la force de son désir pour elle mais après tout elle serait bientôt sa femme alors au diable les convenances ! Candy gémit encore plus fort en sentant sa virilité palpiter contre son bas ventre, l’inondant d’une chaleur qui n’avait rien à voir avec celle de cette journée estivale. Elle savait très bien de quoi il s’agissait, son métier d’infirmière lui avait déjà révélé les secrets de l’anatomie masculine, surtout ces quatre derniers mois et cela lui plaisait et renforçait son propre désir de se savoir désirée par l’homme qu’elle aimait, instinctivement elle arqua son dos recherchant un contact encore plus étroit avec son partenaire augmentant la pression et la friction entre leur corps, si c’était encore possible, ainsi que les ondes de plaisir qui déferlaient dans leur être. Il rompit leur baiser qui les avait laissés à bout de souffle afin de pouvoir reprendre haleine tout en l’embrassant dans le cou.

  • Tu sens si bon mon amour !

La voix d’Albert était teintée de son désir, il descendit sur sa clavicule délicate pour y déposer des baisers aussi légers qu’une plume qui la caressait.

  • Je t’aime tant… ma douce Candy…

Sa respiration de plus en plus laborieuse trahissait son excitation.

  • Ah !… Albert, mon amour… je t’aime tellement … moi aussi …

Ils ouvrirent simultanément les yeux et le regard incandescent d’Albert se verrouilla sur celui de Candy voilé par le désir, elle sentait le moindre de ses baisers mêlés à son souffle chaud comme des langues de feu sur sa peau sensible. Tandis qu’elle referma les yeux, elle se mit à haleter tout en caressant les flancs musclés de son fiancé puis elle glissa sensuellement l’une de ses mains sur l’un des pectoraux pour le malaxer comme pour lui montrer inconsciemment ce qu’elle désirait. Albert comprit l’indice et ne se fit pas prier pour répondre à son invitation silencieuse en saisissant dans sa main l’un de ses globes féminins qu’il pétrit délicatement tout en caressant sensuellement le sommet durci avec son pouce, elle ne portait pas de corset ce qui facilitait l’accès malgré le tissu de sa robe. C’était divin pour Candy, les vagues de plaisir qui se succédaient à chaque passage de ce pouce impertinent  sur son pic sensible étaient incroyables et agissaient comme un aphrodisiaque, lui arrachant des gémissements, sa respiration devenait erratique. Le monde de la sensualité que lui faisait découvrir Albert un peu plus à chaque étreinte était merveilleux et elle sentait qu’elle avait encore tant de choses et de territoires inconnus à explorer et elle avait très envie de faire ce voyage initiatique, avec lui, elle se sentait l’âme d’une exploratrice.

Le jeune homme était ravi de sa réaction à ses attentions, ravi de découvrir un peu plus chaque jour la belle sensualité de sa dulcinée. Albert sentait son abandon total, sa confiance aveugle en lui et son plaisir évident ce qui augmentait sa propre excitation, comme il aimait ses courbes, ses gémissements, les caresses qu’elle lui prodiguait, c’était si érotique mais il savait aussi qu’il devait s’arrêter avant de perdre complétement la tête, c’était une dichotomie de l’esprit entre sa raison et sa passion, un combat entre son corps et son esprit, et même si elle était à sa merci dans toute sa vulnérabilité, il ne voulait pas profiter d’elle et trahir sa confiance. Il l’aimait trop. Il la respectait trop. Alors peu à peu, il diminua l’intensité de leurs caresses et de leurs baisers qui chaque jour passant, devenaient de plus en plus hardis, de plus en plus intimes ; ils se découvraient, repoussant chaque fois de plus en plus loin les limites.

Il posa son front contre le sien, plongea son regard dans le sien encore rempli de sensualité et lui caressa la joue tout en reprenant haleine.

  • Oh ! Candy, je t’aime tellement mais nous devons nous arrêter avant de perdre la tête.
  • Mon amour, je sens que je serais capable de tout entre tes bras. Tu me fais ressentir de telles choses… des sensations… que je n’aurais jamais crues possibles… j’aime quand tu m’embrasses, … quand tu me touches… j’ai l’impression de m’enflammer,… de fondre et je sens que… j’ai envie… de bien plus encore… même si je ne sais pas exactement de quoi et en même temps cela me fait peur, j’ai peur de perdre le contrôle.

 

Leur regard était verrouillé l’un dans l’autre.

Intense.

Chacun rempli de l’amour pour l’autre.

Profond.

Et du désir de l’autre.

Puissant.

 

  • Si cela peut te rassurer, mon amour, tu me fais exactement le même effet,… je te désire tellement. Dit-il d’une voix rauque, presque éraillée et encore haletante.

Il était touché de son honnêteté et de sa confiance en lui pour oser lui révéler ses sentiments les plus profonds, ses émotions les plus secrètes, ses pensées les plus intimes. Il avait l’impression de perdre son âme dans la sienne, ne faisant plus qu’une. Ils se connaissaient tellement bien.

 

Ils étaient maintenant sur le dos à contempler les jolis nuages blancs emportés au gré du vent comme un troupeau de moutons qui broutaient dans un pâturage bleu azur. Ils cherchaient à quoi ils ressemblaient.

  • Regarde celui-là, Albert, on dirait une tête de lion.
  • Moi, il me fait plutôt penser à toi, tu vois, là, c’est ta crinière de boucles. Se moqua-t-il gentiment en joignant le geste à la parole en dessinant les contours du nuage en question.
  • Sauf que je n’ai pas encore de cheveux blancs, Joli Bert alors que les lions blancs existent même s’ils sont rares !

Ils s’éclatèrent de rire. C’était si bon ce moment d’insouciance enfantine, c’était relaxant.

 

Ils terminèrent leur journée à gambader pour profiter de la nature qu’ils aimaient tant, main dans la main, leurs doigts entrelacés en se chuchotant des mots d’amour. C’était la liberté de pouvoir le faire loin de chez eux sans chaperon et sans souci des commérages.

Avant de repartir, ils finirent les victuailles en guise de souper puis ils récupérèrent leurs bicyclettes qu’ils avaient laissées au pied du vieux chêne, au sommet de leur nouvelle colline et ils rentrèrent sous le soleil couchant à l’hôpital.

XXX

Quand la jeune fiancée rentra dans sa chambre pour aller dormir, Lise qui était encore éveillée, remarqua la jolie bague au doigt de Candy. La brunette piaffait d’impatience de la questionner à ce sujet, ce qu’elle fit.

  • Alors Candy, tu n’as rien à me dire ? Dit-elle avec malice.
  • Regarde Lise, Albert m’a demandée en mariage ! Répondit la blonde toute excitée en lui montrant le bijou de famille.
  • Ooooh ! Waouh! … Félicitations ma belle, je suis si heureuse pour toi ! En plus cette bague est magnifique !
  • C’est un bijou de famille.

Alors Candy lui raconta les évènements, comment elle avait d’abord douté à cause de ses origines, son amie la gronda d’avoir failli tout faire rater. Ensuite elle parla de leurs activités bucoliques, à savoir la visite du vignoble et leur balade romantique. Lise la taquina sur un autre type d’activité passé sous silence.

  • Et c’est tout ?
  • Oui, c’est déjà pas mal pour une simple journée !
  • Pas de bisous-bisous ? La provoqua-t-elle en faisant un clin d’œil juste pour l’embêter un peu.
  • Ah ! Lise tu es vraiment impossible quand tu t’y mets ! Candy était devenue toute rouge en repensant plus particulièrement à la scène dans la prairie.
  • Je voulais juste te taquiner un peu ma belle !
  • En fait, en parlant de cela… je… Candy hésitait.
  • Oui ?
  • C’est-à-dire que c’est assez gênant…

Comprenant de quel sujet elle voulait parler, Lise essaya de mettre Candy à l’aise.

  • Tu sais Candy, j’ai été mariée et je sais ce que c’est que d’être très amoureux alors tu peux me parler en toute sincérité.
  • Eh bien… Albert me fait ressentir des choses… tellement fortes… je crois que s’il ne s’était pas comporté comme un gentleman, eh bien je pense que … je l’aurais laissé prendre ma vertu, aujourd’hui !

Candy était rouge de honte, elle détourna le regard et se tortillait les mains.

  • N’aie pas de honte Candy, c’est tout à fait normal d’avoir ce genre d’attirance et de pulsion, cela signifie simplement que vous êtes tous les deux très amoureux.
  • Mais tu te rends compte, Lise, nous ne sommes pas encore mariés !
  • Je peux te faire une confidence, Candy ?
  • Oui, bien sûr !
  • Kévin et moi, avons devancé nos vœux de mariage !
  • Non !? S’exclama Candy la bouche bée et les yeux écarquillés.
  • Eh bien si ! Nous devions nous mariés en août 1914 et comme tu le sais la guerre a éclaté fin juillet et Kévin a été mobilisé avant que la cérémonie ne puisse avoir lieu et lors de nos dernières heures passées ensemble… nous nous sommes aimés dans tous les sens du terme.
  • Et tu ne l’as pas regretté ensuite ?
  • Non car notre amour était sincère et cela nous a laissé un bon souvenir à chérir malgré les circonstances, c’était un secret juste entre nous que l’on partageait, quelque chose de précieux qui nous reliait encore davantage. De plus, je me suis dit que je lui faisais un cadeau au cas où… Ensuite il est revenu en permission six mois plus tard et nous nous sommes enfin mariés. Au moins nous étions moins stressés pour la nuit de noces et nous avons pu pleinement en profiter! Finit-elle avec un sourire espiègle.
  • Tu n’as pas eu peur de te retrouver enceinte ?
  • C’était un risque, en effet mais j’ai pensé que si tel était le cas alors ce serait un cadeau de la vie, j’aurais pu élever cet enfant même seule le cas échéant puisque je travaillais.
  • Et tu n’avais pas peur du scandale ? De ta famille ?
  • Tu sais, Candy, j’ai toujours eu un esprit un peu rebelle et anticonformiste ! Quant à ma famille je n’ai jamais été très proche d’eux, nous avons très peu de contact et j’ai toujours été considérée comme le vilain petit canard ! D’ailleurs, mes parents voulaient que j’en épouse un autre issu d’une famille plus riche et avec des connections dans la haute société mais étant majeure, j’ai refusé car c’était Kévin que j’aimais. Heureusement que je pouvais m’assumer financièrement car en représailles, ils m’ont coupé les vivres. Et puis c’était juste entre Kévin et moi, personne n’en avait jamais rien su jusqu’à aujourd’hui… Bien sûr s’il y avait eu un bébé cela aurait été différent mais le destin en a décidé autrement.

Lise avait un sourire triste comme si elle regrettait que cet enfant n’ait pas été conçu au final, il aurait concrétisé le fruit de l’amour entre elle et son défunt mari même s’il l’avait été avant le mariage. Ensuite, mise en confiance, Candy lui posa des questions sur « la première fois », Lise la rassura en lui disant qu’elle devrait faire confiance en Albert car il y avait de l’amour sincère dans leur couple et qu’il avait prouvé, pas plus tard qu’aujourd’hui, qu’il savait se maîtriser et être tendre malgré sa passion.

Puis Lise lui raconta qu’un nouveau convoi de matériel fût intercepté et que tout le monde était sur les dents, les soupçons planaient sur chacun et  l’ambiance aujourd’hui avait été plutôt tendue. Ces attaques posaient un réel problème, d’une part à cause de la pénurie de matériel de soins que cela engendrait, d’autre part, surtout parce qu’il y avait forcément un traitre ici à l’hôpital ou au dépôt de marchandises, et qui sait ce que cette personne pouvait faire d’autre ? Une enquête était donc ouverte.

XXX

Le lendemain après-midi, Candy et Albert furent délégués pour aller chercher des provisions diverses à la ville. Candy connaissait bien le processus pour l’avoir fait plusieurs fois. Ils y allèrent en chariot à cheval comme c’était l’habitude. Sur le chemin du retour, en traversant le petit bois, ils aperçurent une personne étendue inanimée sur le bas-côté. Ils s’arrêtèrent immédiatement pour porter secours et pendant qu’ils s’occupaient de l’homme couché par terre, ils furent assaillis par deux soldats allemands qui s’étaient cachés dans un fourré et maitrisèrent Albert sous la menace de leurs armes, tandis que l’homme à terre se ranima miraculeusement pour neutraliser Candy.

Ils étaient tombés dans une embuscade !

à suivre…

Au moins Candy a dit oui mais que va-t-il leur arriver?

 


Merci de tout cœur pour vos précédents commentaires et votre soutien,

 Isabelle, bibi2403, Anne, Antlay, Ms Puddle, Cécile, Vera Garcia, Tasia et Glynda08

vos gentils mots sont toujours appréciés !

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Si vous trouvez des erreurs, n’hésitez surtout pas à me les signaler!


Notes:

(1) mon cœur en gaélique

(2) gaélique, j’espère qu’il n’y a pas d’erreurs!

 

(*) Lyrics to A Story of Us

Love, take me by the arm.    
Mon amour, prends-moi par la main
Fly with me in this night.
Vole avec moi dans la nuit                                                                                                                                                                Run to me through the stars.
Cours vers moi à travers les étoiles                                                                                                                                             Lay softly in this light.
Allonge-toi doucement dans cette lumière.
Love, love, love,
Mon amour, Mon amour, Mon amour,
Let’s be bold.
Soyons téméraires
Let’s be daring at the ball.
Soyons audacieux au bal
So, so, so,
Ainsi, ainsi, ainsi
They will stare.
Ils regarderont
It’s never bothered me before.
Cela ne m’a jamais dérangé auparavant.

Fall for me like a child.
Tombe pour moi comme un enfant
Fall so I’m not alone.
Tombe, ainsi je ne serai pas seul
Fall. You know I will catch you.
Tombe. Tu sais que je t’attraperai
Fall so that we can fly.
Tombe afin que nous puissions voler.

Love, love, love,
Mon amour, Mon amour, Mon amour,
Let’s get caught
Laissons-nous prendre
Being where we shouldn’t be.
A être là où nous ne devrions pas
You and I will be sought
Toi et moi nous serons recherchés
By the maddest kings and queens.
Par les rois et les reines les plus fous

Run with me.
Cours avec moi
Follow me into this dream
Suis-moi dans ce rêve
Where I dance, climb the moon.
Où je dance, escaladant la Lune
To the dance. To my thoughts.
Pour la danse. Pour mes pensées.
Run with me…
Cours avec moi
Love, take me by the arm.
Mon amour, prends-moi par la main
Fly with me in this night.
Vole avec moi dans la nuit
Run to me through the stars.
Cours vers moi à travers les étoiles                                                                                                                   
Lay softly in this light.
Allonge-toi doucement dans cette lumière.
Love, love, love,
Mon amour, Mon amour, Mon amour,
Let’s be bold.
Soyons téméraires
Let’s be daring at the ball.
Soyons audacieux au bal
So, so, so,
Ainsi, ainsi, ainsi
They will stare.
Ils regarderont
It’s never bothered me before.
Cela ne m’a jamais dérangé auparavant.

Follow me into this dream
Suis-moi dans ce rêve
Where I dance, climb the moon.
Où je dance, escaladant la Lune
To the dance. To my thoughts.
Pour la danse. Pour mes pensées.
Run with me…
Cours avec moi
Run with me.
Run with me.
Paroles de A Story of Us

 

(**) Paroles et traduction de I Want To Spend My Lifetime Loving You / Je veux passer toute ma vie à t’aimer

Moon so bright, night so fine
La lune est si lumineuse, la nuit est si merveilleuse
Keep your heart here with mine
Garde ton cœur ici avec le mien
Life’s a dream we are dreaming
La vie est un rêve que nous rêvons
Race the moon, catch the wind
Course la lune, attrape le vent
Ride the night to the end
Voyage dans la nuit jusqu’à la fin
Seize the day, stand up for the light
Empare-toi du jour, lève-toi pour la lumière

I want to spend my lifetime loving you
Je veux passer toute ma vie à t’aimer
If that is all in life I ever do
Si c’est tout ce que je peux faire dans ma vie

Heroes rise, heroes fall
Un héros se lève, un héros tombe
Rise again, win it all
Se relève, gagne tout
In your heart, can’t you feel the glory
Dans ton cœur, ne ressens-tu pas la gloire
Through our joy, through our pain
A travers notre joie, à travers notre douleur
We can move worlds again
Nous pouvons faire bouger les mondes à nouveau
Take my hand, dance with me
Prends ma main, danse avec moi

I want to spend my lifetime loving you
Je veux passer toute ma vie à t’aimer
If that is all in life I ever do
Si c’est tout ce que je peux faire dans ma vie
I will want nothing else to see me through
Je ne voudrai rien d’autre que d’aller au bout
If I can spend my lifetime loving you
Si je peux passer toute ma vie à t’aimer

Though we know we will never come again
Bien que nous savons que nous ne reviendrons jamais
Where there is love, life begins
Là où il y a de l’amour, la vie commence
Over and over again
Encore et encore
Save the night, save the day
Préserve la nuit, préserve le jour
Save the love, come what may
Préserve l’amour, adviendra ce que pourra
Love is worth everything we pay
L’amour vaut bien tout ce que l’on paie

I want to spend my lifetime loving you
Je veux passer toute ma vie à t’aimer
If that is all in life I ever do
Si c’est tout ce que je peux faire dans ma vie
I want to spend my lifetime loving you
Je veux passer toute ma vie à t’aimer
If that is all in life I ever do
Si c’est tout ce que je peux faire dans ma vie
I will want nothing else to see me through
Je ne voudrai rien d’autre que d’aller au bout
If I can spend my lifetime loving you
Si je peux passer toute ma vie à t’aimer

 

 

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32 réponses

  1. Louna dit :

    Bonjour
    je suis une grande Fans de Candy et Albert j’ai commencé à lire votre histoire dés début de sa publication comme beaucoup de fans j’aurai voulu avoir la fin quand Albert et Candy dévoile enfin leur amour !!!merci a des auteurs comme vous qui nous fait rèvér.
    j’ai lu également true romantica une histoire fantastique cé comme cela que j’imagine la suite et la lune de miel génial !!!
    Fans antillaise de Guadeloupe (Louna)

    • Laure Saint-Yves dit :

      Bonjour Louna,

      C’est toujours un grand plaisir de découvrir de nouveaux fans de Candy et Albert et de nouvelles lectrices, alors bienvenue sur ce blog et merci beaucoup pour ces gentils mots.
      Je suis contente d’apprendre que mes fics vous plaisent, ce sont de tels commentaires qui me donnent envie de poursuivre.

      J’en profite pour passer un bonjour à tous les amis des magnifiques Antilles! 😀

  2. Tasia dit :

    Hello Laure Saint-Yves ?

    Youpîiiiiiiiiiii je le savais!!!! Cela ne pouvais être autrement! Albert avec une déclaration qui ferait rougir cupide lui même à réussi à rassurer Candy ! Et c est avec joie et émue qu elle accepte la demande d Albert!

    Pfiouuu attends je m essuie le front! Car la suite est encore plus déroutante!!!!!

    Voilà que mon amie Glynda relance la Sexualberite! D ailleurs elle en est tout autant touché que moi! Même pire après un tel chapitre!!!

    Je propose même d être la brindille ! Mais pour chatouiller Alberounet bien sûr ?

    Ah! Albert est à Candy?

    ???je ne suis pas jalouse ?Je partage mdr!

    Merci Laure Saint-Yves pour ce superbe chapitre!!!

    A très bientôt j espère !!!!

    • Laure Saint-Yves dit :

      Coucou Tasia! 😀

      Bon un peu de retenue les filles, oui bon je sais c’est de ma faute… enfin celle d’Albert! 😉
      En tout cas, je constate que la scène de la brindille a crée des vocations pour certaines à être des brindilles « en herbe » pour aller chatouiller notre héro! 😆

      A bientôt pour le chapitre 12!

  3. Ms Puddle dit :

    First of all, Laure Saint-Yves, you made me blush when I first read this update. Thank you so much for your compliments and mentioning my new story. Merci beaucoup, mon amie.

    I totally agree with Antlay here. Bravo Laure Saint-Yves! Poor Albert, almost thought he would be lonely forever, managed to convince Candy. One good point he raised was that they couldn’t revert to be merely friends and pretend nothing had happened between them.

    About the passion in the meadow, that’s your expertise my friend. It was so sensual that I thought they would lose it… lol… after Candy’s conversation with Lise, I have a feeling that they would eventually cross the line… heeheehee

    Anyway, the ambush was completely unexpected, but I hope you wouldn’t harm them?

    • Laure Saint-Yves dit :

      You’re very welcome Ms Puddle, you deserve an homage! I have to catch up the chapter 2!

      Thank you for your encouraging words! Indeed, Candy and Albert simply couldn’t revert to be merely friends and pretend nothing had happened between them, how so?!

      About the meadow scene, I don’t know if that is my expertise, but I can’t imagine love, romance without passion and sensuality! I only hope I don’t shock too much even if I take up this completely! 😉

      Would they cross the line?… I’ll let you guess, my friend!

      • Ms Puddle dit :

        Yes I agree with you about passion… when they’re so in love, it’s hard to imagine that they wouldn’t lose their heads… lol ?
        This story I have a feeling that they would cross the line before going back to America ?

        • Laure Saint-Yves dit :

          So, Antlay and you Ms Puddle, you think they would lose their heads and cross the line without be married?! Well, well, well… we will see! … 😉

  4. Glynda08 dit :

    coucou Laure Saint-Yves 😀

    OUIIIIIII !!!!
    quoi, le titre de ce chapitre 11 n’était pas une question ouverte aux lecteurs ?? Parceque dans l’état où je suis, je pourrais dire oui à tout ce que tu veux pourvu que j’ai la suite !!!!

    Woww, certes, mon petit coeur a commencé à se serrer avec les manigances de Jane et j’ai redouté que les nuages noirs qu’elle a soufflé au dessus de ce paysage idyllique pour nos amoureux, se transforment en tempête…
    Fort heureusement, Albert ne se fait pas duper longtemps et sa confiance en l’être pur qu’il aime le ramène à la raison !!

    Un plan donc qui tombe à l’eau pour Jane 😀
    Cela dit j’ai bien compris qu’elle n’était pas foncièrement mauvaise et que la douleur et la jalousie l’ont égaré…
    C’est pourquoi j’ai aimé qu’elle trouve le pardon auprès des trois protagonistes concernés. Candy lui pardonne sans hésiter. C’est vraiment une belle âme et par moment je me dis qu’elle est même trop bonne :p
    Quant au Docteur, je suis sûre qu’il arrivera à consoler et se consoler auprès de Jane dans le futur 😉

    Puis c’est la demande en mariage !!!!!
    OUIIIIIII !!!! Ah, non c’est toujours pas une question pour la pauvre lectrice que je suis, mais bien pour Candy 🙁
    Et, je savais bien que finalement elle n’est pas si parfaite puisqu’elle dit NON !!!! en fait, elle est même complètement folle 🙁

    Mais Albert trouve les mots pour la convaincre.
    Mon dieu que sa déclaration était belle !!! Un moment magique qui restera gravé dans mon esprit.

    Quant à cette petite sieste champêtre, et surtout le réveil empli de désir et de sensualité… C’était une pure merveille qui vient confirmer ma  » sexualberité  » (un mot qui selon moi devrait rentrer après cette lecture, dans tous  » les anales  » :p. Aïe aïe aïe, j’arrête avant de dire trop de bêtises et me faire bannir de ton blog 🙁 )

    Et tu termine bien sûr en nous jetant une bombe dégoupillée dans les mains avec cette embuscade 🙁

    Où est le chapitre 12 Laure Saint-Yves ????
    Ah oui c’est vrai… à pus… et je dois rentrer à présent dans la file d’attente des âmes en peine jusqu’à sa parution 🙁

    Bon j’arrête de faire mon ingrate :p. Je sais que le plaisir arrive à qui sait attendre, et je sais que le plaisir sera intense !!!

    A très bientôt Laure Saint-Yves 😀 (hein ?? :D)

    Bisous

    • Laure Saint-Yves dit :

      Ah! OUI… je suis désolée que cette demande ne vous était pas adressée à vous lectrice ni même à moi-même d’ailleurs car comme l’on dit, charité bien ordonnée commence par soi-même! Je ne suis pas aussi altruiste que Candy comme tu peux le constater! 😉
      Pauvre Jane, perdre une perle pareille, on peut comprendre sa frustration même si l’on n’est pas d’accord sur avec actions! Mais bon… le beau doctteur n’est pas mal dans son genre… qui sait?

      Candy qui dit non quand on rêve toute de dire un grand oui, cela énerve, hein? Mais c’était sans compter sur le pouvoir de persuasion de notre blond favori, pense donc, il a eu tellement de mal à gagner son amour qu’il n’allait quand même pas la laisser faire!

      Quant à ta « sexualberité », le mot m’a bien fait rire! Tu devrais le faire breveter… Je crois que c’est l’effet « Albert », il a le don de nous faire dériver vers des contrées les plus sauvages et débridées!

      Quant au chapitre 12, c’est promis, il arrive bientôt!

      Bisous

    • Antlay dit :

      Ms Puddle je partage votre sentiment, je pense aussi qu’ils vont franchir la ligne blanche, pardon la rouge et à une vitesse excessive ! ?
      Laure Saint-Yves, tu as de la chance ce n’est pas encore un délit, sinon tu risquerais de finir à ton tour derrière les barreaux ! ?

      • Antlay dit :

        Oups ! Je viens de commettre un écart de conduite, j’ai laissé un commentaire sur la mauvaise file ! Je vais me faire réprimander à mon tour ! ?

      • Laure Saint-Yves dit :

        Tous les paris sont ouverts à ce que je vois, vont-ils consommer avant ou après le mariage?
        Quant aux barreaux, je préfère mettre la barre haut et respecter la loi et ne pas m’y retrouver derrière même pas dans une cage dorée de bon aloi ! 😆

        • Glynda08 dit :

          Ne t’en fais pas Laure Saint-Yves ! Nous  » prison  » sans vergogne tes talents de metteur en scène à la  » Barrault  » quitte à nous retrouver nous même, dans le prétoire face au grand  » barreau  » 😀

          Désolée de l’intrusion, je passais par là lire ta réponse 😀 (je sors :p )

          • Laure Saint-Yves dit :

            Chapeau bas mesdames, vous avez de l’imagination et le sens des jeux de mots! 😀

  5. Antlay dit :

    Bonjour Laure Saint-Yves

    Voilà un chapitre chargé d’émotions en tout genre et que tu as brillamment dépeint.

    Tout d’abord j’ai adoré la première partie, la façon dont tu as exprimé le ressenti d’Albert tel un réquisitoire lors d’une audience au tribunal.
    Pauvre Albert assis sur le banc des accusés, anéanti, qui risque d’être condamné à se retrouver seul derrière les barreaux d’une cage dorée. Mais revirement de situation, le voici maintenant membre du barreau, il se défend en entamant une plaidoirie magistrale afin de convaincre Candy. Enfin le verdict final tombe ! Ils sont tous les deux condamnés à s’aimer à perpétuité ! ?

    Passons à l’acte suivant, le passage de la sieste ! Tu manies la brindille, pardon la plume de façon très sensuelle. Cela m’a beaucoup amusé ! Pour tout avouer, cela m’a rappelé un fait similaire mais avec une plume d’oiseau cette fois et qui s’est terminé par des rougeurs sur la peau, l’arme du crime « la plume » ayant provoquée une allergie ! ?
    C’était il y a bien longtemps, il y a prescription aujourd’hui.

    Et comme si cela ne suffisait pas, les voilà maintenant victimes d’une embuscade ! Quel sort leurs ravisseurs vont-ils leur réserver ?
    Comme toujours suspension de séance, tu adores jouer avec nos nerfs ! Délibération et reprise à la prochaine audience ! ?

    • Laure Saint-Yves dit :

      Bonjour Antlay,

      Merci beaucoup de ton témoignage que tu as laissé par le biais de ta déposition! 😆 En parlant de barreaux, cela m’a beaucoup fait rire, j’aurais pu employer l’image, tu es une experte même si ce n’est pas à Miami ou Manhattan et tu ne manques pas de répartie! 😉

      J’ai bien aimé aussi le passage de la plume même s’il fût un peu gâché en plein « vol » à cause d’une allergie !

      Pour connaître le dénouement de cette ambuscade et comme tu l’as deviné, suite au prochain épisode…

  6. watre anne dit :

    merci encore un beau chapitre et de belles chansons et merci pour les traductions j attend la suite avec impatience

  7. Cécile dit :

    Vous nous tenez encore en haleine…. c’est passionnant de vous lire!!! Merci.
    Nos deux personnages préférés sont enfin fiancés…
    Ne nous faites pas languir trop longtemps pour la suite….
    Au plaisir de vous lire Laure Saint-Yves..
    Cécile

    • Laure Saint-Yves dit :

      Merci Cécile,

      Je vais essayer de ne pas vous faire languir trop longtemps, le prochain chapitre a juste besoin d’être peaufiné encore un peu avant publication! 😀

  8. Reeka dit :

    Good Lord, what have you done to us, Laure Saint-Yves? Don’t say you’d separate them again. ??

    Hello, my dear friend! I know I’d been silent for weeks, but it didn’t mean I missed your chapters! I always read. ?

    I love all those Albert said to assure Candy that all he wanted was her. I like when he said « it would be you or I’d be single for the rest of my life ». And for sure I was very much entertained with the lovey dovey part. ?

    May I guess something? This whole ambush scene … Would it lead them to a place where they would be reunited with a certain american pilot? **hopefully!!**

    Thank you, Laure Saint-Yves. You never disappoint us.

    • Laure Saint-Yves dit :

      Hello Reeka!

      No worries for your silence my dear friend, it is not an obligation to let a comment for each chapter, I’m so grateful anytime you write one! 😀

      I know I don’t spare you, readers and characters, I don’t like monotony in fiction, but you have to know me by now! 😆

      About ambush scene and your guessing, well I will let you know with the next chapter! 😉

  9. bibi2403 dit :

    Tu nous fais de la torture mentale la c est pas bien. J adore xe plus en plus.

  10. sarah dit :

    Merci Laure Saint-Yves
    pour cette magnifique histoire que je lis avec un immense plaisir
    quel plaisir d avoir des personnes comme vous de bien montré l amour entre candy et albert qui ne peux etre autrement
    je me souviens quand je regardais candy quand j etais ados au niveau anim albert n etais pas mis en evidence et j ai comme la plus part des filles je voyais candy et thierry et s est en lisant le manga que je me suis apercu de toute la tendresse et complicité qu il avait ensemble et la je suis tombé en amour pour notre beau albert il est magnique sur le manga et mois avantageux sur l anim
    sur chaque histoire merci de nous faire rever avec ses belles illustrations du manga
    j attends avec impatience la suite
    tendrement
    sarah

    • Laure Saint-Yves dit :

      Bonjour Sarah, c’est un plaisir de vous lire, merci de vos gentils mots! ?

      Quant à vos sentiments à propos de l’histoire de Candy je partage exactement les mêmes ayant eu le même parcours que vous! J’ai également découvert en premier le dessin animé quand j’étais une très jeune ado et alors pour moi LE couple était Candy et Terry puis comme vous mais bien plus tard j’ai découvert la version Manga et là, je suis tombée sous le charme d’Albert, l’animé ne lui rend vraiment pas justice. Aujourd’hui, il ne fait aucun doute pour moi qu’Albert est le compagnon idéal pour Candy, et puis n’est-il pas son Prince de la Colline? Sinon pourquoi avoir créé ce personnage? La boucle est bouclée avec lui. ?

      Bisous

      PS: on peut se tutoyer, cela ne me dérange pas! 😉

  11. Isabelle dit :

    bonjour c’est magnifiquement écrit ! j’ai adoré c’est comme un super roman !
    merci de nous le faire partager ! à quand la suite là ??? j’ai trop hâte de savoir…!

    • Laure Saint-Yves dit :

      Merci Isabelle, ? ? c’est vraiment gentil même si je n’ai pas la prétention d’écrire un roman, juste une fiction divertissante.
      Quand à la suite, j’essaie de publier deux chapitres par mois, cela prend du temps car j’ai un travail à côté et je révise et remanie beaucoup mes chapitres jusqu’à ce que je sois satisfaite ou presque. Cela dépend aussi de l’inspiration qui n’est pas constante!

  12. Isabelle dit :

    Ah ! Encore une fois, tu nous laisses sur une situation insoutenable !!! Nous avons toujours hâte de lire la suite ! Merci, tu as réussi à raisonner Candy ! Mais encore une fois, le destin leur joue des tours. Espérant que ça ne sera pas trop grave ou lourd de conséquences !

    • Laure Saint-Yves dit :

      Tu fais erreur Isabelle, ce n’est pas moi qui ai convaincu Candy, c’est Albert! 😉 😆
      Encore une fin de chapitre en suspens, je suis terrible avec vous mais ce sont aussi les épreuves qui forgent les caractères des personnages et renforcent leur amour! 😉

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