Chapitre 21 : retour à Chicago.

Avertissement : L’histoire de Candy Candy et de tous ses personnages appartiennent à Kyoko Mizuki, les images à Yumiko Igarashi et le dessin animé à TOEI Animation.
L’histoire écrite ci-après est une fiction à but non lucratif.

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Un petit chapitre pour m’échauffer après ce hiatus et reprendre le fil de l’écriture.

Flash-back

Miami, lundi 14 avril 1919

La famille Leagan venait de recevoir un courrier comme quoi l’engagement et par conséquent le mariage du grand oncle William avec Candy avait été annulé. Eliza et Neal étaient en train de jubiler ensemble.

– Alors ma sœur es-tu contente et fière de moi ?
– Oh merci Neal ! J’aurais bien aimé voir la tête de Candy lorsqu’elle a rompu avec l’oncle William et je me demande bien ce qu’elle a invoqué comme prétexte ? Elle ricana méchamment.
– Peu importe ! Le principal est qu’avec leur mariage annulé la honte ne s’abattra pas sur la famille. Et bientôt je pourrai enfin la posséder ! Dit-il avec une étincelle machiavélique dans le regard.
– Donc tu en es toujours amoureux, décidément, je ne te comprends pas !
– Je la veux, un point c’est tout !
– Neal, c’est de l’obsession !

Eliza sentait malgré tout que l’attitude de son frère allait au-delà de la normale, c’était autre chose que de l’amour mais peu lui importait maintenant elle allait pouvoir se marier et peut-être même bien avec Fergus finalement !

Fin du Flash-back

 

La maison de Pony, mercredi 16 avril 1919

Terry était sur le point de partir maintenant que Candy allait mieux et qu’il avait pu apaiser ses relations avec ses amis, il pouvait rejoindre son destin vers la côte ouest. Candy et Albert aussi étaient heureux d’avoir pu chasser le fantôme Terry faisant place à l’ami. Albert n’aurait plus à craindre ou à voir Terry comme une épée de Damoclès au-dessus de leur bonheur, Candy l’avait vraiment choisi lui, Albert, leur amour avait été mis à l’épreuve mais elle n’avait eu aucun doute, aucune hésitation. Albert avait le sentiment que leur amour était invincible et que rien désormais ne pourrait les séparer.

– Bien, maintenant que je sais que Tarzan taches de son est entre de bonnes mains, je peux repartir tranquille !
– Terry, mon ami, je te remercie pour être venu me chercher à temps, je t’en serai éternellement reconnaissant. Albert lui tapotait chaleureusement l’épaule.
– Ne me remercie pas Albert, je sais que tu aurais fait la même chose et puis si Candy revit c’est grâce à toi, alors prends bien soin d’elle et ne la laisse plus te quitter sinon… la prochaine fois, je ne serai peut-être pas aussi beau joueur !

Terry plaisanta en faisant un clin d’œil, une façon pour lui de cacher le pincement au cœur qu’il ressentait encore même s’il savait qu’il était en voie de guérison. Il était plein d’espoir pour le futur.

– Au revoir Terry ! Merci pour tout et surtout donne-nous de tes nouvelles.
– Oui, promis et cela vaut pour vous aussi, je vous enverrai ma nouvelle adresse. Au revoir mes amis et soyez heureux.
– Au revoir Terry et bonne route !
– Au revoir M. Graham ! S’écrièrent en chœur, les deux mamans d’accueil et les enfants.

Georges conduisit Terry à la gare de Lakewood. Candy et Albert ne pouvaient pas se montrer ensemble et il était temps pour Albert de repartir à Chicago mais il ne voulait plus laisser Candy loin de lui, il avait failli la perdre et cela lui avait été insupportable, il n’était donc pas question pour lui de la laisser loin de lui. Ils s’étaient isolés dans le bureau pour discuter.

– Candy, je voudrais que tu reviennes vivre avec moi à Chicago, je serais plus rassuré car tant que nous ne saurons pas qui est derrière tout cela, tu pourrais de nouveau être agressée !
– Mais normalement je devais rester encore deux semaines ici et puisque le mariage est annulé…
– Il n’en est pas question, nous allons nous marier, enfin… si tu en as toujours envie…
– Bien sûr que oui mais je ne veux pas risquer ta vie !
– Nous allons bien finir pas savoir qui a commandité tout cela.
– Mais en attendant je ne veux prendre aucun risque mon amour ! Il ne serait pas logique d’habiter sous le même toit après avoir officiellement rompu !
– Oui, je le sais mais tu serais mieux protégée au manoir !
– Je te rappelle que la deuxième fois c’est sur la propriété des Ardley que je me suis fait agressée.
– Mais c’était à l’extérieur du manoir, dans le domaine et tu étais seule, à partir de maintenant tu sortiras accompagnée et dans le manoir tu ne risqueras rien car je donnerai des instructions pour renforcer la sécurité. Je t‘en supplie Candy, écoute-moi !

Albert la prit dans ses bras et la regarda avec des yeux si implorants pendant qu’il lui caressait la joue, il coinça alors une mèche de cheveux rebelle derrière son oreille. Ce simple geste, ce regard si intense en émotion suffirent à la faire fondre.

– Bon, très bien, je suppose que je n’ai pas pris de bonnes décisions récemment alors je vais t’écouter. Et pour la suite quels sont tes projets ?
– T’épouser le plus tôt possible. Je t’aime et je n’en peux plus d’attendre !

Il saisit alors ses lèvres avec les siennes pour y déposer un doux baiser. Albert avait son idée mais il devait d’abord en discuter avec Georges pour les détails administratifs.

– Je t’aime aussi Albert mais j’ai si peur pour ta vie !

Elle lui caressa tendrement la joue avec une vive anxiété visible dans ses yeux.

– Pour l’instant on fera comme si le mariage était annulé aux yeux du monde pour ne prendre aucun risque tant que l’enquête n’aura pas abouti. Je pense que l’on en saura plus d’ici deux à trois semaines et alors on avisera, qu’en dis-tu ?
– D’accord mais il va falloir prévenir le Dr Martin !
– Je lui en ai déjà parlé il y a deux jours et l’infirmière qui doit te remplacer arrivera plus tôt que prévu.
– Tu avais déjà tout planifié en fait ! Candy lui fit un clin d’œil en souriant.
– Tu es tellement plus jolie quand tu souris !

Ils se regardèrent amoureusement et ils scellèrent leur accord par un profond baiser. Albert était maintenant soulagé que Candy ait finalement accepté de le suivre à Chicago et il était heureux de pouvoir profiter de la présence de sa fiancée tous les jours. Candy au fond d’elle-même était ravie de suivre son bienaimé et de pouvoir ainsi le voir chaque jour.

 

Chicago, mercredi 16 avril 1919

C’est ainsi que Candy repartit dans l’après-midi pour Chicago avec Georges et Albert qui s’était déguisé afin de ne pas être reconnu comme au bon vieux temps mais cette fois-ci avec une perruque et une fausse barbe brunes, des lunettes de soleil pour cacher ses magnifiques yeux bleus et une tenue très simple. Dans le train qui les mena de Lakewood à Chicago, ils ne voyagèrent pas en première classe afin de ne pas attirer l’attention sur eux et ce fût une simple voiture conduite par un homme de confiance et ne portant pas l’emblème des Ardley qui vint les chercher à la gare pour les mener au manoir. Toutes les précautions étaient prises, Albert avait bien conscience qu’ils étaient probablement menacés par des mafieux agissant à la solde de quelqu’un et on ne plaisantait pas avec la mafia. La violence commençait à exploser dans le pays et en particulier à Chicago à cause de leurs trafics en tout genre, une véritable organisation du crime.
Enfin, ils arrivèrent au manoir. Albert conduit Candy à sa « nouvelle » chambre qui étonnée devant la porte lui demanda.

– Mais ce n’est pas ma chambre ?
– Je t’ai fait aménager ta nouvelle chambre il y a quelque temps. C’est l’ancienne chambre de Rosemary et c’est la plus belle du manoir, elle donne sur le jardin de derrière et elle se trouve juste à côté de la mienne. Il y a une surprise pour toi à l’intérieur. Entre !

Candy entra et découvrit une pièce spacieuse, lumineuse, très féminine, décorée avec goût et attention dans des coloris pastel ; les tentures assorties au couvre-lit étaient ornés de roses délicatement brodées de couleur rose pâle avec leur feuillage vert clair sur un fond blanc. Mais ce qui attira le plus son attention fût le mobilier.

– Albert c’est… c’est si beau !

Elle était très émue car elle savait que c’était la chambre de la sœur d’Albert ce qui signifiait énormément. Elle s’approcha de la commode et commença à l’effleurer du bout des doigts.

– Ces meubles sont magnifiques!
– C’est ma surprise, en fait j’avais prévu de te les offrir pour ton anniversaire (1) mais puisque tu es là, autant que tu en profites dès maintenant. C’est moi qui les ai fabriqués de mes propres mains pour toi Candy, ils te plaisent ?

Candy n’en croyait pas ses oreilles, elle haussa les sourcils, avait les yeux écarquillés et la bouche bée, son cœur se mit à palpiter. Elle pensait « un tel travail ! »

– Oh ! Albert ! Bien sûr, je les adore, merci du fond du cœur mon amour !

Elle se jeta dans ses bras et l’étreignit par la taille et lui dit, « Comment as-tu fait avec la quantité de travail que tu as à faire ? »

– J’ai commencé il y a des mois, je ne pensais pas que tu n’aurais pas beaucoup le temps d’en profiter, vu que nous serons bientôt mariés.

Il la regarda avec un air coquin et Candy se mit à rougir légèrement et dit :

– Et bien quand nous serons mariés cette chambre sera pour notre future fille !
– J’ai tellement hâte !

Il parlait sur un ton rauque en lui déposant un bisou dans le cou lui envoyant des frissons partout. Elle répondit timidement et sur un ton presque inaudible : « moi aussi ». Puis il ajouta :

– Je voulais t’offrir un cadeau personnel, autre chose que ce que l’argent peut fournir, quelque chose que seuls de la sueur et des larmes (1) peuvent donner et y placer un peu de moi-même pour ma princesse.

Albert lui caressa la joue puis la ligne de son menton très tendrement avec la pulpe de ses doigts. Il avait plongé son regard profond dans les deux lacs émeraude agités par l’émotion. Candy sentit le nez et les yeux qui commençaient à picoter, signe de larmes imminentes, elle était si émue qu’elles se mirent à rouler sur ses joues. Ils restèrent ainsi quelques instants puis Candy se détacha des bras forts de son amoureux pour examiner de plus près son cadeau.

Elle commença à explorer les différentes pièces de mobilier. Tout d’abord la commode qui était constituée de quatre tiroirs, une table de chevet, une coiffeuse avec un miroir, une armoire et un lit. Chaque pièce était en bois peint de couleur vert pastel et une rose était gravée. Elle s’approcha du lit et elle en caressa amoureusement le pied en s’imaginant que chaque centimètre carré avait était taillé, poncé et peint par les mains de son bienaimé. Ses doigts s’attardèrent sur la rose gravée comme pour en mémoriser chaque détail. Elle imaginait Albert en train de travailler sur chaque pièce comme elle l’avait déjà vu bricoler dans l’appartement des Magnolias, elle savait qu’il était très adroit de ses mains et qu’il était capable de tout réparer en un clin d’œil mais là il s’agissait d’un travail qui avait nécessité des mois de labeur entre ses réunions, ses voyages, son travail quotidien harassant.

Comment avait-il trouvé le temps nécessaire ? Probablement au détriment de son sommeil ! Elle n’en fût que plus touchée.
Albert était ému jusqu’au plus profond de son être de la voir ainsi authentiquement heureuse, de contempler ses petites mains délicates s’égarer sur chaque meuble, cette façon presque sensuelle qu’elle avait d’effleurer le bois. Elle prenait son temps, s’attardant sur chaque élément, chaque détail.

– Merci, vraiment merci Petit Bert ! Puis elle ajouta timidement et en rougissant, « Tu seras ainsi avec moi, m’accompagnant dans mes rêves. »
– Oui, en attendant de le faire de ma personne après notre mariage. Lui répondit-il avec malice.

Candy se mit à rougir avec profusion en comprenant son allusion. Albert la saisit alors par la taille et lui caressa tendrement ses joues rosies par l’émotion. Ils se regardèrent droit dans les yeux qui étaient étincelants et remplis d’amour. Candy passa alors ses mains autour de son cou, lui caressa la nuque et les cheveux ; ils s’embrassèrent alors passionnément et longuement, chacun se languissant de pouvoir bientôt s’abandonner dans un lit conjugal. Leur intimité croissante au cours de ces derniers mois exigeait maintenant d’atteindre un autre niveau, le dernier, l’ultime niveau de l’amour charnel.

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Madame Elroy les rejoignit dès le lendemain, elle avait voyagé séparément avec sa suite afin de ne pas éveiller les soupçons. Elle n’avait pas encore revu Candy depuis la révélation de l’histoire, elle la remercia d’avoir su tout sacrifier pour sauver la vie de son neveu. Elle avait dorénavant une nouvelle preuve de l’amour profond et authentique que Candy nourrissait envers son neveu mais elle était très inquiète pour lui. Pour cette dernière et unique raison elle n’était pas d’accord au maintien du mariage tant que toute cette affaire ne serait pas résolue. A la demande d’Albert elle avait quand même rapporté la bague de fiançailles et la boite à bijoux avec son contenu. Il s’empressa de rendre le tout à Candy les yeux brillants d’émotion, elle pleura de joie en retrouvant ses chers trésors. Bien évidemment la bague resterait pour l’instant dans son coffret pour préserver le secret.

 

Mercredi 30 avril 1919

Albert se trouvait avec Georges dans le bureau, ils étaient en grande discussion.

– L’enquête piétine, on n’arrive pas à mettre la main sur les deux agresseurs.
– La poisse ! Je ne veux pas reporter le mariage, Georges ! Je vais bientôt reprendre les longs voyages d’affaires de plusieurs mois et je ne veux plus rester loin d’elle. Si nous étions mariés, je pourrais l’emmener avec moi, sinon ce sera impossible, pas sans ternir sa réputation et il n’en est pas question.
– Cela ne serait pas prudent William ! Qui sait ce qui pourrait se passer si le commanditaire venait à apprendre l’événement.
– Alors peut-être devrions-nous nous marier à l’étranger, en Europe ! Il était prévu que j’y aille dans quelques mois pour y développer les affaires et prospecter de nouveaux marchés. Je pourrais avancer la date de mon départ, officiellement pour développer le business et bien ce serait le bon prétexte pour cacher le mariage, enfin si Candy est d’accord, je sais qu’elle tenait à se marier dans la chapelle de la maison de Pony et avec ses proches auprès d’elle mais de toute façon les travaux ne sont pas terminés. Que sais-tu des formalités administratives Georges ?
– Cela dépendra du pays mais si vous pensez à l’Ecosse ou l’Angleterre cela ne me parait pas être une très bonne idée car votre famille y est connue.
– Oui tu as raison Georges, c’est dommage car l’Ecosse m’aurait bien plu et pour plusieurs raisons.
– Oui j’imagine ! Mais pourquoi pas la France, les formalités pour des personnes de plus de vingt et un ans y sont simples et vous y êtes inconnu donc pas de publicité ou de journalistes indiscrets. Pour les formalités, il vous suffit d’avoir un certificat de naissance, une pièce d’identité et il faut publier les bans deux semaines avant la date prévue. Vous pouvez vous marier avec la présence de deux témoins dans n’importe quelle mairie car là-bas le mariage légal est uniquement civil. Vous obtiendrez un certificat de mariage que vous pourrez utiliser ensuite ici pour faire enregistrer l’acte de mariage n’importe quand. Et pour le mariage religieux, il y a des églises évangéliques ou protestantes dans toutes les villes.
– Tu m’as convaincu Georges, de plus c’est une destination très romantique pour une lune de miel! Et puis on pourrait aller en Ecosse avant pour rencontrer le comte d’Angus. Maintenant, reste à convaincre Candy.
– Elle vous aime tant que cela ne devrait pas poser de problème.
– Penses-tu qu’un ou deux mois serait un délai raisonnable pour tout organiser ?
– Je pense que c’est faisable William, je vais m’occuper de tout cela dans la plus grande discrétion, quitte à utiliser des noms d’emprunt pour les différentes réservations du voyage.
– Oh excellente idée Georges !

Georges était à peine sorti qu’Albert se précipita pour aller chercher Candy, il l’emmena avec lui dans le bureau.

– Candy, aimerais-tu faire un voyage en Europe ?
– En Europe ? Oh oui, bien sûr ! Mais quand ? Dit-elle toute excitée.
– Dans un ou deux mois.
– Si tôt ? Elle était surprise.
– Et… si c’était aussi… notre lune de miel ? Dit-il d’un air malicieux.
– Lune de miel !? Alors l’affaire est résolue donc nous pouvons nous marier ? Dit-elle avec joie.
– En fait… non. Tu te souviens que je t’ai dit que j’irais jusqu’au bout du monde pour pouvoir t’épouser alors ce que je te propose est de nous marier… en France… en secret.

Il jaugeait un peu avec anxiété sa réaction au fur et à mesure des mots prononcés.

– Mais alors tu es toujours en danger ! Non Albert je ne peux pas te laisser faire cela. Dit-elle inquiète.
– Puisque ce sera en secret, on voyagera incognito et notre famille n’est pas connue en France il n’y aura pas de danger. Et après la lune de miel, nous pourrons prolonger notre séjour en Europe étant donné qu’il était prévu d’y aller de toute façon pour développer les affaires de notre entreprise, cela prendra des mois peut-être même un an, d’ici là j’espère bien que l’affaire sera résolue et les coupables mis sous les verrous. Ensuite nous pourrons rentrer et renouveler nos vœux à la chapelle de l’orphelinat et faire une cérémonie officielle à Lakewood. Je sais que tu aurais souhaité te marier en premier à la chapelle de la maison Pony mais sincèrement je ne veux pas attendre encore un an pour t’épouser alors qu’en dis-tu ?

Albert l’avait prise par la taille, attendant la réponse, suspendu à ses lèvres il la regardait avec des yeux pétillants mais aussi suppliants. Candy s’était laissée convaincre par les arguments d’Albert, comme d’habitude il avait pensé à tout et puis elle était tellement excitée de pouvoir enfin épouser son Prince. Elle se souvint que l’anniversaire d’Albert était le 28 juin alors elle lui répondit avec un grand sourire :

– Tout d’abord, peu m’importe où nous nous marierons car c’est toi le temple de mon amour Petit Bert. Et moi non plus je ne veux pas attendre encore un an alors c’est d’accord mais j’ai une requête.
– Tout ce que tu voudras ma Princesse. Albert était déjà si heureux de sa réponse qu’il était prêt à accéder à n’importe quelle demande.
– Je voudrais que la date du mariage soit le 28 juin. Répondit-elle en le regardant avec amour.
– Oh Candy, quel plaisir tu me fais, je suis l’homme le plus heureux et le plus chanceux, ce sera le plus magnifique des cadeaux d’anniversaire.

Il souleva Candy et l‘embrassa sur les lèvres en tournoyant avec elle dans ses bras. Les deux amoureux étaient aux anges, ils flottaient sur un petit nuage, dans deux mois ils seraient mari et femme.

– J’aimerais quand même en informer la Tante Elroy, Melle Pony, sœur Maria, Annie, Archie, Patricia et le Dr Martin. Dit Candy.
– Je pense que l’on peut leur faire confiance mais il va falloir être prudents sur le moyen de les mettre dans le secret. Le mieux serait de le faire de vive voix.
– Un mariage en France, finalement c’est plutôt romantique !
– C’est amusant car c’est exactement ce que j’ai dit à Georges qui m’a suggéré l’idée quand je lui ai dit que je pensais à un mariage en Europe !
– C’est vrai ? Eh bien en tout cas, je vais regretter de ne pas m’être mieux concentrée sur les cours de français au collège Saint-Paul !
– Ne t’inquiète pas mon amour, Georges et moi le parlons couramment !

Ils se mirent à rire puis s’enlacèrent dans la chaleur mutuelle de leur bras. Candy et Albert pouvaient de nouveau envisager l’avenir avec sérénité. Leur amour était si grand, si beau que chacune des épreuves qu’ils avaient traversées l’avait renforcé, amplifié, magnifié.

A suivre…

 

Enfin, une date de mariage est planifiée ! Comment va-t-il se dérouler ?
En tout cas il y aura des surprises !…
Et Neal, qu’a-t-il prévu de faire maintenant ?

 

Savage Garden  –  I Knew I Loved You (2) – vidéo de 1SuperDejavu


Tous mes remerciements pour tous vos précédents gentils commentaires et votre fidélité, Ms Puddle, Vera Garcia et Antlay, ainsi que toutes celles qui me les envoient par mail !
Merci également à tous les lecteurs d’avoir pris le temps de la lecture de mon histoire jusqu’ici, même s’ils restent silencieux mais je serais tellement contente de vous entendre ne serait-ce qu’une fois un jour ! 😉
❤❤❤
Et comme toujours si vous trouvez des erreurs, n’hésitez pas à me les signaler !


 

Notes :
(1) Cadeau qui a été offert le jour des 21 ans de Candy inspiré d’une des lettres de CCFS ainsi que l’expression « de la sueur et des larmes ». Pour la description des meubles, tout ce que je sais c’est qu’ils étaient peints en vert, le reste je l’ai imaginé.

(2) Paroles et traduction de «I Knew I Loved You»

I Knew I Loved You (Je savais que je t’aimais)

Maybe it’s intuition
Peut-être que c’est l’intuition
But some things you just don’t question
Mais certaines choses dont tu ne te demandes simplement pas
Like in your eyes
Comme dans tes yeux
I see my future in an instant
J’y vois mon avenir en un instant
And there it goes
Et là, cela s’en va
I think I’ve found my best friend
Je pense que j’ai trouvé ma meilleure amie
I know that it might sound more than a little crazy
Je sais que cela pourrait sembler plus qu’un peu fou
But I believe
Mais j’y crois

[Chorus]
[Refrain]
I knew I loved you before I met you
Je savais que je t’aimais avant de te rencontrer
I think I dreamed you into life
Je crois que je t’ai rêvée dans ma vie
I knew I loved you before I met you
Je savais que je t’aimais avant de te rencontrer
I have been waiting all my life
J’ai attendu toute ma vie

There’s just no rhyme or reason
Il n’y a simplement aucune rime ni raison
Only this sense of completion
Rien que le sens de l’achèvement
And in your eyes
Et dans tes yeux
I see the missing pieces
Je vois les pièces manquantes
I’m searching for
Que je cherchais
I think I’ve found my way home
Je crois que j’ai trouvé le chemin de ma maison
I know that it might sound more than a little crazy
Je sais que cele pourrait sembler plus qu’un peu fou
But I believe
Mais j’y crois

[Chorus]
[Refrain]

A thousand angels dance around you
Des milliers d’anges dansent autour de toi
I am complete now that I’ve found you
Je suis entier maintenant que je t’ai trouvé

[Chorus]
[Refrain]

 


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33 réponses

  1. Vera García dit :

    Bonjour Antlay

    Aidez-moi bien compris, vous ne voulez pas ce que vous commencer par la lettre M, ou tout simplement avoir quelque chose contre Masella et au Mexique, et de Marseille se réfère à la région ou de l’équipe de football. Je suis curieux, je sais que la curiosité a tué le chat, mais je suis un peu téméraire.
    Avoir un bon début de la semaine, son ami encore de nationalité inconnue (pour la survie) Vera.

    • Antlay dit :

      Hola Vera
      Pardonnez moi je pense que je me suis mal exprimée. Je faisais référence à la ville de Marseille car dans cette région les français ont tendance à beaucoup exagérer, je ne voulais pas citer le nom de la ville pour ne pas me faire lyncher. 😀
      Et je pensais me faire lyncher par vous car je n’ai pas pensé que vous pourriez être originaire du Mexique. Si j’ai trouvé la bonne réponse alors sachez que j’ai beaucoup apprécié le Mexique, sa cuisine et sa tequila 😉

  2. Antlay dit :

    Ah ! J’oubliais, sans sueur cette fois-ci, sans effort d’après Candy, effectivement cela est moins physique de réparer une boîte à musique que de fabriquer des meubles, très subtile de la part de Mizuki 😉

    • Laure Saint-Yves dit :

      C’est clair mais ça demande de la minutie et de la patience!
      D’ailleurs je me suis toujours demandé ce qu’il voulait lui dire exactement quand il le lui a donnée, on voit bien qu’il hésite, qu’il est sur le point de lui dire quelque chose d’important au moment où le train part mais quoi? Qu’il part s’engager ou qu’il avait été amoureux d’elle ? Les deux ?

      • Antlay dit :

        Oui la boite d’Alistair bien évidemment, je m’emmêle les pinceaux.
        J’ai eu le même sentiment que toi, probablement qu’il était également amoureux de Candy comme ses cousins mais il semblait timide avec les filles et sachant qu’elle était amoureuse d’Anthony puis de Terry, il n’a peut-être pas oser le lui révéler. Il est probable qu’il allait lui dire qu’il s’engeait dans l’armée, il savait au fond de lui-même les risques que cela comportaient et c’était peut-être la dernière fois qu’ils se voyaient. ?
        Oui c’était un génie et ses inventions du délire. ?

    • Vera García dit :

      Bonjour Antlay
      Ne pas dormir, je pense que cela a affecté mes neurones, je ne peux pas comprendre le français et que je suis en utilisant le dictionnaire. Je ne comprends pas bien votre commentaire Antlay, vous voulez dire qu’il ya une différence subtile entre l’effort physique et intellectuel e et cela a été compris par Candy.

      • Antlay dit :

        Bonjour Vera Garcia
        Je veux dire qu’il a dépensé beaucoup de temps et d’effort pour réaliser la chambre pour le bonheur de Candy, le mot sueur est employé. Puis des années plus tard Candy emploi le même mot « sueur » en parlant de son mari qui lui a reparé la boite à bonheur. Albert a toujours souhaité le bonheur de Candy et des années après qui d’autre aurait pu réparer la boîte à part lui, pour son plus grand bonheur ?

  3. Antlay dit :

    Oui la boîte à bonheur réalisé par Archie, je suis d’accord Laure Saint-Yves, seul son oncle Albert était capable de la réparer. Albert voulait savoir où se trouvait le bonheur de Candy et Archie avait fabriqué cette boîte à musique pour rendre heureuse Candy. L’oncle et le neveu avaient beaucoup de choses en commun et ils se ressemblaient énormément peut-être pas physiquement quoique Albert avec ses lunettes, mais leur caractère était similaire. L’épisode de la voiture en miette quand Albert est à la recherche de Candy après le piège de Niel et la promenade sur le bateau cygne fabriqué par Alistair à Lakewood où Candy et Albert finissent à l’eau me rappelle la première rencontre de Candy et d’Alistair. Ils finissent aussi dans l’eau après que la voiture se soit disloquée. 😀

    • Laure Saint-Yves dit :

      Je pense que tu veux dire la boite d’Alistair, il vaut dire qu’avec tous ces prénoms en A on s’y perd! 😆
      C’est vrai que Stear ressemblait beaucoup à son oncle du point de vue caractère et je l’adore d’ailleurs car il était finalement très pudique dans la démonstration sentimentale, un joyeux compère également et j’aime beaucoup son côté inventeur un peu fou!

      Ah! Les épisodes du cygne et de la voiture dans dans le lac! 😆 D’ailleurs ce cygne c’est Alistair qui l’avait construit je crois?

      • Vera García dit :

        Bonjour Caramelo Bert
        Jusqu’à maintenant comprendre pourquoi Alistair préférait être appelée Stear.
        Merci de votre observation maintenant je suis conscient de ce point; Qu’est-ce que Mizuki intéressante voulais exprimer avec cela?
        Cordialement, son amie Vera.

    • Vera García dit :

      Bonjour Antlay
      Je suis d’accord avec vous, Alistair et Albert étaient physiquement différents mais de même nature.
      Il aurait été intéressant de Alistair découvert qu’Albert était son oncle.
      Cordialement; son amie encore de nationalité inconnue, Vera.

      • Laure Saint-Yves dit :

        Stear est juste un diminutif mais à la limite je préfère le prénom entier!
        Mizuki gardera beaucoup de mystères et nous n’avons pas fini de nous gratter la tête je crois!

  4. ms puddle dit :

    Brilliant ideas in this chapter, bravo, Laure Saint-Yves!

    First, Candy went to Chicago in disguise (did she dress like vagabond Albert lol 😛 … ). Secondly, they were going to get married in secret (thanks to George 🙂 ), even on Albert’s birthday. That sounds interesting and original, my friend. Yes, though I’ve never been to Paris, I’m sure it’s a beautiful city even now. 🙂 Don’t tell me Albert was going to take Candy to Versailles… 😆

    About Candy’s bedroom, a-ha… we both talked about it in our latest chapter. What a coincidence! 😀 I wasn’t sure in CCFS if Albert handmade them all by himself, but for sure the furniture were hand-crafted (not mass produced). Here in this story, Candy’s reactions must have touched Albert’s heart, his efforts and sleepless nights paid off. Well done, Laure Saint-Yves!

    • Laure Saint-Yves dit :

      Hello Ms Puddle!

      Thank you for your kind and encouraging words!

      Wedding on Albert’s birthday, 28th June 1919 was a saturday and I thought what a best gift for him than Candy offering herself to him ? 😉

      About the bedroom another coincidence, indeed ! But we speak of the same characters after all, even if my story doesn’t stick CCFS I picked up many elements from it 😀 For the furniture, I don’t know if they were all handmade by Albert but I thought it could fit his character since he was capable of handwork. Well I pushed the idea further than in CCFS, then! 😀

      • Antlay dit :

        Bonsoir Ms Puddle et Laure Saint-Yves
        Je me permet de me joindre à vous, car tout comme toi Laure Saint-Yves, j’ai le sentiment que le mobilier a été conçu par Albert, car il dit si je ne me trompe pas dans CCFS, que cela est le fruit de sa sueur et de ses larmes. J’en déduit que c’est le fruit de ses efforts. Je me rapelle que dans le manga Albert répare une chaise dans l’appartement des Magnolias, alors tout comme toi Laure Saint-Yves, je pense qu’il est parfaitement capable de concevoir du mobilier.
        Tout comme le passage dans CCFS quand Candy parle du tableau accroché dans son salon quand elle a une trentaine d’années, elle parle d’une peinture que son mari a trouvé sur un marché de Londres. Puis ensuite elle dit que le cadre a été fait à la main. Pourquoi faire allusion à ce détail, je suis persuadée que le mari de Candy a acheté la toile sur le marché, car je doute qu’il s’agissait d’un tableau (toile+cadre) le jeune orphelin qui avait peint la maison de Pony ne devait pas avoir les moyens d’encadrer la toile. Donc je pense que le cadre a été rajouté après l’achat de la peinture et je pense qu’Albert était le seul capable de le réaliser. C’est juste ma théorie 😉

        • Laure Saint-Yves dit :

          Je croyais la même chose que toi Antlay le fruit de sa sueur et de ses larmes indiquait pour moi qu’il avait travaillé dur et s’était même peut-être blessé pour les fabriquer et j’avais en tête exactement la même scène de la chaise cassée qu’Albert avait réparée. Maintenant faire le mobilier de toute une chambre c’est effectivement beaucoup de travail, ce qui augmente encore plus la valeur du cadeau.
          C’est une idée intéressante ce cadre fait à la main peut-être par Albert, peut-être un autre indice laissée par Mizuki? En tout cas il était capable de réparer la boite à bonheur facilement! 😉 Et à part Albert je ne vois pas qui d’autre aurait pu le faire! 😀

  5. Vera García dit :

    Bonjour Caramelo Bert, salutations avec affection

    Certes, après la tempête vient le calme, de sorte que Candy et Albert vont se marier suivant.
    Conseillé pour George suggérer France.
    Et maintenant que la France est pas romantique, me décevra pas, je pensais aller en France et la montée de la Tour Eiffel.
    Non, si vous obtenez mon message et mes informations sont correctes et si FÉLICITATIONS correctes! Son amie Vera.

    • Laure Saint-Yves dit :

      Holo Vera Garcia mi amiga!

      Muchas gracias pour votre commentaire! 😀

      Eh oui, enfin un peu de calme pour notre couple aux cheveux d’or et la réalisation de leur vœu le plus cher à portée de main et en France, bien sûr ce sera romantique! 😉

      Quand pensez-vous venir en France?

      • Vera García dit :

        Bonjour Caramelo Bert
        Avec des amis comme vous et Antlay, je serais physiquement et en France, notamment ses 15 Août à se joindre à les cloches répétés, mais mon cœur est déjà en France grâce à son amitié.

        Et vous avez rafraîchi mon âme, affirmant que la France est toujours romantique.

        Parmi mes projets d’avenir est envisagé connaître la France ne peut pas mettre une date précise encore parce qu’ils ont à réaliser certains des projets de travail, coordonner les dates pour voyager avec la famille et apprendre la langue, parce que les commères moi ont dit que en France, ou vous parlez français ou parlez français, et à ce point, je suis d’approche lente comme les tortues. Mais je l’espère qu’avant la fin de ce siècle, ce en France, je l’espère, il est encore la Tour Eiffel.

        Bert bonbons ayant une excellente fin de semaine, avec satisfaction son amie Vera.

        • Laure Saint-Yves dit :

          Hola Vera Garcia mi amiga!

          Merci pour votre peit mot. Pour vous rassurer il y a de belles choses à voir dans notre beau pays et j’espère que vous ne serez pas déçue!
          Ah la Tour Eiffel, il est vrai que c’est assez impressionnant d’en faire l’ascension mais j’espère que vous n’avez pas le vertige. 😉

          Je vous souhaite également une excellente fin de semaine

          Amitiés

  6. Antlay dit :

    Ah ! je voulais dire au début du siècle dernier bien évidemment. J’oublie parfois que l’on a changé de siècle depuis, je suis nostalgique que voulez-vous 😀

  7. Antlay dit :

    Bonjour Laure Saint-Yves
    Enfin un mariage en perspective, le jour de l’anniversaire d’Albert et en France en plus, on ne peut pas rêver mieux 🙂
    Quel lieu allez-vous choisir, Paris ? Oui se marier à Paris au début du siècle devait être très romantique, ça l’est moins aujourd’hui malheureusement bien que Paris reste encore une très belle capitale. Il y a tellement de lieux romantiques pour se marier, la France est si belle ! Non les français ne sommes pas chauvins 😉
    J’aime beaucoup le passage dans la chambre, la façon dont vous avez décrit le mobilier, Candy qui contemple et touche les meubles avec vénération, ceux faits à la main par son bien aimé.
    Que va-t-il se passer avant le mariage, je me demande ?
    Je vous souhaite un bon week-end. Mes amitiés.

    • Laure Saint-Yves dit :

      Bonjour chère Antlay,

      Merci de votre commentaire avec l’humour toujours au rendez-vous! 😆

      Eh oui, enfin une date et en France, Paris peut-être, on verra bien! C’est vrai que c’était une ville très romantique à cette époque, mais je pense qu’elle reste une ville romantique pour les étrangers encore aujourd’hui, peut-être moins pour nous français! je sais que l’on va dire que je suis chauvine 😉 mais si j’ai choisi la France comme destination c’est aussi pour une autre raison que je vous laisserai découvrir plus tard…

      Pour les meubles, c’est comme ça que j’imaginais la scène, je suis contente qu’elle vous ait plu. ah Albert! Quel homme!… Soupir.

      Un très bon week-end à vous aussi.

      Toutes mes amitiés.

    • Vera García dit :

      Bonjour Antlay
      Comme les Français sont chauvins, non, s’il vous plaît, ont tendance à être fier nationaliste, qui exagèrent parfois un peu, il est autre chose.
      Passez une bonne semaine, votre ami Vera.

      • Laure Saint-Yves dit :

        Ah! Ah! Ah! Vous êtes vraiment drôles toutes les deux, c’est bien d’avoir le sens de l’autodérision! 😆

      • Antlay dit :

        Hola Vera Garcia qué tal ?
        Si les français sont assez chauvins et dans le sud de la France ils ont tendance à beaucoup exagérer. Je ne vais pas citer de ville car je risque de me faire lyncher 😀
        Malheureusement certains d’entre nous ne donne pas une bonne image à l’étranger, nous sommes radins, râleurs et j’en passe.
        Ravie de savoir que vous allez venir nous rendre visite en France, un conseil le mois d’août est idéal pour visiter Paris car on y circule bien mieux et c’est très agréable. Ne vous inquietez pas Paris reste romantique et notre « dame de fer » toujours aussi élégante. Mais de quel pays d’origine êtes-vous, l’Espagne ou l’Amérique du Sud ?
        Tu amiga Antlay.

        • Laure Saint-Yves dit :

          J’approuve à 100% tout ce que tu viens de dire Antlay et je ne suis pas fière de l’attitude de certains de nos compatriotes! 🙁

          Paris en Août est effectivement le mois idéal car beaucoup moins de monde.

          • Vera García dit :

            Bonjour
            Ne pas me faire peur, mais pas tous français et du Sud; Vrai! . S’il vous plaît ne pas briser mon rêve, ils doivent avoir une certaine qualité dans les profondeurs de son être, mais ils ont bien caché.
            Son amie Vera.

          • Laure Saint-Yves dit :

            Ne vous inquiétez pas, ce ne sont pas tous les français qui sont comme cela, il suffit d’ignorer les grincheux! 😉

        • Vera García dit :

          Bonjour Antlay
          Vous êtes Antlay cruelle parce que d’abord je suis préoccupé, après qu’elle me fait peur et me encourage à la dernière.
          Et d’ailleurs que ma seule nationalité localiser deux possibilités, l’Espagne est bien un langage compréhensible, mais parce que l’Amérique du Sud, celle de l’Amérique centrale et l’Amérique du Nord ne paient pas les frais à prendre en considération ou les parties de la géographie de L’Amérique est pas à votre goût. Vous devez savoir avant que je dis ma nationalité, ne pas être la lynché.
          Avoir un bon week-end souhaite son ami de nationalité inconnue, pas clair pour vous de deviner, Vera

          • Antlay dit :

            Bonjour Vera Garcia

            Je suis désolée, vous avez raison, comment ai-je pu oublier l’Amérique centrale et le Mexique qui se situe au Nord ! Si vous êtes mexicaine alors j’ai honte, car je m’y suis rendue l’année dernière ! Eh bien entre les marseillais et les mexicains, mon jolly jumper a intérêt à conserver sa réputation du cheval le plus rapide de l’ouest afin que je ne me fasse pas lyncher ! 😀

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