Chapitre 10 : amour, scrupules et dignité
Un amour dans la tourmente!
Enfin le chapitre sur le jour de congé, un chapitre assez court mais intense alors voyons voir si certaines d’entre vous avaient bien deviné! 😉
Début août, Albert avait reçu du courrier, une première lettre de Georges qui pouvait enfin lui écrire maintenant que son ami avait une adresse fixe, il lui exprimait sa joie qu’il ait enfin retrouvé Candy saine et sauve. Il lui donnait des nouvelles des affaires de l’entreprise familiale, tout allait bien et il lui joignait une lettre de Mme Elroy car Albert avait bien stipulé de ne pas communiquer son adresse à sa tante, au départ, elle ignorait même qu’il fût en Europe. Albert lui avait donc écrit avant de quitter l’Amérique qu’en cas de besoin, elle passe par Georges. C’est ainsi qu’il reçut une lettre très mécontente mais aussi très alarmiste de sa tante dans laquelle elle lui reprochait de partir de nouveau sur un coup de tête en délaissant les affaires familiales et en reportant sa présentation officielle. Elle lui faisait part de sa grande inquiétude de risquer sa vie dans une guerre impitoyable et tout cela pour cette maudite orpheline qui lui avait déjà enlevé Anthony. Albert ne lui avait pas dit qu’il était venu ici pour retrouver Candy, il avait simplement parlé d’une affaire vitale et urgente à régler sans dire que c’était en Europe pour ne pas l’effrayer mais Archibald avait informé Mme Elroy de l’engagement de Candy en Europe et elle en avait tiré elle-même la bonne conclusion. Tout ceci n’allait pas améliorer l’opinion déjà dégradée qu’avait la vieille dame de Candy et cela allait compliquer la tâche d’Albert pour imposer l’élue de son cœur comme son épouse mais peu importe, il était prêt à affronter les flammes de ce vieux dragon ! En même temps il aimait sa tante qui avait toujours veillé sur lui et cela le peinait de la savoir très inquiète à son sujet. Bien sûr, Albert avait parlé des lettres à Candy mais il avait minimisé la véhémence des propos de sa tante pour ne pas culpabiliser sa bienaimée.
XXX
Le lendemain, leur jour de congé étant enfin arrivé, Candy et Albert reprirent une bicyclette pour leur balade, cette fois c’est Albert qui s’était occupé du panier repas. Ils avaient décidé de commencer par faire la découverte du vignoble qui n’avait pas été touché dans ce coin-ci, toutes les maisons de champagne ne pouvaient malheureusement pas en dire autant surtout sur Reims, ville des sacres d’une partie des rois de France qui avait été très touchée, même sa magnifique cathédrale de style gothique flamboyant avait subi un grave incendie dès le tout début de la guerre.
Ils arrivèrent chez un petit producteur de champagne, ils furent accueillis chaleureusement par la maitresse de maison, ses deux filles et le plus jeune fils ; l’ainé et leur père étaient malheureusement mobilisés à la guerre. L’exploitation était entre les mains des femmes et du garçon de seize ans qui leur firent visiter les caves et leur expliquèrent la méthode complexe de vinification. Le jeune couple était surpris de voir la complexité de la fabrication du champagne qui commençait déjà par le mélange des différents cépages, il n’y avait pas moins de trois types de raisins qui pouvaient être utilisés pour entrer dans la composition du vin pétillant : tout d’abord le pinot noir, élevé sur des sols calcaires et sablonneux qui produisait des vins subtils mais qui pourrissait assez facilement, puis le pinot meunier qui était plus résistant et adapté à des sols froids qui avait un goût plus relevé, enfin, le chardonnay qui pouvait être utilisé dans les assemblages mais surtout qui composait entièrement les champagnes blanc de blanc.
Après les vendanges, il y avait le pressurage qui consistait à presser manuellement le raisin pour en faire éclater les baies puis durant une quinzaine de jours, le jus de raisin était mis en cuve pour la phase de fermentation à une température constante de 18-20°C, c’était lors de cette première fermentation dite « alcoolique » que les levures naturelles présentes dans le jus transformaient les sucres en un mélange d’alcool et de gaz. Après il fallait faire une clarification pour éliminer les levures et autres particules solides qui pouvaient altérer le goût. Ensuite venait l’assemblage, étape qui donnait la véritable « signature » d’une maison de champagne en mélangeant différents vins tranquilles (sans gaz) issus de différentes récoltes antérieures pour une saveur finale constante. Exception faite pour les millésimes qui n’étaient pas des mélanges, le vin d’une année exceptionnelle était toujours utilisé tel quel. Et ce n’était pas fini car il fallait une deuxième fermentation avec la prise de mousse durant environ huit semaines, le vin était alors mis en bouteilles avec adjonction de sucre et de nouvelles levures qui produisaient le gaz qui donnait tout son pétillant au précieux liquide, les bouteilles étaient alors fermées par une capsule provisoire appelée le « bidule ». Puis durant la maturation, le champagne devait se reposer couché pour développer tous ses arômes au minimum quinze mois et même trente-six pour les millésimes. Commençait ensuite le remuage qui consistait à faire tourner délicatement et progressivement la bouteille de gauche à droite, tous les trois jours et pendant environ un mois, tout en la faisant pivoter pour qu’elle termine la tête en bas et ainsi faciliter l’accumulation des dépôts organiques sur le bidule avant d’être évacués naturellement lors du dégorgement. Enfin la finition qui permet de fabriquer les différents types de champagne par ajout de liqueur et de plus ou moins de sucre, les moins sucrés étant les bruts et les plus sucrés les doux ou demi-secs, le bouchon de liège était alors mis en place et la bouteille entreposée encore au moins trois mois avant de pouvoir être consommée.
- Que d’étapes et que de temps pour obtenir ce précieux liquide doré ! S’exclama Albert.
- Je ne m’imaginais pas qu’il fallait autant de travail, c’est tout un savoir-faire ! Renchérit Candy.
- Un savoir-faire qui se transmet de père en fils dans la famille de mon mari. Répondit fièrement leur hôtesse.
Candy et Albert découvrirent aussi différentes tailles de bouteilles, dans cette exploitation, on y produisait la classique 75 cL jusqu’au Nabuchodonosor de 15 litres mais on leur expliqua qu’il y avait encore plus grand (1) jusqu’au Melchizédec de 30 litres soit l’équivalent de 40 bouteilles classiques !
Enfin le meilleur moment de la visite fût la dégustation et lorsque la maitresse des lieux apprit que le jeune couple travaillait pour La Croix Rouge à l’hôpital du coin, elle leur offrit une bouteille.
- C’est grâce à des personnes dévouées comme vous que nos soldats sont parfois sauvés et remis sur pieds ! Leur dit-elle.
Les jeunes-gens remercièrent cette famille de vignerons et repartirent pour leur colline, c’était l’heure du repas quand ils arrivèrent et s’installèrent pour un déjeuner sur l’herbe.
Albert avait préparé de délicieux sandwichs, avant de lui en offrir un il lui dit :
- Tu te souviens de la dernière fois que nous avons partagé un sandwich en deux ?
- Oui, bien sûr, Albert, nous nous étions promis de tout partager ! Répondit-elle avec sentiment.
Albert prit alors délicatement l’une de ses mains dans les siennes et la porta à ses lèvres et commença à déposer des baisers aussi légers qu’une plume, d’abord sur ses phalanges, il retourna alors sa main pour continuer sur sa paume puis d’autres baisers suivirent vers l’intérieur de son poignet laissant dans le sillage de ses lèvres une trainée de feu sur la peau douce de Candy qui sentait des frissons lui descendre dans son dos et des picotements la chatouiller dans le bas ventre. Que c’était agréable ! Comment de simples baisers sur sa main pouvaient lui provoquer de telles sensations ? Albert remarqua alors son trouble lorsqu’en fermant les yeux, Candy laissa échapper un léger gémissement, elle était si réceptive à toutes ses attentions mais il s’interrompit car son principal but en cet instant était tout autre que la sensualité. Elle rouvrit les yeux, frustrée d’être privée du contact des lèvres masculines et chaudes sur sa peau. Elle rencontra le regard sérieux et intense d’Albert qui lui dit :
- Je renouvelle cette promesse, Candy et cette fois je m’y tiendrai, le plus cher de mes désirs et de tout partager avec toi… pour la vie !
Candy sentit une signification profonde derrière ses mots et elle en fût profondément émue surtout quand elle vit son bienaimé prendre un sandwich et le partager symboliquement en deux parties avant de lui en tendre une moitié. En la saisissant, elle lui répondit, la voix tremblant légèrement :
- Moi aussi je renouvelle cette promesse ! Cela m’est d’autant plus facile que tu es celui qui m’a toujours soutenue dans les moments les plus difficiles. Je ne te remercierai jamais assez pour tout ce que tu as fait pour moi, Albert !
- Non, Candy, c’est à moi de te dire merci, tu m’as sauvé la vie, tu m’as redonné goût à la vie alors que j’étais rejeté de tout le monde et tu as risqué ta réputation et perdu ton travail pour cela.
- N’est-ce pas ce que font les amis ?
- Rares et précieux sont de tels amis !
Il lui sourit en la regardant droit dans les yeux qui scintillaient, il lui caressa la joue, elle inclina la tête pour profiter pleinement de son contact. Il y avait une certaine solennité dans cet échange, c’était comme des prémices à autre chose qui se préparait, comme un prélude à un engagement encore plus important.
Ils mangèrent leur casse-croûte dans cette ambiance, Candy sentit qu’Albert était nerveux et sur le point de lui confier quelque chose d’important, n’avait-il pas renouvelé sa promesse de tout partager, cela devait être une introduction à ses confidences. Elle se demandait pourquoi cette nervosité, était-ce à cause de la lettre de la tante Elroy reçue hier? Peut-être ne lui avait-il pas encore tout dit mais était sur le point de le faire ? La vieille dame avait certainement dû être encore plus dure à son encontre que ce que lui avait révélé Albert ; quelque part elle lui avait enlevé son neveu préféré lorsqu’il avait choisi de laisser les affaires familiales pour la retrouver ici, se mettant en danger. Cela allait encore aggraver ses mauvaises relations avec elle et cela risquait de créer des tensions entre la tante et son neveu or Candy ne voulait pas être la pomme de discorde entre les deux car la tante Elroy était ce qui était le plus proche d’une mère pour Albert qui avait perdu la sienne à sa naissance, elle savait combien sa tante était importante aux yeux de son bienaimé. Comment faire ?
Pour finir le repas Albert avait préparé un dessert très spécial, il demanda à Candy :
- Candy, j’ai préparé une surprise pour toi mais avant de la découvrir, ferme les yeux s’il-te-plait et ne triche pas !
- Bon très bien mais je me demande bien ce que c’est, ce n’est pourtant pas mon anniversaire !
Elle était très impatiente de savoir mais elle obéit docilement en plaçant même ses mains sur ses yeux pour preuve de sa bonne foi, elle entendait Albert faire ses préparatifs puis il lui dit avec une voix qui exprimait une très vive émotion :
- Maintenant tu peux ouvrir les yeux !
Elle vit Albert qui avait un genou en terre et sur l’autre replié devant lui une main reposée avec un gâteau qu’il avait préparé lui-même sur lequel était écrit « Candy veux-tu m’épouser ? » et en-dessous des mots, il avait posé une magnifique bague, un pur joyau.
Pendant que Candy était en train de réaliser la signification de ces mots et du bijou, Albert ajouta d’une voix un peu chevrotante à cause de l’immense émotion qui l’habitait:
- Candy, mon amour, tu as fait de moi le plus heureux des hommes en m’accordant ton amour, veux-tu que je le sois pour toujours en m’accordant ta main, voudrais-tu me faire le plus grand des honneurs en m’épousant ?
Albert, le cœur battant, respirant à peine, avait la gorge sèche, il déglutit difficilement suspendu aux lèvres de la femme qu’il désirait tant pouvoir bientôt appeler « ma femme », c’était son vœu le plus cher. Il observait l’expression de son doux visage et surtout de ses belles émeraudes.
Candy fût bouleversée quand elle comprit après quelques secondes de stupeur, la signification de cette demande, comment était-ce possible ? Pourrait-elle contenir tant d’émotions ? D’abord elle était arrivée ici, seule et déprimée puis Albert l’avait recherchée puis retrouvée, ensuite elle apprend qu’il est le Grand oncle William puis il lui déclare son amour après il lui révèle qu’il est le Prince de son enfance, son premier amour, il annule son adoption et maintenant, il la demande en mariage !!! Mais qu’allait dire sa famille, la tante Elroy en particulier qui ne l’avait jamais acceptée pensant qu’elle était indigne du nom des Ardlay, sentiment renforcé dans l’expression de sa dernière lettre alors devenir l’épouse du patriarche ! Candy sentait qu’elle serait un obstacle, un objet de dispute entre Albert et sa tante qui souhaitait surement une épouse digne de lui, digne du nom des Ardlay, digne d’être la mère du futur héritier, serait-elle assez digne pour tout cela? Serait-elle capable d’endosser ce rôle? En fait, elle n’avait jamais appartenu à leur monde, elle serait toujours la pauvre petite orpheline aux origines douteuses à leurs yeux, l’ex-protégée de William Albert Ardlay. Leur couple allait être montrés du doigt, mis à l’index, faire les potins de la haute société de Chicago ; cela ne la dérangeait pas pour elle-même mais elle ne souhaitait pas cela pour l’homme qu’elle aimait tant, il était le chef de l’une des familles les plus puissantes d’Amérique et sa réputation était en jeu, elle ne voulait pas non plus qu’il fasse l’objet de moqueries. Elle n’avait jamais réfléchi à cela avant durant ces trois dernières semaines idylliques depuis qu’ils s’étaient avoués leur amour et là, maintenant cette idée la frappa comme la foudre. La lettre de Mme Elroy l’avait en quelque sorte tirée de son rêve éveillé, comme un pont à travers les continents la ramenant vers la réalité des dictats de la haute société ; ici, de l’autre côté de l’océan, dans un monde en guerre où les préoccupations étaient toutes autres, elle avait oublié. Tout allait si vite, beaucoup trop vite ! Elle ressentait tant d’amour pour Albert mais elle avait aussi tellement de scrupules. Elle avait la tête qui tournait tant l’émotion était intense, tant les sentiments contradictoires et de tumultes se bousculaient dans son esprit. Devait-elle renoncer à lui pour son propre bien? Son cœur affolé donnait l’impression qu’il allait bondir hors de sa poitrine comme un animal sauvage surpris et effrayé, heureusement qu’elle était assise car ses jambes étaient toute molle et ne l’auraient probablement pas supportée, alors elle prit une grande inspiration et les larmes aux yeux lui répondit d’une voix éraillée :
- Non Albert, je ne peux pas !
Non, ne me jetez pas de tomates ! 😆
Alors comment Albert va-t-il réagir? Parviendra-t-il à la faire changer d’avis ?
Pour finir une vidéo qui n’a rien à voir avec le chapitre mais qui célèbre notre cher Albert
No lo olvides, aporte verde GF 2016 Angie Jb Angie Jb
Et vous pouvez consulter les paroles de la chanson «It’s My Life» (avec traduction) par Talk Talk ici
Merci de tout cœur pour vos précédents commentaires et votre soutien,
Tasia, Anne, bibi2403, Antlay, Cécile et Ms Puddle,
vos gentils mots sont toujours les bienvenus !
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Note:
(1) Pour votre intérêt voici aujourd’hui l’appellation des contenances des bouteilles existantes
1/8 soit 9,4 cl
¼ soit 20 cl
Chopine (1/3 de bouteille) soit 25 cl
½ soit 37,5 cl
Médium (4/5 de bouteille) soit 60 cl
Champagne : 75 cl (classique)
Magnum soit 1,50 litre
Jéroboam soit 3 litres
Mathusalem soit 6 litres
Salmanazar soit 9 litres
Balthazar soit 12 litres
Nabuchodonosor soit 15 litres
Salomon soit 18 litres
Souverain soit 26,25 litres
Primat soit 27 litres
Melchizédec soit 30 litres
Sources : http://docs.bossons-fute.fr/Documents/FabricationChampagne.pdf
Pourquoi ai-je envie de pleurer!!!!!! :'(
Mais en même temps, je peux comprendre ce que ressent Candy…
Quand à Albert, je suppose que son petit coeur est en mille morceaux!!! Mais le connaissant, il va vouloir comprendre et j’espère que Candy lui dira pourquoi! Avoir traversé toutes ces épreuves, pour se voir refuser le bonheur! Moi je dis non!!!! :'(
Mais je suppose que tu ne laisseras pas nos héros ainsi dans le désarrois! Et que tu vas vite nous concocter un beau chapitre avec nos héros heureux!! Du moins je l’espère :p
Bisous CandyBert et à bientôt!
Désolée Tasia de te faire de la peine! :'( mais toi non plus tu ne l’as pas épargné dis-moi avec Glynda08!!! 😉 😛
En tout cas tu as raison de faire confiance en Albert! D’ailleurs tu peux lire la suite que je viens de publier! 😉
Bisous
Caramelo Bert, salutations avec affection
Primeramente gracias por la aportación cultural referente al champagne (muy importante para cuando visite la ruta del Champagne)
No importa la negativa de Candy ya que Albert es una persona racional y un excelente empresario, que le haga el siguiente planteamiento: Ya que ella lo ama pero se niega a ser su esposa, no tiene sentido seguir siendo jefe de la familia Ardlay. Porque él solamente se casará con la persona que ama, para que sea su compañera y apoyo en tan difícil empresa, y ya que dicha persona no quiere casarse con él, no tiene sentido continuar y será mejor alistarse de voluntario en la guerra, así podrá explicarle al dragón; perdón a la tía Elroy su viaje a Europa y su negativa de ser jefe de la familia. Drástica decisión pero convincente, ¡no cree Caramelo Bert!
PD. Creo que tengo que dejar de escribir no se si el dolor o los medicamentos han afectado mi razón.
Excellente fin de semaine, son amie Vera
Saludos y abrazos Vera Garcia, mi amiga! J’espère que vous allez bien car votre postscriptum m’a un peu inquiétée ?
J’aime partager tout ce qui concerne mon pays, sa culture et ses produits emblématiques alors il était irresistible de parler de l’élaboration si complexe du champagne! 😉
Vous avez raison à propos de la réponse négative de Candy et du caractère d’Albert, j’ai développé ce sujet dans le prochain chapitre donc je n’en dirai pas plus pour le moment, laissons encore un peu de suspense sur ce que va répondre et décider Albert et par conséquent Candy!
Je vous souhaite une excellente fin de semaine à vous aussi mon amie!
Quelle fin de chapitre!! Pourquoi ? Vous nous tenez en haleine pour la suite… j’espère qu’Albert va trouver comment convaincre Candy pour leur bonheur…
J’ai hâte de vous lire.
Ici en France nous commémerons le 100eme anniversaire de cette guerre et la bataille de Verdun.
A très bientôt,
Bises
Cécile
Je comprends que la réaction de Candy peut paraitre surprenante mais elle cherche toujours le bien des autres avant le sien, on sait bien, nous, que le bonheur d’Albert ne peut être qu’avec elle alors laissons lui l’occasion de le lui expliquer! 😉
Vous avez tout à fait raison, ici en France nous célébrons le 100ème anniversaire de cette guerre, c’est ce qui m’a en partie inspiré cette fiction. Une génération entière qui a été sacrifiée!
Je publierai le prochain chapitre d’ici la fin de la semaine.
Bises
PS: vous pouvez me tutoyer, cela ne me pose aucun souci! 😉
Oh dear Laure Saint-Yves, how could you end this chapter like that? Well… I won’t throw tomatoes at you, but… I didn’t expect Candy would « come to her senses » at that very moment… but didn’t she just renew her promise to him — sharing the sandwich for the rest of their lives (btw, this was one of my favorite scenes in the manga)?
I know it is frustrating, Ms Puddle! Yes, Candy had just renew her promise but to share joys and pains and as the first time it didn’t automaticaly mean a promise of marriage!
Think of it, Candy has learnt Albert was WAA only about a month ago and she didn’t figure out yet all the implications and troubles it meant to marry him, this was the letter of aunt Elroy had struck her!
Candy will elaborate her POV in the next chapter, so Albert! 😉
BTW, the sandwich scene is one of my favorite too.
Bonjour Laure Saint-Yves
Ah ça c’est bien toi ! Tu n’as pas pu résister une fois de plus à nous tenir en haleine. Je me demande qui est le dragon, la Tante Elroy ou toi Laure Saint-Yves ! ?
Pauvre Albert tout ce chemin parcouru au péril de sa vie, toutes ces révélations, aujourd’hui une demande en mariage, pour au final essuyer un refus ! ? Oui Candy peut-être parfois agaçante à toujours se soucier des autres, du quand dira-t’on et par ce fait renoncer à son propre bonheur. Mais bon restons optimiste, Albert est très persuasif !
J’ai trouvé le passage sur l’élaboration du champagne très enrichissant, tu es un vrai puits de science Laure Saint-Yves !
La vidéo est très belle avec ces magnifiques paysages d’Ecosse.
Bonne semaine. Bises.
Bonsoir Antlay,
Ah! Ah! Ah! Je suis « grillée », ? en parlant de dragon! ? 😆 ? Oui je sais je suis pire que tous les « méchants » de mon histoire réunis et fidèle à moi-même, j’en fais voir de toutes les couleurs à nos deux tourtereaux mais tout ce qui ne tue pas rend plus fort dit-on! Et puis, il faut bien vous « taquiner » un peu aussi, cela rend meilleurs les bons moments ensuite! 😆
Quant à l’élaboration du champagne, je n’aurais pas la prétention de tout savoir, j’ai juste fait appel à mes souvenirs de mes visites des caves de différentes maisons à Reims plus le site que j’ai cité.
Bonne semaine à toi aussi!
Laure Saint-Yves encore bravo un chapitre qui se termine avec du suspence . CANDY pense trop au bien des autres mais pas au sien . j espere qu ALBERT va reussir a la faire changer d avis au diable la tante elroy et les mauvaises langues de la haute societe de chicago elle a droit au bonheur avec l homme qu elle aime jattend la suite avec impatience.ENCORE MERCI DE NOUS FAIRE REVE
Merci Anne! C’est vrai que j’aime terminer mes chapitres sur une note de suspense même si ce n’est pas systématique!
Tu as parfaitement raison, Candy pense toujours au bien des autres avant le sien, ce n’est pas la 1ère fois qu’elle nous fait le coup. Cette belle qualité deviendrait presque un défaut chez elle! Mais on peut compter sur Albert qui ne va pas rester les bras croisés en la laissant faire!
Bravo encore!!! quel suspens et merci pour le détail pour le vignoble et vin.
Merci! Je sais que je ne vous ménage pas avec le suspense! 😆
J’avais tellement hâte de lire la suite… Je sais que je suis en retard, j’ai lu les 2 derniers chapitre en même temps. La semaine dernière c’était la fête de mon dernier, je fus fort occupée et en plus je devais préparer ma fin d’année, car je suis enseignante, alors quel ne fut pas mon bonheur de lire ces 2 chapitres… Mais quel fin… Ça ne ce peut pas … JE suis sous le choc, est-ce que je fais un mauvais rêve… Bon, là j’ai vraiment trop hâte de lire la suite, Albert devra la convaincre… Candy doit changer d’avis… C’est ce qu’elle a toujours voulu… Je suis sans mot !
Pas de souci Isabelle, les lecteurs ont tout leur temps pour lire! Et puis je connais les contraintes des fins d’année scolaire! 😀
Quant au chapitre 10, non, malheureusement tu n’as pas fait un mauvais rêve et notre Albert devra effectivement se montrer très convaincant car Candy est aussi parfois très têtue, surtout lorsqu’elle s’imagine faire le bien de celui qu’elle aime!