Chapitre 17 : le monde est plein de surprises…

Je commencerai par vous faire toutes mes excuses pour le long délai à publier ce chapitre mais comme vous le savez la vie a ses imprévus qui m’ont tenue loin de mon blog bien malgré moi. Me voilà de retour et je finirai l’histoire pas de crainte à ce sujet mais ce sera peut-être un peu plus long que prévu au départ!

 

Un amour dans la tourmente!

En chemin vers la gare pour prendre le train qui les emmènerait vers le Tréport, Candy  se rappela de quelque chose :

  • Albert tu réalises que le Frère Laurent était aussi le nom du personnage qui a uni Roméo à Juliette !
  • Oui, je sais Candy sauf qu’il était franciscain !
  • J’espère seulement que notre destin sera meilleur que le leur ! Elle se mordilla la lèvre.
  • Il n’y a pas de raison, le plus difficile est derrière nous ! Il lui sourit en guise de réassurance.

 

Pour éviter d’être reconnue, Candy s’était habillée en jeune garçon grâce à de vieux vêtements d’Eugène, le  fils de Louise et Gabriel  avec un pantalon sombre et une chemise marron large en lin. Elle avait bandé sa poitrine et elle portait une casquette à visière qu’elle portait bas sur front afin de cacher ses yeux pour le peu qu’elle ne relève pas trop la tête et sous laquelle elle avait caché sa chevelure. Enfin, elle avait adopté une démarche plus masculine.

Quant à Albert, il avait simplement troqué sa tenue de La Croix Rouge, contre ses vêtements habituels de globe-trotteur qu’ils avaient dans son sac et il s’était gominé les cheveux qui étaient ainsi tout lissés, aplatis et coiffés vers l’arrière, la physionomie de son visage était ainsi différente. Il cachait ses magnifiques yeux bleus derrière sa paire de lunettes aux verres teintés (1).

Ensemble, ils n’avaient plus rien du couple décrit et recherché. Ils devaient juste faire attention de ne pas parler en public afin de ne pas révéler leur accent américain et de ne pas se comporter comme des amoureux.

Dans le train, ils se trouvèrent deux places encore isolées et l’une à côté de l’autre. Au fur et à mesure du voyage, le train se remplit de plus en plus et ils firent semblant de dormir pour éviter de parler et trahir leur nationalité lorsque les sièges en face d’eux furent occupés.

Grâce aux indications précieuses et précises de Gabriel, ils arrivèrent en quelques heures à Dieppe, une station balnéaire du Pays de Caux située sur la Côte d’Albâtre   appelée ainsi à cause de la couleur blanchâtre des hautes falaises crayeuses qui leur rappelaient celles du sud de l’Angleterre. Ils se dirigèrent directement vers le port, pas question de prendre de risque en se baladant. En chemin, ils aperçurent quand même sur le rebord ouest de la falaise, le château-fort en silex et grès, c’était une véritable petite forteresse médiévale qui dominait la ville avec son pont-levis, ses tourelles et son donjon. Ils empruntèrent une rue qui longeait la plage constitués de galets aux formes lisses et arrondies. La mer qui venait lécher la côte avait une couleur gris-bronze laiteux en cette fin d’après-midi.

Ils savaient que le plus dur serait de trouver un bateau et encore plus difficile obtenir deux places pour embarquer le plus rapidement possible. Il fallait se renseigner, pas moyen de faire autrement alors Albert se fit passer pour un anglais qui voulait se rendre en Angleterre. Mauvaise nouvelle : pas de place disponible avant au moins deux semaines et en plus il y avait un avis de recherche les concernant placardé au comptoir de la gare maritime. Albert sentit son cœur passer un battement mais garda son calme en voyant l’affiche. Rester ici tout ce temps augmenterait sérieusement le risque d’être pris et puis où se loger sans attirer l’attention ?  Autre difficulté, pour réserver les places il fallait fournir les passeports, autant se livrer directement aux autorités ! Albert revint dépité auprès de Candy afin de réfléchir.

  • Albert, qu’allons-nous faire ?
  • Je ne sais pas encore Candy mais nous allons trouver une solution, ne t’en fais pas. Il se frottait le menton tout en réfléchissant.

Ils s’éloignèrent de la gare maritime et passèrent près de deux hommes en grande discussion qui leur tournaient le dos. Ils parlaient anglais, l’un avec un accent américain, l’autre anglais. Candy et Albert saisirent une partie de leur discussion :

  • Il manque trois infirmières à l’appel pour embarquer demain!
  • Sait-on si elles vont bientôt arriver ?
  • Non, elles sont peut-être en zone occupée ou prises sous des bombardements, comment savoir !
  • C’est très ennuyeux, on ne peut pas faire attendre les blessés indéfiniment !

La voie américaine semblait familière à Candy, intriguée elle se rapprocha, c’était un homme brun avec des lunettes puis…

  • Dr Frank !
  • Euh… pardon ? Dit l’américain perplexe ne reconnaissant pas le « jeune homme » qui l’avait l’interpelé.
  • C’est moi, Candice. Dit Candy en relevant sa visière pour mieux dégager son visage.
  • Melle Candice ! Ou devrais-je dire tête de linotte (2) comme vous appelait Melle Marie-Jeanne. Que faites-vous donc ici ?!

Le médecin était interloqué non seulement de la retrouver ici mais en plus habillée en garçon. L’homme à l’accent anglais la détaillait de la tête aux pieds avec de grands yeux ébahis tandis que Candy avait un air penaud.

  • C’est une très longue histoire mais pour faire court je me suis engagée à La Croix Rouge avec mon ami Albert que voici. Albert, je te présente le Dr Frank qui pratiquait à l’hôpital Saint-Joseph où j’ai travaillé durant mes études d’infirmière.
  • Bonjour Docteur !
  • Bonjour monsieur !
  • Dr Franck, nous devons absolument rejoindre l’Angleterre le plus rapidement possible et j’ai cru comprendre que vous manquiez de personnel or je pense que l’on pourrait vous aider!

Les deux hommes se regardèrent, l’anglais avec un air interrogateur. Le Dr Frank reprit :

  • Mais que faites-vous habillée ainsi ?
  • Pourrions-nous trouver un endroit tranquille pour en discuter.

Répondit Albert qui voulait se donner un peu de temps pour réfléchir à ce qu’ils allaient dire. Candy semblait en confiance avec le Dr Frank mais que dire de l’autre homme, apparemment médecin, lui aussi.

  • Oui vous avez raison !

Après de brèves présentations avec le deuxième médecin, le Dr Thorton, ils se dirigèrent tous les quatre vers un local occupé par La Croix Rouge. En arrivant, le Dr Thorton fût demandé ailleurs et le Dr Frank conduisit le jeune couple dans un petit bureau.

Candy et Albert s’échangèrent un regard, elle hocha la tête en signe de confiance. Ils prirent tous un siège.

  • Alors racontez-moi votre histoire ! Vous vous êtes encore empêtrée dans des ennuis n’est-ce pas ?

Candy avait travaillé étroitement avec le Dr Frank qui avait appris à la connaitre et surtout à lui faire confiance, notamment lorsqu’elle s’était occupée du pauvre feu M. William Mac Gregor qu’elle avait d’abord pris pour le Grand Oncle William. Elle pensait qu’ils devaient jouer le tout pour le tout et lui dire la vérité. Albert la laissa juge de ce qu’elle voulait dire, après tout elle connaissait le médecin, pas lui mais il avait une certaine appréhension tout de même.

  • Eh bien en quelques mots nous avons travaillé dans un hôpital à l’arrière du front et j’ai été piégée et accusée de haute trahison alors que je suis innocente! Un ami nous a conseillé de nous enfuir afin d’éviter le peloton d’exécution.
  • Vous, accusée de haute trahison ?! Nooon ! Il eut un rire d’étonnement.

Ce fût un grand soulagement de voir que le Dr Frank croyait à son innocence, d’autant plus après avoir appris l’identité d’Albert, futur patriarche de la célèbre et richissime famille Ardlay. Ils discutèrent encore un peu puis le médecin fût d’accord pour les employer tous les deux à bord du navire hôpital qui devait lever l’ancre le lendemain matin pour l’Angleterre. Cela résolvait aussi en grande partie son problème de manque de personnel. Tout fût arrangé, ils dormiraient dans les locaux de La Croix Rouge et aideraient à embarquer les blessés à bord et s’en occuperaient lors du voyage.

 

Le lendemain matin, comme prévu, ils se rendirent sur le quai Henry IV à la gare maritime pour embarquer les soldats blessés à bord du Newhaven.

Le Newhaven était à l’origine, un paquebot français à turbines et hélices, d’environ 90 mètres de long qui assurait la liaison Dieppe-Newhaven. En mai 1915, il fût converti en navire-hôpital de 170 lits environ, sous pavillon britannique. C’était un bateau à vapeur avec deux cheminées blanches et noires et roue à aube.

Une fois tous les blessés et le personnel soignant embarqués, la passerelle fût escamotée et l’ancre levée. Dans un grincement qui ressemblait à une plainte, le pyroscaphe s’ébranla, prenant peu à peu le large.

C’était une belle journée ensoleillée. Candy et Albert restèrent quelques minutes sur le pont, se tenant discrètement par la main et s’offrant un bref regard mais intense et brillant. Ils étaient silencieux dans la communion de leur âme, aucune parole n’était nécessaire car ils étaient envahis par l’émotion.

L’émotion de partager un amour inconditionnel.

L’émotion de voguer vers la liberté, s’éloignant du danger.

L’émotion de la beauté de la nature.

Alors qu’ils s’éloignaient lentement du littoral, un superbe panorama s’offrit à leurs yeux : la falaise leur apparaissait comme une véritable muraille, abrupte et sauvage, où le blanc minéral éblouissant de la pierre était adouci par le vert de la végétation qui faisait comme une chevelure que le vent faisait onduler comme la main d’un amant dans les cheveux de sa dulcinée ; l’ensemble se noyait dans le bleu-vert de La Manche indomptée qui rongeait de façon inexorable la roche, créant des reliefs aux contours uniques et tourmentées. Sur la gauche une petite église était comme perdue au sommet de la falaise.

Les mouettes rieuses venaient en rase-motte leur offrir leurs cris d’adieu.

Dernier aperçu sur la Normandie. Le tableau généreusement offert par la nature majestueuse était d’une beauté époustouflante.

Adieu la France ! Ou peut-être n’était-ce qu’un au revoir ?

Le devoir appelait notre couple de tourtereaux alors ils pénétrèrent à l’intérieur du bateau. Ils traversèrent l’ancien boudoir des dames aménagé dans le style Louis XV puis le fumoir, en acajou et velours vert de style Empire. Dans l’ensemble le Newhaven avait été aménagé par l’ébéniste parisien Charles Jeanselme, offrant à ses passagers des panneaux clairs encadrés de montants plus austères. Quel paradoxe! Quel contraste où les civières, les fauteuils roulants et les béquilles côtoyaient cette décoration de luxe, naguère réservée aux plus aisés.

La traversée ne durerait que quelques heures mais elle était dangereuse car nombre de vaisseaux avaient déjà été torpillés. Cependant le jeune couple était bien trop affairé auprès de leurs patients pour y penser. Une attention particulière était portée sur les blessés graves. L’un d’entre-deux, les yeux fermés, attira le regard de Candy. C’était un jeune homme brun, il été allongé mais il semblait à Candy qu’il manquait quelque chose à son beau visage, intriguée, elle se rapprocha et son cœur commença à s’accélérer.

Des lunettes ! Il manquait une paire de lunettes !

Alistair !

Candy avait les jambes en compote à la limite du malaise mais ces mois passés dans l’horreur de la guerre lui avait enseigné la maitrise de soi. Elle n’en avait pas moins la bouche sèche, le cœur battant et la respiration haletante, elle avait porté sa main à sa poitrine. Albert qui gardait régulièrement un œil sur l’élue de son cœur,  la vit pâlir et se décomposer, pris de panique il se rapprocha d’elle.

  • Candy que se passe-t-il, tu n’as pas l’air bien ?
  • Regarde ! Dit-elle tremblante en pointant du doigt le corps inerte du blessé, incapable de dire un mot de plus tant elle avait la gorge serrée.
  • Oh ! Mon Dieu !… Alistair ! Albert resta la bouche bée et avait des yeux ronds comme des soucoupes.
  • Oui… c’est bien lui n’est-ce pas ?
  • Sans aucun doute !

Alistair était très pâle, des cernes bleuâtres sous les yeux et paraissait amaigri mais c’était bien lui ! Candy et Albert lui prirent chacun une main et l’appelèrent doucement. Le jeune homme s’agita légèrement puis ouvrit les yeux quelques secondes se focalisant sur Candy, il prononça très faiblement son nom avant de repartir dans l’inconscience. Plus aucun doute, cela ne pouvait être qu’Alistair Cornwell, en chair et en os et… bien vivant. Candy en tremblait et ses yeux se noyèrent de larmes. Albert était resté sans mot tant l’émotion était grande. Le Dr Frank qui avait observé la scène d’un peu plus loin vint vers eux.

  • Dr Frank comment va-til ? Quelles sont ses blessures ? Est-il en danger ? Demanda Candy inquiète.
  • Oui Dr Frank dites-nous tout !
  • Oh ! La ! Du calme jeunes gens ! Vous le connaissez je suppose ?
  • Oui c’est notre cousin ! Dirent en chœur les deux blonds.
  • Eh bien ! Le monde est bien petit ! Tout d’abord pour vous rassurer, votre cousin est hors de danger. Il a été sédaté pour la traversée afin qu’il ne souffre pas, il a eu plusieurs fractures et a été dans le coma, heureusement léger mais pendant plusieurs mois. Il a été retrouvé inconscient sur une plage près de Dieppe par des pêcheurs français. On n’a pu l’identifier car il n’avait plus ses plaques d’identité. Il est sorti peu à peu de l’inconscience il y a quelques semaines et au début, il ne parlait pas. Ensuite, dans un état confus, il a commencé à parler de Londres, d’un collège Saint-Paul, voilà pourquoi on l’a transféré en Angleterre, il n’était pas capable de nous donner son nom mais il parlait d’une certaine Patty à laquelle il demandait pardon ainsi qu’à son frère Archie et aussi Candy… Candy ? … Candice ah ! mais c’est de vous dont il parlait alors !
  • Aura-t-il des séquelles, docteur ?
  • Non, ses fractures sont guéries et il est sorti du coma, son esprit est encore confus mais c’est normal donc une fois qu’il aura repris des forces, avec une bonne rééducation et maintenant qu’il aura une partie de sa famille auprès de lui, tout rentrera dans l’ordre. Comment s’appelle-t-il ?
  • Alistair Cornwell et en fait, il habite à Chicago. Répondit Albert.
  • Je crains qu’il ne puisse pas encore entamer une traversée transatlantique !
  • Ce n’est pas grave nous avons une résidence à Londres, devra-t-i rester encore longtemps hospitalisé ?
  • Quelques jours je pense, le temps de s’assurer que son état continue de s’améliorer et puis avec une infirmière à domicile on pourra écourter son séjour à l’hôpital. Dit-il avec un sourire.
  • Tant mieux !

Une fois rassurés, Candy et Albert reprirent leur tâche mais en passant régulièrement voir Alistair qui dormait toujours.

Une fois arrivés en Angleterre, les blessés furent dispatchés dans différents hôpitaux. Candy, Albert et Alistair furent donc envoyés à Londres. Alistair fût installé à l’hôpital et n’avait toujours pas repris complétement conscience, il faudrait donc encore attendre un peu pour des retrouvailles dignes de ce nom et pouvoir lui parler. Ainsi, Candy et Albert finirent leur travail puis se rendirent à la résidence des Ardlay. Une demeure imposante et luxueuse de style victorien avec un grand parc paysager. Monsieur et Madame Dowson, qui en étaient le majordome et la gouvernante depuis presque trente ans étaient très surpris de voir débarquer le jeune couple et… sans chaperon bien qu’ils n’en dirent pas un mot. Ils connaissaient maitre William, comme ils l’appelaient, depuis sa naissance. Albert leur expliqua la situation et aussi qu’Alistair avait été retrouvé vivant et qu’il était attendu d’ici quelques jours.

Dans la demeure, il y avait des draps sur les meubles comme c’était toujours le cas en l’absence de la famille et les chambres n’étaient pas prêtes et les pièces n’avaient pas été aérées, au plus grand damne des Dowson. Cela ne dérangeait point les nouveaux arrivants, après ce qu’il avait traversé, la résidence même en état de « veille » leur paraissait un paradis. Bientôt un bon bain chaud les attendait ainsi qu’un souper léger et deux chambres fraichement préparées.

Les émotions avaient drainé leur énergie et ils ne tardèrent pas à s’endormir.

Le lendemain ils projetaient de retourner voir Alistair et rassurer famille et amis aux Etats Unis sur leur situation ainsi que révéler la « résurrection » d’Alistair, restait à savoir qui prévenir et comment car la dernière nouvelle était un sacré choc !

A suivre…

Jessie Ware – Till The End (Official Audio)

Paroles et traduction

 


 Félicitations Antlay car tu as trouvé: le frère Laurent est bien celui qui a marié Roméo et Juliette! 🙂 ?

Avez-vous aimé les surprises du chapitre?

Pour finir un beau montage vidéo partagé par Ms Puddle avec ses magnifiques dessins et une belle musique, réalisé par Demonyc auteure de plusieurs fictions (en espagnol) sur Albert et Candy et que vous pouvez retrouver sur fanfiction.net.

For the love of a princess

Merci de tout cœur pour vos précédents commentaires et votre fidélité,

bibi2403, Isabelle, Cécile,  Antlay, Watre Anne, Louna, Isabelle 2, Ms Puddle, Sarah, Tasia et Lise Creamy (bienvenue)

c’est ce qui m’a soutenue et encouragée à continuer  !

? ??

 


Notes :

(1) Même si les premiers verres teintés datent de l’empire romain et n’étaient pas destinées à se protéger du Soleil, les lunettes de soleil n’étaient pas d’un usage publique à cette époque contrairement à ce que montre le manga ou le dessin animé mais dans le but de respecter un des traits caractéristiques d’Albert, je ferme les yeux 😆 sur cet anachronisme et que je les appelle donc « lunettes aux verres teintés ». Ce n’est qu’en 1929 que la première paire de lunettes de soleil, la « Foster Grant », est commercialisée aux États-Unis. Et les fameuses Ray Ban© « Aviator »©, qui ressemblent à celles d’Albert n’apparaitront qu’en 1937.

Sources : http://blog.lunettes-de-soleil.fr/lhistoire-des-lunettes-de-soleil/

(2) Dans le manga en français, La directrice Marie-Jeanne appelait Candy « frivole » alors que dans le dessin animé, elle l’appelait « tête de linotte » que je trouve plus approprié.

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20 réponses

  1. Lise Creamy dit :

    Merci pour ce beau chapitre et ce gentil message de bienvenue.

    Très intéressant comme d’habitude, très bien écrit et toujours aussi captivant.

  2. Tasia dit :

    Coucou Candybert 😀

    Merci pour ce chapitre que je viens de dévorer!!!!

    Enfin, Candy et Albert ont pu trouver un bateau pour traverser! Grâce au connaissances de Candy! 😉 Mais ce Dr Thorthe, ne me dit rien qui vaille…Je ne sais pas pourquoi, mais je pense que nous allons encore entendre parler de lui…

    Sur le bateau, quelle surprise!!! Alistair, j’adore quand il est retrouvé et qu’il n’est pas mort, c’est un personnage bon, que j’ai beaucoup aimé! Avec Candy et Albert à ses côtés, il ne peut que guérir et aller mieux, même si psychologiquement ce sera plus difficile…Les horreurs de la guerre ne peuvent s’oublier aussi facilement!

    Les voilà en territoire connu! Ils sont à l’abris chez eux, dans la demeure des Ardlay, mais le sont-ils vraiment?

    Qe de question en suspend suite à ton chapitre!!!! Merci chère CandyBErt de continuer à nous régaler même si tes obligations t’appellent ailleurs!

    Bises à bientôt!

    • Laure Saint-Yves dit :

      Coucou Tasia!

      Merci de ta fidélité! 😀

      Au sujet du Dr Thorton, je te rassure, il n’y a rien à craindre, c’est juste un figurant, tous les docteurs de mon histoire ne sont pas machiavéliques! 😆

      Ah cher Alistair, c’était mon préféré des frères Cornwell! De par son caractère discret et pudique pour exprimer ses sentiments secrets les plus profonds, il me fait penser quelque part à Albert.

      Quant à ton interrogation sur leur sécurité sur le territoire anglais, elle est tout à fait légitime et tu es très perspicace de te poser la question, tu en sauras plus dans le prochain chapitre… 😉

      A bientôt, bisous.

  3. Cécile dit :

    Bonjour Laure Saint-Yves!!

    Merci pour la suite de l’histoire. Tu nous a fait attendre mais tu vois nous sommes toujours fidèles au poste!!

    Ce nouveau chapitre m’a bien plu : voir enfin nos amis en sécurité cela fait du bien.
    Petit bémol pour Alistair. Je trouve sympa que tu l’imagines survivant. Je l’aime bien. Pourtant dans le dessin animé on le voit bien s’écraser…. et les images nous laissaient peu d’espoir…. mais c’est cool de le voir vivant. Les retrouvailles avec Patricia vont être belles!!

    Merci et gros bisous.
    J’attends patiemment le plaisir de lire la suite!!

    • Laure Saint-Yves dit :

      Bonjour Cécile et merci de ton gentil commentaire et de ta fidélité! 😀

      Quant à Alistair, j’ai utilisé les dessins du Manga dont je m’inspire plus largement plutôt que du dessin animé, et dans le volume 9 on voit son avion tomber dans la mer, ce qui augmente les chances aussi maigres soient-elles, je te l’accorde, d’une survie possible au crash. Laisse-moi être dans le déni! 😆

      La suite est en cours d’écriture! 🙂

      Gros bisous et à bientôt.

  4. Sarah dit :

    Bonjour candybert
    Ravie que tu sois de retour ✌️
    J espère que tu va ?
    J ai repris ton histoire depuis le début j aime toujours et hâte de voir nos tourtereaux enfin ensemble et passé tout les obstacles un chapitre trop court mais tu le fait exprès pour nous faire languir ?
    Hâte de lire la suite
    Merci des précisions à chaque fois cela rends l’histoire plus vivante
    Prends soin de toi
    ?
    Sarah

    • Laure Saint-Yves dit :

      Bonjour Sarah,

      Merci de tes belles paroles, c’est une foie de se sentir soutenue.??
      Tu m’as fait rire avec ta remarque sur la longueur du chapitre! 😆 Promis le prochain sera plus, je l’ai commencé et il comporte déjà autant de mots que le 17 alors qu’il n’est pas fini! 😀

      Et je suis contente de savoir que mes précisions sont appréciées.

  5. Isabelle dit :

    Bonjour Laure Saint-Yves,

    Contente d’avoir lu la suite 😉 Quelles belles surprises ! Je t’envoie beaucoup de pensées positives pour les imprévues vaincues dans ta vie en ce moment. Prends le temps qu’il faut, nous serons là pour lire la suite.

  6. Antlay dit :

    Bonjour Laure Saint-Yves

    Tout d’abord c’est un plaisir de te retrouver ? et ne t’inquiètes pas nous sommes patients même si nous avons toujours hâte de lire la suite de l’histoire.

    C’est un voyage effectivement plein de surprises ! Quelle chance pour Candy et Albert de rencontrer le Docteur FRANK. Connaissant les qualités de Candy, il n’a eu aucune hésitation à leur venir en aide et à croire en leur innocence.
    Quant à Alistair, quelle joie de le retrouver en vie ! C’est un garçon si ingénieux et amusant, un personnage très attachant. Oui tu as raison de le dire, son corps n’a jamais été retrouvé alors rien ne prouve qu’il soit effectivement mort au combat.

    Enfin un peu de répit pour notre couple favori, la guerre est derrière eux maintenant et ce ne sera plus qu’un mauvais souvenir.

    Bises et bon week-end.

    • Laure Saint-Yves dit :

      Bonjour Antlay et merci de ton gentil message!?

      C’est pour moi aussi un réel plaisir que de vous retrouver.

      Le Dr Frank connaissait effectivement bien Candy, ses qualités comme ses défauts d’ailleurs, pour avoir travaillé avec elle et il savait qu’il pouvait avoir foi en elle.

      Au sujet d’Alistair, je n’arrive vraiment pas à me faire à l’idée de sa mort tragique alors je profite de cette incertitude laissée par Mizuki pour toujours nous le ramener! C’est l’avantage quand on écrit soi-même l’histoire, on peut faire ce que l’on veut ou presque! 😉

      Voilà Candy et Albert, enfin saufs, je crois que je les ai assez torturés comme ça pour leur laisser un peu de répit bien mérité! 😆

      Bises et bon week-end à toi aussi!

  7. Ms Puddle dit :

    What a relief! But will you vindicate their innocence, Laure Saint-Yves? Brother Lawrence, and yes, i didn’t remember the priest’s name in Romeo and Juliet ??
    Running into Stear again is totally unexpected, and bravo to you!! ??? Don’t feel bad when you’ve been too busy to update. I’m sure yoir followers are understanding! ?
    Thanks for sharing the video, my friend! ?

    • Laure Saint-Yves dit :

      Thank you my friend for your patience and comprehension! ?

      What a relief, yes, phew indeed! 😆
      I will vindicate their innocence by Dr de Vigny, no worries but investigations took time during wars, and without modern technologies! 😉

      You know how I’m fond of Stear, so, once more I couldn’t help to find him alive with another plausible scenario!

      About video, you’re very welcome, Ms Puddle, your drawings are too splendid for not to be shared, and I sincerely mean it!?

  8. watre anne dit :

    COUCOU comme d habitude un super chapitre . je suis contente de voir qu Alistaire est vivant . prend ton temps pour la suite meme si je suis impatiente de connaitre la suite merci bon courage et merci ms puddle pour la video

    • Laure Saint-Yves dit :

      Coucou Anne!

      Merci de tes gentils mots et je suis contente que ce chapitre t’ai plu! 😀

      Pour Alistair, je ne peux m’empêcher d’imaginer des scenarii dans lesquels il est retrouvé vivant, après tout dans l’histoire originale, on n’a jamais retrouvé son corps! 😉

  9. bibi2403 dit :

    Magnifique:-):-):-):-)

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